Psychologie Personnages Dom Juan

intentions de l'auteur, ou réactualiser la signification d'une œuvre pour notre époque, comme dans Dom Juan qui est une pièce ambiguë : mi-comédie, mi-tragédie, si l'on tient compte de la mort finale du personnage principal. Le metteur en scène peut privilégier l'un ou l'autre aspect en donnant par exemple un aspect farcesque au rôle de Sganarelle ou au contraire en insistant sur les aspects ténébreux de Don Juan. Dans les interprétations multiples de Phèdre, l’héroïne peut être interprétée comme une janséniste

conduit à « balayer » le texte plusieurs fois, jusqu’à ce que toutes les questions aient trouvé leur réponse. Premier travail donc => définir grosso modo la problématique. (De quoi parle le texte ? Que raconte-t-il à première vue ? (le final de Dom Juan met en scène la mort d’un libertin intraitable par exemple). S’il ne « raconte » pas de façon évidente, quel est son propos : une description par exemple, un éloge, un blâme… (Quelle(s) déformation(s) l’auteur y imprime-t-il ? Ces déformations

et d’action. Aux ces trois règles (unités), s’ajoutent les autres règles : la distinctions des genres, la règle de plaire. - Immitation des anciens → les auteurs trouvent l’inspiration dans la littérature grecque et latine. Ils empruntent les personnages et les sujets, se sont les sentiments qui sont différents : les sentiments présents dans les oeuvres du classicisme français, sont ceux des hommes de la cours (l’imitation est raisonable). - Art et morale → la morale des grands auteurs est toujours

Pierre-Augustin-Caron Beaumarchais, l’auteur du Barbier de Séville, présente la 1ère œuvre de sa trilogie théâtrale en 1775. En 1776, il la présente à la comédie française. Elle est en 4 actes. Son succès fut lié au personnage de Figaro dont les aventures continuent dans le Mariage de Figaro. Ce personnage occupe une place de choix dans le répertoire français ; il est perçu comme une incarnation du génie populaire français. A noter qu’il constitue un double de son créateur (Figaro = Fi-Caron). Caractérisation

qui explique sa nature concupiscente, alors que Dom Juan est un colérique, prompt à s’enflammer, comme à oublier. Pour utile et clair qu’il soit, ce soubassement traditionnel n’est pour notre poète qu’un point de départ, qu’il va étoffer au moyen de ses lectures et de l’observation de la réalité humaine contemporaine. D’une part, abandonnant la conception monolithique des emplois, il tend à suggérer la complexité du réel, en créant des personnages complexes : ses héros ne sont ni monolithiques ni

le conflit entre les personnages pourrait-il être ce que vous retenez avant tout de la lecture ou de la représentation d'une pièce de théâtre ? Vous présenterez votre argumentation en prenant appui sur les textes du corpus et sur les œuvres que vous avez pu étudier ou voir. Comprendre le sujet Le sujet pose une question au style direct, mais qui n'est pas clairement exprimée. Il faut l'analyser et la reformuler de façon simple. Objet d'étude : « personnages, une pièce de théâtre

du travail) et - une partie critique plus longue (70% à 60 %) qui devra comporter obligatoirement les points suivants : 1. L'histoire (ce qui a été inventé ou choisi, et qui constitue ce qui est raconté) : l’intrigue, le temps, l’espace, les personnages 2. Le discours (la manière dont on a choisi de présenter l'histoire) : ordre du récit et procédés utilisés pour la narration 3. Les effets et sens du récit: vision(s) du monde donnée(s) à comprendre par le roman I. La présentation (30 à 40% du

Pierre-Augustin-Caron Beaumarchais, l’auteur du Barbier de Séville, présente la 1ère oeuvre de sa trilogie théâtrale en 1775. En 1776, il la présente à la comédie française. Elle est en 4 actes. Son succès fut lié au personnage de Figaro dont les aventures continuent dans le Mariage de Figaro. Ce personnage occupe une place de choix dans le répertoire français ; il est perçu comme une incarnation du génie populaire français. A noter qu’il constitue un double de son créateur (Figaro = Fi-Caron). Caractérisation

Chérubin, qui est fou amoureux de la Comtesse, se voit expulsé du château. Plan d'analyse : I. Une scène intimiste en forme de philosophie de l'amour 1-Une intimité féminine partagée 2-Ainsi cette pièce est l'occasion de construire des personnages II. Chérubin ou l'impossible désir 1-Suzanne raconte l'épisode de l'acte 1 scène 7 et interprète 2-Les deux femmes ont une stratégie commune : l'infantilisation du page 3-Le désir incarné par Rosine 4-Une dramaturgie de la rêverie

1650 ; La fin du Baroque (mais plus que d’une esthétique ou doctrine, il s’agit d’un « esprit » donc difficile à situer nettement) se situerait vers l’époque classique ; (Cependant, on note chez Molière, dans Dom Juan, une influence Baroque : lutte de l’homme et de Dieu ou de l’au-delà, structure de la pièce, alternance du comique et du tragique) ; Ceci montre que, s’il s’agit d’attribuer une datation à « l’esprit Baroque », il y a difficulté ; - Précisément