Psychisme

méthodologie.Nous allons avoir différentes approches : -approche de la psychologie culturelle→s’intéresse au lien entre culture et psychisme, on ne peut pas comprendre le sujet psychologique si on ne le remet pas en perspective avec sa/ses cultures. Part du postulat que la culture va être la matrice à partir de laquelle va se structurer le psychisme → culture est constitutive du psychisme humain.Quand on examine observe un comportement on essaye de l’analyser à partir de la culture dans laquelle évolue le sujet

l’enfant ? - Qu’est-ce que l’infantile ? - Qu’est-ce que le psychisme ? Comment comprendre son fonctionnement ? Le psychisme. On peut rendre compte d’une pathologie, expliquer son fonctionnement, mais qu’est-ce que le psychisme ?....... Je vais poser la question autrement : “Peut-on guérir du psychisme ?” Les traces originaires (le sein, le contact, etc.) formalisent certes le psychisme, mais quelque chose a marqué l’individu de façon singulière, dans le rapport à l’objet

repenser les processus et instances psychiques, et en premier lieu les concepts d'inconscient, de rêve et de névrose puis à proposer une technique de thérapie, la cure psychanalytique. L'hypothèse de l'inconscient approfondit la représentation du psychisme. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de Moi et d'idéal du Moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou l'angoisse de castration, entre

aussi bien au plan théorique que pratique, avec des attention thérapeutiques, sociales, et de temps en temps policier ou théologiques. La psychologie a pour objectif l'investigation du psychisme en énoncé de structure et de fonctionnement. Elle s'attache donc à décrire, déterminer et communiquer les processus psychisme dans leur cohésion en prenant en différence les manifestations de la subjectivité. étymologiquement, la perspicacité est l'étude (logos) de l'âme ou psyché (psukhê), du comportement

appliquée. Freud reformula ensuite sa théorie au sein d’une deuxième topique dans laquelle il introduit de nouveaux concepts et élabore une nouvelle conception du psychisme humain qui fut reprise par Dolto en 1939. Il pose l’existence de trois instances : le Ça (pôle de pulsion de la personnalité), le moi (représentant des intérêts de tout le psychisme) et le surmoi (constitué par intériorisation des exigences et des interdits parentaux). Freud affirme alors que « l’inconscient est le vrai maître des lieux

Si avoir conscience de quelque chose c'est penser à cette chose (se la représenter) peut-on pour autant affirmer que la conscience s'identifie à la pensée, autrement dit que conscience et psychisme sont une seule et même chose c'est à dire, existe-t-il des pensées inconscientes, y a-t-il dans le psychisme des phénomène qui serait de l'ordre de la pensée et qui pourtant échapperai à la conscience réflexive ? I. Qu'est-ce qu'un être conscient ? Nous nous définissons comme des êtres conscient

symbolisant et symbolisé sont de partout et de toujours. Par exemple, au-delà des différences culturelles, tous les hommes symbolisent la cruauté par la panthère, l'inaltérabilité par l'or. Une autre fonction est la « fonction transformatrice », pour le psychisme. Selon la psychologie des profondeurs (Carl-Gustav Jung), un symbole contient une grande énergie que l'homme peut transformer, en l'amplifiant, en la sublimant, en la réorientant... Par exemple, certains malades se guérissent en travaillant sur des

fonctionne en fonction d'un certain nombre de systèmes qui établissent une sorte de cartographie des lieux psychiques à ne pas prendre pour des entités réelles mais à considérer métaphoriquement comme des outils utiles à l'étude et à la compréhension du psychisme. Freud a établit deux systèmes ou topiques. La première est présentée en 1920 dans L’interprétation des rêves, c'est celle qui distingue 3 zones : l'inconscient, le préconscient et le conscient l'inconscient fait référence à ce qui dans la personne

les femmes, ne possédant pas de phallus on eu un mauvais sort depuis leur naissance, les femmes sont donc considérées des êtres ratés dès leurs naissance est sont condamnées psychologiquement à vie par ce manque. • De plus, pour Freud, tout le psychisme de la femme repose sur son manque de phallus : ce manque l’obsèderait, et elle serait prête à tout pour récupérer la chose dont on l’a privée de posséder ; même d’entamer un cure psychanalytique. • Freud utilise alors le mot « envie » (l.10) qui

psychique – fonctionnelle – professionnelle – aigue (apparition soudaine, évolution rapide) ≠ chronique (évolution lente, paliers) – bénigne (∅ gravité) ≠ maligne (processus morbide) Facteurs favorisants Endogènes : morphologie, hérédité, immunité, psychisme Exogènes : environnement (climat, géo, habitat, pollution), milieu social, mode de vie (hygiène alimentaire, corporelle), politique de santé. Processus pathologique ① Prodromes : signes avant-coureurs, annonciateurs de la M. (parfois discrets)