Qu En Avez Vous Fait Marceline Desbordes Valmore

p. 7 Parfum Exotique, de Charles Baudelaire p. 8 La fin de l’Automne, de Francis Ponge p. 9 Hiver, de Marceline Desbordes-Valmore p. 10 • L’Hiver, de Jean-Claude Brinette p. 11 Postface

destin ? Je suis comme la colombe Hélas ! et, sans ton sourire, Qui vient boire au lac d'azur. Que ferai-je du matin ? L'amour fait comprendre à l'âme Que ferai-je, seul, farouche, L'univers, salubre et béni ; Sans toi, du jour et des cieux, Et cette petite flamme

DM2 – Lecture cursive d’un recueil de poèmes et travail à faire dessus Choisissez l’un des recueils suivants et répondez aux questions en un travail bien présenté. Deux recueils de poésie amoureuse : - Marceline Desbordes-Valmore, Amours (dans Poésies inédites), 1860 - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, 1947 Deux recueils de poésie contenant quelques poèmes amoureux : - Jacques Prévert, Paroles, 1946 - Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 et Je cours après mon ombre, 1981Marceline

peine, hélas ! Au printemps de sa vie, Son coeur sentit qu'il était fait pour vous. Point de serment, point de vaine promesse : Si jeune encore, on ne les connaît pas ; Son âme pure aimait avec ivresse Et se livrait sans honte et sans combats. Elle a perdu son idole chérie : Bonheur si doux a duré moins qu'un jour ! Elle n'est plus au printemps de sa vie, Elle est encore à son premier amour. Marceline DESBORDS-VALMORE(1786-1859) (Recueil : romance) Alphonse BEAUREGARD (1881-1924)

puisque selon Jean Jacques Rousseau « Aimer et être aimé sera la plus grande affaire de toute notre vie ». Mais, dans ce recueil, je ne vous présenterai pas la poésie amoureuse sous cette forme, mais plutôt sous son aspect douloureux, quand l’amour fait souffrir, qu’il nous rend malheureux . Car oui, l’amour a le pouvoir de provoquer un grand bonheur immédiat mais aussi d’engendrer une tristesse immense . Mais n’est on pas dépendant de cette souffrance qui rythme nos vies ? « L'amour est la chose

Caliste est belle :C'est une œuvre où Nature a fait tous ses efforts :Et notre âge est ingrat qui voit tant de trésors,S'il n'élève à sa gloire une marque éternelle.La clarté de son teint n'est pas chose mortelle :Le baume est dans sa bouche, et les roses dehors :Sa parole et sa voix ressuscitent les morts,Et l'art n'égale point sa douceur naturelle.La blancheur de sa gorge éblouit les regards :Amour est en ses yeux, il y trempe ses dards,Et la fait reconnaître un miracle visible.En ce nombre infini

les villes et à river l’homme à la machine, la nature symbolise à leurs yeux la liberté, la pureté et la paix. On retrouve ce thème chez les romantiques, et en particulier dans les poèmes de Vigny [3]. Une telle conception de la nature privilégie de fait les paysages sauvages, dénués de toute trace d’activités humaines. Dans René, Chateaubriand parle de la nature. Le personnage René est le premier personnage romantique. Il aime contempler la nature où il n'y aucune présence humaine, de société dans

Microsoft Word - Apollinaire - Roses guerrières.docRoses guerrières Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Poèmes à Lou Apollinaire était un apatride ; voulant défendre la France qui l’avait accueilli, il s’est engagé volontairement à 35 ans dans l’artillerie ; il a été blessé puis trépané (il est mort de la grippe espagnole la veille de l’armistice). Au début de la guerre, il était l’amant de Louise de Coligny-Châtillon, à laquelle il a adressé une foule de poèmes. Il s’agit presque exclusivement

« Les poètes maudits » sorti en 1884. Cet ouvrage présente les œuvres des principaux auteurs de la seconde moitié du XIXe siècle qu'il connaissait. Il a écrit son œuvre sur Arthur Rimbaud, Stéphane Mallarmé, Tristan Corbière ou encore Marceline Desbordes-Valmore et parle aussi de lui-même en changeant son nom. Par la notion de « poète maudit » l'on veut exprimer l'idée que ces artistes possédaient une malédiction. Ils semblent voués au malheur, à la malchance et ont tous eu une fin tragique très

du XIXe au XXI e sièclePARCOURS 1 : Mémoires d’une âme Œuvre intégrale : Les Contemplations de V. Hugo (1856) ANALYSE LINEAIRE TEXTE 3 : LES SEPARES DE MARCELINE DESBORDES-VALMORE N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre. Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau. J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre, Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau. N'écris pas ! N'écris