Puis Je Juger La Culture

exemple, ont connut des opérations militaires d’urgences pour porter secours à la population sinistrés, en danger. Tribunaux pénaux internationaux: crimes de guerres, génocides, crimes contre l’humanité. Ils se substituent aux tribunaux internes pour juger des individus, le renforcement des institutions de justice sont capables de punir des crimes de masse sans se heurter aux souveraineté étatiques. 2 formes: - tribunal international ad hoc ( spécifique ): a partir de 1981, ces tribunaux sont créés

informations sur les deux spé-cialités d’anglais proposées.Les lettres LLCE signifient Langues, Littératures et Cultures Etrangères.Les deux partagent, donc, l’ancrage dans la culture et la littérature du monde anglophone,tout en approfondissant la maîtrise de la langue. Ces deux enseignements s’adressent aux élèves curieux et désireux d’approfondir leur maîtrisede la langue et d’enrichir leur culture personnelle. Elles préparent les élèves aux at-tentes de l’enseignement supérieur, en approfondissant

acceptées par beaucoup sans esprit critique. 4) De quelle manière Montaigne remet-il en cause les notions de civilisation et de sauvagerie ? 5) I – Nous étudierons d’abord la façon dont Montaigne critique la prétendue civilisation européenne… II – Puis nous verrons comment il donne au contraire une vision positive des « sauvages »… ces deux prises de position étant paradoxales. I – Une critique de la prétendue civilisation européenne Allant à l’encontre des tendances habituelles à l’ethnocentrisme

épidictique. Il appartient au registre oratoire. L’extrait est censé satisfaire notre curiosité pour ces populations lointaines et développer notre connaissance d’une culture « sauvage ». En quoi est-il donc un texte représentatif de l’humanisme de la Renaissance ? Nous verrons comment Jean de Léry nous présente les deux protagonistes, puis quelle est lateneur du débat avant de conclure sur la contribution humaniste de cet extrait. Développement : I. Un voyageur opposé à un discoureur Ce texte met

pour permettre aux dieux de ne pas se fâcher toutes ces fonctions sont collégiale. On indiquera l’année selon l’archonte qui va donner son nom à l’année. L’archonte applique les règles de droit c’est lui qui applique la règle thémis et Nomos il va juger l’impiété. PONEMA archonte qui reçoit pouvoir militaire il commande l’armée en période de guerre assure la sécurité de la cité assure la police du peuple ( la police de la ville c’ets l’administration générale) une fois sorti de charge il devient membre

lois écrites, et elle peut être morale ou divine. Il semble qu’obéir à ces différentes lois soit nécessaire pour être juste. Cependant, la loi n'est pas quelque chose de naturelle pour l'homme: en effet, il n'existe aucune loi universelle. Chaque culture, pays, société possède donc sa propre justice avec ces propres lois. Un homme qui obéira donc aux lois de son pays sera considéré comme un homme juste et « bon ». Et pourtant il désobéit aux lois d'un autre pays. Mais suffit-il seulement de les respecter

a bien renoncé au droit d’agir selon sa propre volonté, mais il n’a rien abandonné de son droit de raisonner, ni de juger. D’où la conséquence : Certes, nul ne peut, sans menacer le droit de la souveraine Puissance[1], accomplir une action qui aille contre la volonté de celle-ci ; mais les exigences de la vie dans une société organisée n’interdisent à personne de penser, de juger et, par suite, de s’exprimer spontanément. A condition cependant que chacun se contente d’exprimer ou d’enseigner sa

mystère, la foi, les hiérarchies, les attachements naturels, l’enracinement, le sens de la «   terre  » etc.. Conscience : (etym : latin cum-scientia, avec savoir) 1) Sens ordinaire : faculté propre à l’être humain de se représenter lui-même et de se juger 2) Philosophie : faculté de se représenter ce qui existe  et de se prendre soi-même pour objet. La conscience est une forme de présence ou d’attention au monde qui est commune aux animaux et aux être humains. Mais la faculté de se prendre soi-même

Michel Fustier, un philosophe et écrivain, a écrit dans La Culture en 1970: « Être cultivé, c’est être différent ».  « Être cultivé, c’est être différent », c’est à dire que pour être cultivé, nous devons nous évader du moule commun, surpasser la masse, atteindre notre propre particularité, et devenir un autre. Comme l’a écrit Michel Fustier, « la culture est relative, elle n’est pas un « en soi », elle est une différence »; la culture de masse n’a pas de capacité d’assimiler les idées d’homme;

alors en allant à l'étranger et en faisant connaissance avec d'autres cultures, il ne peut qu'apprendre à mieux connaître les citoyens de son pays. Et mieux connaitre les étrangers, aidera à les accepter et à lutter contre le racisme, ne plus les utiliser comme bouc émissaire, etc . Mais, s'est aussi en observant les autres, que l'on peut découvrir de nouvelles manières de vivre, et que l'on peut s'en inspirer pour évoluer. Et puis, pourquoi aller à l'étranger si c'est pour vivre comme en France?