Président De La République Clef De Voûte

constitutionnel de la 5ème République – TD Séance 4 : Le président sous la Vème République PARTICIPATION Dissertation : Le président sous la 5ème République est-il un gouvernant ? Michel Debré a dit : « Si vous me permettez une image empruntée à l’architecture, je dirais qu’à ce régime parlementaire neuf il faut une clef de voûte. Cette clef de voûte c'est le président de la République. ». En France, l'institution du président de la République apparaît avec la IIe République en 1848. Ne disposant

indispensable sous la Ve République ?En quoi la fonction de Premier ministre, malgré son rôle effacé, reste tout de même une fonction essentielle sous la cinquième République ? Il est souvent utilisé, pour décrire la dynamique entre le PR et le PM, l’expression de « PM, cheville ouvrière » tandis que le Pr serait la « clef de voute ». Ces deux expressions représentent bien le partage des pouvoirs au profit du Président de la République qui s’est effectué sous la Cinquième République. Ainsi, même si la

un régime en opposition avec ce qui précédait pour éviter de reproduire les erreurs qui avaient conduit à la chute de la république de Weimar. Le but est d’éviter l’impuissance parlementaire de la république de Weimar et d’établir la stabilité du régime. La prépondérance du chancelier est donc renforcée alors que le président fédéral voit ses pouvoirs se réduire. La clef de voûte du régime devient donc le chancelier, c’est pourquoi on parle souvent de Kanzlerdemokratie (démocratie du chancelier) pour

Le dualisme de l’exécutif sous la V° République. * Dans quelle mesure peut-on dire que le Premier ministre est le chef du gouvernement ? Intro : « On change d’optique quand on devient chef de gouvernement » Léon Blum (entrevue en octobre 1936 avec le Général de Gaulle), par cette phrase nous décrit la situation du Premier ministre qui a un poste central au sein du gouvernement mais qui est aussi instable. C’est au sein du régime parlementaire que le premier ministre occupe une place prépondérante

de Vincent Auriol, premier président de la 4ème République. On se rend compte que la fonction présidentielle s’est énormément transformé, car les textes ont subi des modifications majeures ; mais aussi parce que l’élection des présidents c’est avant tout l’élection d’une personne et qu’on ne peut pas envisager l’évolution de la fonction présidentielle sans prendre en compte la façon dont les mandats ont été successivement exercés. I/ La présidence de la République dans les institutions françaises

STATUT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SOUS LA VEME REPUBLIQUE EME SOMMAIIRE OMMA RE I. LA VOLONTE DES REDACTEURS DE LA CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ........................................................................................ 3 A. B. UN POUVOIR EXECUTIF FORT Discours de Bayeux du Général de Gaulle du 16 juin 1946 (extrait) UN REGIME PARLEMENTAIRE RATIONNALISE Discours de M. Debré devant le Conseil d’Etat du 27 août 1958 (extrait) 3 3 4 4 II. A. LE STATUT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

octobre 2009 FIICCHHEE PEEDDAAG GO OG GIIQ QU UE E VIIR RT TU UE EL LL LE E Diplôme : Licence en droit, 2ème semestre Matière : Droit constitutionnel Web-tuteur : Valérie Pouchelon-Martel LE STATUT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SOUS LA VEEM ME E REPUBLIQUE SO OM MM MA AIIR RE E I. LA VOLONTE DES REDACTEURS DE LA CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ........................................................................................ 3 A. UN POUVOIR EXECUTIF FORT

Le président de la République sous la Ve République est-il un leader ou un arbitre ? « Si vous me permettez une image empruntée à l’architecture, je dirais qu’à ce régime neuf il faut une clef de voûte. Cette clef de voûte c’est le Président de la République. » cette phrase très connue prononcée par Michel Debré le 27 août 1958 dans son discours au Conseil d’Etat, laisse deviner la place primordiale et centrale qu’occupera le chef de l’Etat au sein des institutions de la Ve République.

Le président de la République est la « clef de voûte » des institutions selon la citation célèbre de Michel Debré dans son discours devant le Conseil d'État, le 27 août 1958. En somme, cela signifie qu'il détient la première place au sein du régime démocratique français. C'est pourquoi, la Constitution de 1958 prévoit un statut particulier au président de la République en ce qui concerne sa responsabilité pénale c'est à dire les infractions qu'il pourrait commettre pendant l'exercice de ses fonctions

retrouve à la tête du gouvernement provisoire de la République française. Rapidement, Charles de Gaulle démissionne, il souhaite par cet acte manifester son opposition au régime d’assemblée ainsi qu’aux partis qui dominent au sein même de cette assemblée. De Gaulle souhaite rompre avec la IIIème République et présente ainsi la volonté de restaurer un exécutif fort, avec «Pouvoir d’état » puissant et stable représenté par le Président de la République. Il souhaite ainsi la mise en place d’une nouvelle