Pudeur

personnes de plus. L’espace intime de madame X est encore réduit. A cet instant j’ai eu davantage l’impression que cette chambre faisait partie intégrante du couloir d’où venait la lumière que de la vie de cette dame .J’ai donc fermé la porte par pudeur pour elle, refermant ainsi son espace personnel. Après réflexion sur cette situation, il m’est parut clair de différencier deux attitudes : celle de madame X et la mienne. En effet cette dame vit ici depuis 5 ans, elle voit des soignants tous les

ressorties de la chambre toutes les cinq. Pour conclure, je dirais que cette situation m’a étonnée du fait que l’on était cinq dans la chambre et que nous étions toutes les trois à regarder la patiente entrain de se faire laver, ne respectant pas sa pudeur ni son intimité et la gêne qu’elle pouvait ressentir. La relation soignant soignée était inexistante . Mais cette situation ne se serait peut être pas produite si nous avions été moins d’étudiantes stagiaires. Est-ce aussi un problème d’encadrement 

l'accompagne dans ce moment d'intimité. Mme X n'as pas été en opposition ou dans le refus,elle a accepté ce que je lui est proposée,cela pourrait paraître confortable à première vue, mais cela m'as dérangé,parce que j'avais souvent constatée,que la pudeur de Mme X ne l'autorisait que très rarement à dire non. Et je me suis demandée quand elle disait oui si c'était un oui voulu ou de résignation? alors comment me positionner?comment savoir si je suis dans une attitude juste?n'ayant que très peu de

dédiée aux « Attentats aux mœurs », notre article se rattache plus précisément à l’article de loi suivant : Article 483 : Quiconque, par son état de nudité volontaire ou par l'obscénité de ses gestes ou de ses actes, commet un outrage public à la pudeur est puni de l'emprisonnement d'un mois à deux ans et d'une amende de 200 à 500 dirhams. L'outrage est considéré comme public dès que le fait qui le constitue a été commis en présence d'un ou plusieurs témoins involontaires ou mineurs de dix-huit ans

apprendra son veritable nom. Il décrit cet endroit comme étant l’unique coin de la Terre où les hommes vivent sans vices, sans préjugés, et sans besoins et ne connaissent d’autres Dieu que l’Amour. Ici, les gens vivent en paix et ni la honte ni la pudeur exerce leur tyrannie. Il nous décrit donc un monde parfait et ideologique (c’est pour cela qu’il l’appel utopie). A la fin de son texte il fait référence à la société Européenne en disant qu’elle pourrait jugée cette ile comme un « débordement de

des délits prévu aux articles 225-5, 225-6, 225-7 et 225-10 du code pénal ; 2° Ceux qui ont été condamnés à un mois au moins d'emprisonnement pour vol, escroquerie, abus de confiance, recel, filouterie, recel de malfaiteurs, outrage public à la pudeur, tenue d'une maison de jeux, prise de paris clandestins sur les courses de chevaux, vente de marchandises falsifiées ou nuisibles à la santé, infraction aux dispositions législatives ou réglementaires en matière de stupéfiants ou pour récidive de

parlais avec Kassandra et elle faisait des sourires, ce qui me rassurait et me mettait en confiance. J’ai finis par la partie intime, puis je l’ai séché et lui ai remis une couche propre avant de l’habiller. Tout le long du change, j’ai respecté la pudeur et l’intimité de Kassandra, je lui ai parlé pour la mettre en confiance et son bien-être au moment du soin m’a mis moi-même en confiance. Observation, étonnements : Bien qu’une auxiliaire m’ait déjà montrée un change sans selle, j’étais étonné

qualifient de gêne. L’auteur nous explique que les notions de pudeur et de honte sont très proches car elle qualifie une intrusion dans l’intimité psychique et physique du patient. Cette intrusion est légitimée par le statut professionnel des soignants. Comme l’indique l’auteur « comme la honte, la gêne est un sentiment interactif : celle du malade suscite celle du soignant et vis-versa ». Durant le soin, le soignant doit respecter la pudeur d’autrui. L’impact émotionnel dépend des comportements de chacun

déclenchant ainsi un voyant blanc à l’entrée de la chambre. Je remarque que dès l’entrée dans la chambre la soignante sur lave les mains avec la SHA, qui est bien placé dans la chambre sur le mur. J’observe que la soignante respecte énormément la pudeur de la patiente en tirant un rideau entre les deux lits, elle s’assure que la fenêtre soit bien fermée. L'aide-soignante amène la patiente dans le cabinet de toilette. Elle lui propose d’aller aux toilettes avant de débuter le soin, elle assure

l'autre résident de la chambre. L'EHPAD est considéré comme un lieu de vie, et le respect de l'intimité des patients reste une priorité. Pourtant, dans cette chambre, il n'y ni rideau, ni paravent. Dans ce cas là, il est difficile de respecter la pudeur du patient alité, qui est dénudé devant l'autre occupant de la chambre. De plus, lors des visites des familles, la situation peut être gênante. Il est délicat de pouvoir conserver une intimité au niveau de ses informations et de sa vie sociale.