Psychopathie

neutre que celui de maladie. On estime environ 1 milliard de personnes ayant des troubles : troubles anxieux, troubles de la personnalité (personnalité pathologique), psychopathie, schizophrénie (1% de la population). -> Troubles de la personnalité : dérangent surtout l’entourage (trouble de la personnalité borderline, psychopathie). En plus de la souffrance, il y a un impact social et financier à prendre en compte : coût important pour la société. Source d’invalidité importante (plus que le cancer)

l'évènement. Chapitre III : Les perversions Le mot « perversion » n'est plus utilisé. Les paraphilies correspondent aux perversions. Le concept et ses usages de la sexualité à la psychopathie. Un pervers a des pratiques sexuelles anormales. Cela renvoi à la pulsion. On n'a pas de norme scientifique à partir desquelles on pourrait jugé si un comportement sexuel est normal ou pas, ce sont des normes culturelles. Il y a des cultures

s’accorde avec celle actuelle des états limites, mais qui ne parviennent pas à se détacher du groupe des psychoses. Les états limites ont donc été considérés initialement de nature schizophrénique. Mais bon nombre de tableaux cliniques tels que la psychopathie, mythomanie, paranoïa sensitive, voire certaines personnalités perverses seraient sans doute de nos jours rattachés au large spectre des états limites. 1-2)-Perspectives psychanalytiques Dans les années 1940 aux Etats-Unis, des psychanalystes

une explication et une compréhension des troubles mentaux (par exemple, la psychanalyse, les théories systémiques, etc...) mais désigne également le groupe de troubles, et la pathologie elle-même. Ainsi, une phobie est une psychopathologie. La psychopathie, que l'on confond régulièrement avec la psychopathologie, en est une également. Il convient à ce propos de se remémorer l'origine du terme : le mot grec "Psukhe" signifie "esprit". "Pathos" signifie "maladie". "Logos" est l'étude, ou la connaissance

Cette conduite peut alors constituer la mise en acte des pulsions et des fantasmes agressifs, la perception de la réalité s’estompant derrière l’envahissement fantasmatique. C’est ce qu’on observe dans les structures psychotiques ou en cas de psychopathie grave. Une autre conduite destructrice solitaire est représentée par la crise de violence de l’adolescent dans l’appartement familial : brusquement, l’adolescent se met à casser du mobilier dans l’appartement. Les objets détruits peuvent appartenir

mondiale de la sensibilisation à l'autisme ». Malgré tout l’autisme ce divise en 3 autismes différents qui sont : l’autisme infantile, l’autisme asperger et l’autisme atypique. Ici, nous allons nous intéresser à l’autisme Asperger appelé aussi psychopathie autistique en 1943. Ce syndrome est considéré comme une forme d'autisme. Il est inclus dans les décomptes épidémiologiques de l'autisme, mais les critères diagnostiqués sont différents de ceux de l'autisme infantile. Il n'existe pas, ou, très rarement

encore les jeux vidéos. Parmi les addictions on trouve également le jeu , le sexe, le travail, les achats compulsifs et le sport. Il y en a aussi qui reste assez rare comme les tentatives de suicide, les troubles de comportements alimentaires, la psychopathie et la délinquance etc… B) Différents types d’addictions : On distingue deux types de dépendance: En premier, il y a la dépendance physique qui est un état où l'organisme assimile à son propre fonctionnement la présence d'un produit,

là de l’expression passive d’une agressivité cachée. La personne s’offense, s’entête, résiste, ou oublie ce qui lui a été demandée. - Avec la personnalité antisociale La particularité de l’entretien dans le cas de conduites agies de nature psychopathie est la grande distance défensive banalisante associée à l’inauthentique ressentie par le psychologue en situation d’entretien. Les faits peuvent être relatés stricto sensu avec une absence de gêne et de culpabilité, comme peuplant un univers

vrai, faux, je ne sais pas. Les questions portent sur les goûts, attitudes, façon de penser. Validation empirique sur une population générale et une population de malades. Il ya 9 traits de la personnalité : hypochondrie, dépression, hystérie, psychopathie, masculinité/féminité, paranoïa, psychasthénie, skizophrénie, hypomanie. Test du « Big Five » : Questionnaires, Analyses factorielles. Modèle de personnalité à 5 facteurs : stabilité émotionnelle, extraversion, ouverture d’esprit, amabilité

professionnel et sociale ainsi que relationnel III) Forme clinique Forme catatonique : la prédominance des troubles psychomoteurs, il est figé et conserve les même attitude. Forme hébiedophrénique : qui est schizophrénie mélangée avec des traits de psychopathie. Forma paranoïde : prédominance de délire. Schizo affectif : schizophrénie associée à un trouble de l’humeur. Forme clinique selon le DSM IV Type paranoïde : présence d’idée délirante Type désorganisé : comportement désorganisé et discours