Putois

mesure plus ses propos II. Etude sociologique des comportements A. Métamorphose collective des convives * Bestialité première « ventres enflés » « bedons qu’on voyait se gonfler » Animalisation des convives, onomastie « Mme Lerat » « Mme Putois » Gervaise est associée à l’oie, dorée, énorme → Les convives la dévorent, profitant de cette générosité l. 23, 24, 25 « Abêti » → les personnages perdent toute retenue B. La sexualité associée à cette ripaille * Plaisir sexuel associé

la maison, M. Madinier, mademoiselle Remanjou, les Boche ; elle enlevait même à son ancienne patronne, madame Fauconnier, des dames de Paris logées rue du Faubourg-Poissonnière. Dès la seconde quinzaine, elle avait dû prendre deux ouvrières, madame Putois et la grande Clémence, cette fille qui habitait autrefois au sixième ; ça lui faisait trois personnes chez elle, avec son apprentie, ce petit louchon d'Augustine, laide comme un derrière de pauvre homme. D'autres auraient pour sûr perdu la tête dans

structure sportiveMission 1: visiter une structure sportive BASE DE ST BAUZILLE DE PUTOIS Introduction Le Samedi 9 Avril 2011, nous sommes allé, Fréderic Malcles et moi-meme (Paul Gonzales), visiter une structure sportive à St Bauzille de Putois, pour répondre, dans le cadre de notre option GESL, à notre première mission. Nous avons choisit cette structure car nous connaissons trois personnes qui y ont travaillé à des périodes totallement differentes. Nous avons vu que la transformation

____________________________________________________________ Professeur Principal : M. FRANCOIS Etaient présents : Mme ZEHRINGER Présidente de séance – Directrice adjointe – Responsable Pédagogique du niveau 3ème M. FRANCOIS Professeur Principal – Professeur d’EPS M. PUTOIS Professeur de Français Mme LOISELLE Professeure d’Histoire – Géographie -EMC Mme OLIVE PONTES Professeure d’Anglais M. NABET Professeur de Sciences Physiques Mme PRUDHOMME Responsable Éducative Niveau 3 M. MASSOT

Analyse de Little Stinker. Un putois courtise les femelles. Cupidon se muni d'un masque à gaz. Conseil sur l'art de se faire aimer : Imitez Charles Boyer. Imitez Roméo. Imitez Frank Sinatra. Toutes deviennent folles devant la scène sexuelle. Elles se jettent sur lui, puis s'écarte avec horreur. Cupidon empêche le putois de se suicider : conseil de se camoufler en renard. Il séduit une femelle, mais son camouflage tombe à l'eau, il se trouve que la femelle est aussi un putois. A propos de Little Red

l’importance de ce facteur avec une expérience mettant en jeu l’ennemi naturel de la dinde : le putois. A son approche, la dinde devient furieuse, crie et l’attaque avec son bec et ses griffes. Même un putois empaillé tiré par une ficelle déclenche une attaque. Sauf dans un cas : si l’on place un magnétophone faisant « tchip-tchip » dans le putois. Dans ce cas la dinde est tout à fait pacifique avec le putois, et le prend même sous son aile. Mais dès que l’on arrête le magnétophone, elle l’attaque comme

repérables, ainsi les descriptions anciennes du furet ne mentionnent souvent que cette variété[2],[3],[4]. Le furet putoisé apparait plus tardivement, au xixe siècle, il est alors décrit comme étant un hybride entre un furet albinos traditionnel et un putois sauvage[5]. Désormais, depuis les années 1980, le furet putoisé a la faveur du consommateur grâce aux différentes couleurs et marquages possibles obtenus par mutation. Ce changement s'explique par la prédominance du furet en tant qu'animal de compagnie par

boire et à se complaire dans l’alcool. Il est le lieu où Gervaise commence à se dégrader. Métaphoriquement, il serait comme un piège à animaux. Tout au long du livre, Zola utilise des noms d’animaux pour nommer les personnages : comme par exemple Mme Putois, Mme Lerat, Mme Coudeloup ou Monsieur Poisson. La célèbre scène de l’oie (chapitre 7) est typiquement une scène où l’on voit les animaux plutôt que les hommes à l’œuvre, entrain de « dévorer » leur repas plutôt que de le manger proprement. Ainsi

C’est aussi la « peau » qui devient autant celle de Virginie que celle de l’oie, blanche comme Virginie, virginale. Mais cette équivalence se renverse quand les comportements s’animalisent tels : « madame Putois grattaient des os ». Le jeu sur l’onomastique dans le choix du signifiant « Putois » contient l’animal par ailleurs. Autre trace d’animalisation quand Clémence devient oie : « Clémence achevait son croupion, le suçait avec un gloussement des lèvres ». Les convives s’animalisent au point que

Coupeau, et elle cherche à tout de même bien manger. Un mois à l’avance, les préparatifs commencent : Gervaise veut douze personnes à sa fête : il y aura elle, son mari, Mme Coupeau mère, Mme Lerat, les Goujet, les Poisson, ainsi que ses ouvrières : Mme Putois et Clémence. Puis, pour faire 12, elle invite les Lorilleux. Les Boches se font inviter aussi : ils seront donc 14. Tout le monde parle du menu à l’avance. Virginie fait savoir que Lantier erre dans les parages et la conversation tourne autour de