Prépa Classes Sociales

Séquence 4 Classes, stratification et mobilité sociales Sommaire 1. Comment analyser la structure sociale ? 2. Comment rendre compte de la mobilite sociale ? Corrigés des exercices Séquence 4 – SE01 1 © Cned - Académie en ligne 1 Comment analyser la structure sociale ? Notions à acquérir Classes sociales, groupes de statut, catégories socioprofessionnelles. En classe de première vous avez vu que le groupe social au sens strict est un groupe dans lequel se retrouvent des individus occupant

nationaliste née des difficultés d’une démocratie pluripartiste». En effet, le fascisme se heurte à l’oligarchie dominante à l’origine d’une vive agitation sociale à laquelle s’ajoute les promesses de guerre qui n’ont pas été tenu (terres irrédentes ?). L’Italie d’après la premiere guerre est confronté à une crise plurielle : économique (vie chère, grèves) sociale, politique et internationale due aux frustrations de la paix qui ont donc alimenté le mythe de la victoire mutilée. Le fascisme né du groupement

sécurité, est même misent de coté1. Un autre point qui en jeu est la croissance des inégalités. Ce que cela veut dire, est que l’écart entre les classes sociales, soit riche, moyenne et pauvre, s’accentue énormément. L’écart en question est du point de vue économique, c’est-à-dire que les riches s’enrichissent beaucoup plus rapidement que les deux autres classes. À la normale, ils devraient tous augmenter de façon proportionnelle, ce qui n’est pas le cas. Pour débuter, John Locke est né à Wrington en

est aussi un ensemble de personnes formant une société divisée en trois classes sociales, société s’organisant de façon pyramidale : elle est constituée de paysans et d’artisans qui travaillent pour le seigneur, les artisans étant un peu plus riches que les paysans, des clercs qui se consacrent à la prière et de la noblesse : le seigneur et son entourage (chevalerie, etc.).Cependant, la population présente dans une classe sociale n’est pas toujours identique. En effet, les paysans sont divisés en deux

individus font l’apprentissage des rapports sociaux entre les hommes et assimilent les normes, les valeurs et les croyances d’une société ou d’une collectivité. Valeurs : les valeurs représentent les objectifs que les normes, ensemble de règles, rendent possibles. Instances de socialisation : il en existe 4 : l’école, la famille, les medias, les groupes de pairs (qui sont l’ensemble de personnes présentant des éléments communs avec un individu (âge, milieu social, préoccupations, aspirations, etc.) et

pouvoir du nouveau gouvernement. L'ordre moral continue de régner comme sous le régime précédent. Mais le socialisme apparaît comme force politique (Zola), et les syndicats s'affirment. Ce régime durera jusqu'en 1940. 1.2 Les donnés économiques, sociales et culturelles A) L'avènement du capitalisme industriel: L'activité économique est intense. Les grandes banques se développent, L'argent est au cœur du système. Les moyens de communication progressent (La Bête humaine). Les machines se multiplient

Dates principales Géographie Localisation Climat Topographie Institutions sociales Famille : Nucléaire Étendue Organisation Rôles masculin et féminin • • • • Éducation : • Primaire • Secondaire • 3e cycle • Taux d’alphabétisation Système politique : • Structure • Partis politiques © Groupe Eyrolles 177 E. Karsaklian.book Page 178 Dimanche, 10. d cembre 2006 4:17 16 Le marketing international Pays Institutions sociales • Stabilité du gouvernement • Taxes spéciales • Rôle du gouvernement local

En France les inégalités sociales sont très présentes. Dans le domaine scolaire tout particulièrement, l’égalité des chances n’est pas respectée. Les individus au début de leur vie sociale, ne disposent pas des mêmes chances et des mêmes possibilités d’accéder aux professions et aux positions sociales de leurs choix. Sur le nombre de décrocheurs scolaire (12% en France actuellement), les enfants de cadres ne représentent que 5% contre 48% qui sont des enfants d’ouvriers. Pour certains sociologues

personnage principal est Emma Bovary, le sous-titre « Mœurs de province » nous apprend que l’auteur voulait esquisser le portrait de la France provinciale du milieu du XIXème siècle. Aussi n’est-il pas étonnant qu’il nous dépeigne les différentes classes sociales et au premier chef la petite bourgeoisie, au travers d’une galerie de personnages où se détache la figure du pharmacien Homais. Le personnage de Monsieur Homais, dans Madame Bovary, est la parfaite incarnation de la bourgeoisie qui fleurit sous

 Aristocratie, clergé, bourgeoisie, plèbe : tous ces groupes sociaux, tandis que s’écroule la société qui pour Maupassant les soutenait dans leur illégitimité, se retrouvent dans la France du Second Empire renversés dans leurs prétentions. Les bourgeois, dans leur rhétorique morale, apparaissent comme fondamentalement immoraux; les aristocrates, prônant le courage, font preuve de lâcheté; le clergé, dépeint comme vil, se soumet immédiatement aux Prussiens, laissant choir sa patrie; le démocrate