Puisqu'il faut vivre

a eu lieu ne peut pas ne pas avoir eu lieu, le passé ne peut être ni défait ni refait, il sera scellé dans le passé à jamais. Bien qu'il eut été le grand fantasme de l'humanité de retourner dans le passé pour transformer une situation ou encore de vivre des aventures dans le futur. Saint augustin exposera que le temps est toujours lié au passé de par la mémoire ou l'histoire et tout autant au futur avec l'homme qui entreprend des projets ou sa quête du bonheur. Pourtant, nous vivons au présent. La

son passé qu'il soit bon ou mauvais. Je pense aussi qu'on ne pourra pas vivre sans avoir un passé car c'est lui qui détermine le présent et le futur.* Qui n'a pas de passé , n'aura pas de futur....Notre passé est notre expérience , il existe en nous et nous vivons avec, c'est notre personnalité, nos sentiments, nos attitudes...Notre passé est la cause de notre présent et causera notre futur,l'oublier c'est impossible puisqu'il est devenu un part de nous même s'il est aussi difficile et aussi malheureux

considérable sur la société et la vie quotidienne des Français, en particulier pendant l'Ancien Régime. C’est pourquoi le mariage qui est fortement encouragé par l’église et les familles était la pratique répandue dans la société chrétienne. ll faut savoir que le mariage était nécessairement un sacrement, cette conception était imposée par le christianisme triomphant. Les règles qui régissent le mariage sont principalement dictées par le droit canonique, qui est le droit propre de l'Église

personnes pourraient dire que le courage peut être utilisé à des fins négatives, puisqu’il peut donner trop de confiance et pouvoir. Ce pendant, le courage considéré comme une vertu indispensable, est le courage à faire le bien. Tout d’abord, le courage est une vertu indispensable, puisqu’il est nécessaire pour affronter la réalité de la vie. En effet, nous avons besoin de courage pour réussir dans la vie, puisqu’il est directement lié avec l’estime de soi. Chaque jour nous devons tous faire des

aucun intérêt pour quelque chose, aucune réaction, aucun sentiment, il fait comme si l’autre n’existait pas, ne dit rien, ne réconforte pas, il détruit l’estime de l’autre et le réduit à rien. Il est évident que la société a besoin des autres pour vivre, si l’homme devient cet être indifférent, nous sommes donc, anéanti, oublié, cela peut causer la mort, le mal triomphe par inaction de bien. Prenons l’exemple de la famine qui tue en Afrique, de notre cours de 5ème en géographie l’année dernière, la

considérait que son pouvoir était détenu par une classe qui souhaitait dominer ou opprimer une autre classe. Les arguments qu’avançait la classe dominante étaient que le pouvoir de l’Etat sur ses membres était nécessaire pour que tout le monde puisse vivre en harmonie, mais Marx pensait que la seule chose qu’ils voulaient était le pouvoir pour dominer. L’instauration de l’Etat et de relations organisées par le pouvoir ne sont-ils qu’un leurre ? Il est vrai qu’il serait possible de concevoir une société

« amas d'actions indignes » (l.1-2) et « suite continuelle de méchantes affaires » (l.3) montrent que ce que fait Dom Juan déplait à son père. « Quelle bassesse est la vôtre ! » (l.5) ; cette phrase prouve que Dom Juan n'a pas des attitudes telles qu'il faut en avoir quand on a une élévation morale et de noblesse comme c'est le cas pour lui. Le père souligne l'évidence par une fausse interrogation : « de quel oeil, à votre avis, pensez-vous [...] » (l.1). Face au comportement de son fils, Dom Louis

pas, ils chercheront à connaitre la vérité. b) Socrate ne voit pas la mort comme un grand mal puisqu’il croit que c’est de ne pas suivre sa mission qui serait un mal plus grand. Il souhaite mourir digne et respecter la mission que lui à confier l’Oracle, plutôt que d’obéir aux concitoyens et d’arrêter de philosopher et d’être indigne de lui-même. Les concitoyens vivront un plus grand mal puisqu’ils condamneront injustement Socrate. Et puisque personne ne sait ce qu’est la mort, Socrate n’est pas

Peut-on vivre sans travailler ? On peut voler, ou se faire entretenir, mais que quelques uns puissent tirer au flanc pour profiter du travail des autres ne change rien à l’affaire : notre société est fondée sur le travail. Avant même d’être citoyens, nous sommes des travailleurs parce que nous sommes consommateurs. Un animal trouverait dans la nature quelque moyen de subsister. Pas nous : il nous faut des biens de consommation, ce qui suppose une formidable organisation à laquelle tous participons

la première personne du singulier la forme d’un journal ou le héros, Meursault nous conte lui-même sa vie. De par la lecture, on comprend vite que Meursault est un personnage asocial. Il semble marginal et atypique. Cette impression est renforcée puisqu’il est marqué au début du roman par la mort de sa mère. Le héros lui-même va jusqu'à commettre un crime. Et, le lecteur assiste par la suite, dans la seconde partie du roman au procès de Meursault et à son chemin vers la condamnation à mort. Nous nous