Purpura

fièvre impose d’évoquer le diagnostic d’endocardite , de pratiquer des hémocultures avant toute antibiothérapie. Les autres signes cliniques sont de grande valeur diagnostic comme la splénomégalie, l’asthénie, les nodules érythémateux douloureux, un purpura pétéchial. 7.3 La recherche de la porte d’entrée. Il convient de faire une enquête minutieuse en vue d’une porte d’entrée : - Bucco-dentaire - ORL a type d’angine, de pharyngite, d’otite, de sinusite - Cutanée : abcès, folliculite, brûlure - Urogénitale

En plus de l'atrophie et de la perte d'élasticité, la peau subit d'autres modifications. En voici quelques-unes : - apparition des taches colorées sur l'épiderme (lentigo sénile)- étoiles veineuses (ou marguerites de cimetière !)- présence de purpura, d'ecchymoses à cause de la fragilité du derme et des vaisseaux- présence de télangiectasie sénile (dilatation permanente des petits vaisseaux sous-cutané- assèchement et écaillement de la peau . Au niveau des phanères (cheveux, poils et ongles)le

de saignements spontanés. Les plaquettes ne peuvent plus obturer les brèches microscopiques résultant de petits traumatismes des parois vasculaires. Cette anomalie se traduit cliniquement au niveau de la peau par l’apparition de taches rouges « purpura » ou de plaques étendues « ecchymoses ». 18 L’HEMATOPOÏESE I – INTRODUCTION L’hématopoïèse est l’ensemble des phénomènes de différenciation et de maturation cellulaire qui aboutit à formation des cellules sanguines. Son but est d’assurer

de maladies qui peuvent être traitées par plasmaphérèse : •syndrome de Guillain-Barré •syndrome de Goodpasture •syndromes d'hyperviscosité : oCryoglobulinémie oParaprotéinémie oMaladie de Waldenström •Myasthénie grave (Myasthenia gravis) •purpura thrombotique thrombocytopénique (TTP) 2) La thrombaphérèse : [pic] La thrombaphérèse permet de recueillir jusqu’à 650ml de plaquettes. On prélève au donneur environ 6 fois plus de plaquettes que pour un don de sang total : ainsi un seul

annulaire polycyclique. - Lupus néonatal. 2.2- lésions de vascularite : Indice d’évolutivité et d’activité de la maladie. - Erythème et œdème péri unguéal : à la sertissure des ongles, à la pulpe des doigts, aux éminences thénar et hypothénar. - Purpura. - Pétéchies, télangiectasies. - Livédo réticulaire (Î rechercher APL). - Urticaire – œdème angioneurotique. - Nodules sous-cutanés d’allure rhumatoïde (rare). Page 9 Traitement de lupus érythémateux disséminé - Ulcérations de jambe – gangrène

| | |Raideur de la nuque | | |Risque++ : purpura fulminans : nécrose extrémités, sepsis++ (TA-) ou choc septique (=>réa) | | | |Trouble conscience, convulsions | |

pseudo-appendicite, lupus érythémateux) | |E.coli O157:H7 |5 -12°C |Vérotoxines | |colites hémorragiques, syndromes hémolytiques urémiques et purpura | | | |(= shiga-like toxine) | |thrombocytopéniques | |Listeria monocytogenes

|Echinaceae angustifolia |Echinacoside, acide chicorique |Immunostimulant. Stimulation moelle ( libération leucocytes. Capacité phagocytose augmentée. | |(Echinaceae purpura) |Polysaccarhides (homogènes, hétérogènes), polyacétylènes, isobutylamides, flavonoïdes (surtout |Niveau properdin sérum augmenté ( système défense non-spécifique stimulé. | |Asteraceae

vomissements, hyperthermie (complications : pseudo-appendicite, lupus érythémateux) Yersinia enterocolitica E.coli O157:H7 1°C 5 -12°C Listeria monocytogenes 1°C Clostridium botulinum 3°C colites hémorragiques, syndromes hémolytiques urémiques et purpura thrombocytopéniques Vérotoxines (= shiga-like toxine) neurotoxine botulique préformée dans l'aliment (ou, plus rarement, produite dans l'intestin ) 3 – 70 jours bactériémie associée ou non à une infection du système nerveux central (méningite

faire attention aux thrombophlébites des sinus caverneux dans les cellulites rétroseptales. Les germes le plus souvent trouvés sont les streptocoques A. Les fasciites nécrosantes entraînent une nécrose du tissu conjonctif et adipeux avec présence de purpura nécrotique (bactéries mangeuses de chair), de zones cutanées bleutées ou pâles, de zones hypo ou anesthésiques associées à une altération de l'état général, ne régressant pas sous antibiotiques, et nécessitant une exploration chirurgicale montrant