Puritanisme

l'hedonisme est introduit comme nouvelle revendication par les artistes novateurs inspires par le romantisme, dans le but de contrer ouvertement les ideaux et valeurs de la bourgeoisie, centres sur ''le travail, l'epargne, la moderation, et le puritanisme''. Les critiques et le desir de renouveau quant aux conventions et institutions sociales se font plus radicaux, avec pour principal mentor le culte du ''moi''. Cette culture de la personnalite, la recherche du plaisir, ''vivre avec la maximum d'intensite

de mater le corps, besoin qui autrefois se satisfaisait dans des pratiques comme le jeûne religieux. Notre société, qui se veut permissive et rejette les contraintes, aurait ainsi engendré, assez curieusement, de nouvelles austérités, un nouveau puritanisme. On le voit, la mode joue certainement un rôle actif dans le refus de la graisse et la recherche de la minceur à travers la publicité et un canon de beauté occidental moderne qui tend à uniformiser notre manière de penser. Cependant, ces phénomènes

l’histoire du cinéma (mais aussi de l’histoire de la littérature, de la chanson populaire etc), à travers les représentations qui en sont données, notamment celles de l’amour: Romantisme édulcoré au happy end facile, passions au dénouement fatal, puritanisme ou perversité. L’amour est usé par sa propre image. Il est lui- même devenu image. Image publicitaire dominante, où l’amour ne sait plus exister en dehors de normes esthétiques imposées . Plus on l’enferme dans ses stéréotypes, plus il s’éloigne

par Dieu, afin de se convaincre par sa réussite matérielle de son élection.Weber voit ainsi à la fois rupture et continuité entre l’ascétisme des religieux catholiques et l’ascétisme intramondain des calvinistes : la chasteté du moine devient un puritanisme dans le mariage où chaque acte sexuel doit avoir comme finalité la reproduction, le refus de la jouissance persiste, mais là où il était opposé à la contemplation et la dévotion à Dieu, ici, il est maintenant déprécié au profit de l’épargne et d’une

tableaux, comme dans The Bootleggers, qui présente des trafiquants de whisky acheminant leur cargaison à la faveur de l’aube. Hopper évoque ici ironiquement la prohibition, l’hypocrisie qu’elle révèle. L’artiste abordera aussi dans ses tableaux le puritanisme et la seconde guerre mondiale. Edward Hopper, couverture de The Express Messenger, d’après un dessin 1918 Edward Hopper, The Bootleggers 1925 Huile sur toile, 76,5x96,5cm Manchester, New Hampshire En 1920, Guy Pène du Bois organise une

Gandhi, tué en 1948 par un hindou nationaliste, pour Martin Luther King, assassiné en 1968, ou encore pour Harvey Milk, homme politique américain qui a défendu les droits civiques des homosexuels ; il fut lui aussi tué, en 1978, se heurtant au puritanisme américain. Ainsi, nous pouvons nous demander si ces hommes (qui certes n’ont pas directement sacrifié leur vie au nom de leurs convictions), ne sont pas, à cause d’un engagement trop important, morts eux aussi pour leurs idées ? L’homme pense

que quatre siècles de soumissions, de résignation, de mesquinerie ? Tumanbay a offert au Caire et à son peuple le plus beau présent qui soit : un feu sacré qui éclairera et réchauffera la longue nuit qui commence.” De l’autre, la réaction du puritanisme protestant : moralement vertueux, presque irréprochable, plus fidèle aux Évangiles, … mais tellement austère. Rudesse et simplicité des temples protestants contre richesse et grandiloquence des églises catholiques. Le discrédit des papes et la

que quatre siècles de soumissions, de résignation, de mesquinerie ? Tumanbay a offert au Caire et à son peuple le plus beau présent qui soit : un feu sacré qui éclairera et réchauffera la longue nuit qui commence. » De l’autre, la réaction du puritanisme protestant : moralement vertueux, presque irréprochable, plus fidèle aux Évangiles, … mais tellement austère. Rudesse et simplicité des temples protestants contre richesse et grandiloquence des églises catholiques. Le discrédit des papes et la

développement de la presse est la caractéristique de l’époque, qui consiste à utiliser des injustices pour légiférer, et produire des lois générales[3]. Chartier voit par ailleurs des similitudes quant à la question religieuse : Au Jansénisme il compare le puritanisme anglo-saxon qui, même si la déchristianisation se développe moins dans le monde britannique, est un espace critique du pouvoir, en particulier de ses dérives despotique. Ensuite, Chartier « questionne » la France de 1789 sur un point inspiré de

Ils sont alors remplacés par des tournures qui en atténuent le pouvoir d’évocation. Par exemple, au Québec, on invitera le visiteur à la salle de bain et en France on l’invitera au petit coin ou au W.-C. À une époque où soufflait un vent de puritanisme, le mot sein devint tabou en raison de sa connotation sexuelle (« Cachez ce sein que je ne saurais voir », dit le Tartuffe de Molière) ; on le remplaça alors par gorge ou poitrine. • Au Québec, dans le parler « joual », certains mots anglais