Prêteur En Dernier Ressort

|Créance sur l’Etranger (achats de devises) | a – Les créances sur l’économie : Lorsqu’une banque accorde à un ANFR un crédit, elle met à la disposition de ce dernier un pouvoir d’achat additionnel, créant de ce fait, de la monnaie scripturale. En effet l’opération donne lieu à un double enregistrement au niveau du bilan de la banque : - A l’actif matérialisant sa créance sur l’emprunteur. - Au passif

République B- Un droit archaïque 1- Un droit religieux obscur 2- L’apport de la loi des 12 tables 3- La loi et les plébiscites 2°/le droit romain classique A- le droit de la fin de la République et du Haut Empire  1- le dernier siècle républicain 2- le haut Empire B- Un droit laïcisé et complété  1- Apport du droit prétorien 2- Apport de la jurisprudence 3- Apport du droit impérial 3°/ le droit byzantin (bas empire : 284-476) A- Le partage de l’Empire

Droit des suretés 09/09/10 La sureté est un mécanisme jurid permettant au créancier d’obtenir l’exécution de l’obligation du débiteur lorsque ce dernier est défaillant. Il y 2 types de suretés : les personnelles qui inclus l’ensemble du patrimoine du débiteur et les réelles qui sont attachées à un bien meuble ou immeuble. -Suretés réelles : Hypothèque, gage, cautionnement réel, donc toutes les suretés qui sont publiées La sureté réelle donne à son titulaire 2 prérogatives : *un droit de suite

crédit appelée le bay'al 'ina (double vente). Il s'agissait d'utiliser le bien échangé comme d'un pretexte au crédit. Prenons un exemple, le prêteur vendait un produit quelconque à l'emprunteur pour 50 dinars, payables à terme. Mais il lui rachetait immédiatement ce produit pour 45 dinars, ce dont a besoin l'emprunteur, qu'il paye au comptant. Ainsi le prêteur gardait sa marchandises et avait transféré 45 dinars à l'emprunteur. Cette pratique grossière se répandit rapidement au delà du monde musulman

de ces derniers, éventuellement leurs privilèges. Rien dans ces textes ne concerne donc la pratique religieuse, les croyances ou les rites. Le droit est donc fait pour les hommes qui ont une religion, mais celle-ci reste en dehors du droit. Le droit mésopotamien est donc un droit séculier mais d'origine divine. Cette origine divine du droit est particulièrement bien visible dans un document très célèbre que l'on appelle le code d'Hammurabi. Ce code a été rédigé par le roi Hammurabi (dernier roi de

l’alliance, le code sacerdotal dont l’objet est purement religieux, il règlemente les rites, les sacrifices… Ces textes sont aussi bien de contenu religieux que d’origine divine. Ils ont étés rédigés sur le commandement de Dieu lui-même. Deutéronome, le dernier livre, à été trouvé par un prête dans un temple, il est aussi d’origine divine. Tout problème nouveau, toute lacune doit être traité avec la loi établie par Dieu lui-même. En aucun cas ces juges ne doivent créer une règle nouvelle, cela reviendrait

bancaire, voire exige l'intervention comme prêteur ultime de la Banque d'Angleterre, modèle proposé de toute banque centrale future. Le même thème des cycles du crédit est au cœur des préoccupations de Fisher et de Hawtrey; le premier voit dans l'adoption d'une réglementation (les réserves bancaires liquides devraient couvrir 100% des prêts distribués) un moyen plus sûr de prévenir les crises sans attendre l'intervention en dernier ressort d'un prêteur public ultime (même la récente Réserve fédérale

destructrice en fusionnant les unes avec les autres (Naissance de la BNP résultant de la fusion de la BNC et du CNEP). D’autre part, la libéralisation financière se traduit par l’apparition en France de nouveaux établissements financiers non bancaires. Ces derniers vont se spécialiser dans des activités de placements et/ou dans des activités de financement. On relève également en France le développement de la concurrence pour les banques en raison d’un marché de capitaux qui s’ouvrent et se développe en plus

première partie; puis d’analyser les arguments qui contestent cette vision trop quantitativiste de la politique monétaire dans une seconde partie ; enfin il s’agira d’aborder les limites de ces deux instruments face à la globalisation financière dans un dernier ensemble. Le multiplicateur et le diviseur de crédit : deux instruments qui risquent un dysfonctionnement en matière de création monétaire Le mécanisme de création monétaire passe nécessairement par la distribution de crédit. Il en résulte

remarque que les débats récents sur la dollarisation se concentrent surtout sur les pays d’Amérique latine et se nourrissent de plus en plus des projets de renforcement de l’intégration commerciale des deux Amériques (« Western Hemisphere »). Sur ce dernier point, les discussions relatives à la dollarisation se distinguent des propositions de Currency Boards des années 1990 : la question de l’intégration économique renforcée au pays émetteur de la monnaie de rattachement — les Etats-Unis dans le cas