Pyrolyse

la biomasse : Les technologies actuelles de conversion de la biomasse en hydrogène comprennent la gazéification ou pyrolyse couplée à de subséquents reformages à la vapeur. Les principaux procédés de conversion sont : • La gazéification à chauffage indirect. • La gazéification oxygénée. • La pyrolyse • Gazéification biologique (Fermentation anaérobique). Les installations dédiées à la gazéification

thermiques ou pyrolyses De nombreuses substances chimiques et plus particulièrement les molécules organiques ne résistent pas aux températures élevées et se décomposent en donnant naissance à une foule de substances plus ou moins bien connues. Ces réactions sont appelées décompositions thermiques ou pyrolytiques ou encore pyrolyses. Elles sont fréquentes lors des incendies et explosions, et la plupart des produits qui se dégagent lors de ces phénomènes sont les produits de la pyrolyse. La nature chimique

thermiques ou pyrolyses De nombreuses substances chimiques et plus particulièrement les molécules organiques ne résistent pas aux températures élevées et se décomposent en donnant naissance à une foule de substances plus ou moins bien connues. Ces réactions sont appelées décompositions thermiques ou pyrolytiques ou encore pyrolyses. Elles sont fréquentes lors des incendies et explosions, et la plupart des produits qui se dégagent lors de ces phénomènes sont les produits de la pyrolyse. La nature

détection de drogues, la quantification et l’identification de métabolites… III) LES HYDROCARBURES POLYCYCLIQUES AROMATIQUES Les hydrocarbures aromatiques peuvent être d’origine naturelle [4-5] mais ils proviennent principalement des processus de pyrolyse ou la combustion incomplète de matières organiques (incinération des déchets agricoles, la combustion du bois, du charbon ou des ordures ménagères mais également le fonctionnement des moteurs à essence ou des moteurs diesels). Les HAPs sont rarement

R C OH O SOCl2 R C Cl + SO2 + HCl O R C Cl + H3PO4 O R C Cl + POCl3 + HCl O - Transformation en amide : par déshydratation des sels d’ammonium d’acide : R C O NH3 O - H2O R C NH2 O - Formation de cétone : la pyrolyse des sels de calcium d’acide conduit à des cétones (méthode de PIRIA) par décarboxylation : O R C O Ca2+ R R O O O V.2.Réduction Les acides peuvent être réduits en alcool ou aldéhyde. - Réduction en alcool : La réaction passe par

les monomères de départ. Certaines de ces techniques ont d’ailleurs conduit au dépôt de brevets. Mais ces méthodes ne s’appliquent pas à la grande majorité des polymères industriels courants qui devront subir des opérations plus brutales comme la pyrolyse, pour donner des molécules facilement réutilisables. On obtient ainsi un pseudo pétrole utilisable en raffinerie. Le recyclage chimique se développe surtout en Allemagne, où les financements sont importants. De manière générale, le recyclage chimique

manteau (partie de l'écorce terrestre sur laquelle flotte la lithosphère). Pour un avenir encore lointain, on envisage un retour à la production d'hydrogène par électrolyse, ou encore soit par décomposition de l'eau à haute température, soit par pyrolyse de la biomasse, grâce à une énergie bon marché fournie par des centrales nucléaires de 4ème génération (réacteurs à Très haute température). Cet hydrogène aura des usages accrus dont l'hydrogénation des hydrocarbures lourds et peut être les transports

peu coûteuse et utilise des métaux abondants. 3. Cette technique utilise un dispositif encombrant et fait appel à de l’énergie issue de combustibles fossiles. 4. Les principales étapes de production du dihydrogène à partir de la biomasse sont la pyrolyse à haute température, suivie de l’élimination du monoxyde de carbone produit en même temps que le dihydrogène. 5. L’électrolyse de l’eau nécessite l’utilisation de combustibles fossiles dont la combustion libère des gaz à effet de serre, dont le dioxyde

électrique à arc à plus de 200 oC. On obtient ainsi un matériau dit « métallurgique », dont la pureté est d’environ 98 %. Ce produit est purifié par chlorination à 300 oC, ce qui donne du silicium sous forme gazeuse (trichlorosilane ou silane). Après pyrolyse et réduction par de l’hydrogène à 1 100 oC, le matériau obtenu est sous la forme d’une poudre de haute pureté ; les traces d’impuretés résiduelles sont inférieures au ppm masse. Il sert alors de produit de départ pour la croissance de lingots, qui

déchets ultimes, comme les résidus d'incinération ; • l'incinération : très utilisée, car peu coûteux, il impose notamment de traiter les fumées qui peuvent s'avérer très nocives. Cette technique peut servir à une valorisation énergétique ; • la pyrolyse ou la gazéification, qui permettent elles aussi une valorisation énergétique des déchets, et nécessitent également un traitement des fumées ; • la méthanisation ou biométhanisation : en enfouissant les déchets organiques et en les privant d'oxygène