Qu Est Ce Qu Un Citoyen Libre

rebours de ce qui est souvent vu en cours. En somme, le sujet invite à se demander si on peut être démissionnaire au plan politique (ne pas être un citoyen vigilant, intéressé et actif) et être suffisant au plan moral ? Est-ce que je peux être moral si je ne suis pas un bon citoyen ? (alors qu'en cours on se demande plutôt souvent s'il suffit d'être un bon citoyen pour être moral?) I. On peut semble-t-il agir moralement sans s'intéresser à la politique : la morale relève de la sphère privée et la politique

La notion de citoyennete trouve son origine dans le cadre de la cite, polis, de la Grece Antique, fondee sur l'egalite de ceux qui ont le statut de citoyens. Contrairement aux esclaves ou aux artisans par exemple, les citoyens, qui constituaient un groupe exclusivement masculin, participaient aux debats dans l'agora et a la prise de decisions (guerres ou encore nouvelles lois...). Ils pouvaient en outre, posseder la terre. Donc, si l'on fait la genese du terme, du concept de "citoyennete", des droits

La liberté de la presse dans le monde entre 1995 et 2004: du surplace? % de pays en 1995 34 32 Pas libre Plus ou moins libre Libre 34 % de pays en 2004 Pas libre Plus ou moins libre Libre 38 36 26 6 Source: Freedom House. L’axe des Y mesure le pourcentage des pays dont la presse est libre (score de 30 ou moins), plus ou moins libre (score entre 30 et 60) ou pas libre (score de plus de 60). La gouvernance s’est cependant améliorée dans certains groupes de pays: effet magnétique

des règles. Donc, les sociétés primitives, qui ont du social, ne coïncident pas avec la description de l'État de nature de Locke, Hobbes et Rousseau. Hegel revient à l'image d'Aristote: « L'homme est une animal politique. » L'homme est naturellement libre selon Hegel et cette liberté s'atteint par la médiation infinie de l'éducation, qui doit imprégner la volonté sensible. Question 3: La raison dans l'histoire est une œuvre du philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel publiée en 1821. Dans

Le contrat social Livre I chapitre 1 Sujet de ce premier livre Rousseau commence par un constat propre à son époque : « l’homme est né libre, et partout il est dans les fers ». L’ordre social est sacré et sert de base à tous les autres mais il n’est pas naturel, il repose sur des conventions. Chapitre 2 : des premières sociétés Rousseau place la famille comme origine des sociétés politiques. Le chef est le père et les enfants sont le peuple. Le lien qui unit la famille se dissout sitôt

du citoyen de 1789 et l’ancien régime ». Selon l’historien Jules Michelet, « La convocation des États généraux de 1789 est l’ère véritable de la naissance du peuple. Elle appela le peuple entier à l’exercice de ses droits ». Par cette citation, on voit bien que le préambule de la Déclaration des droits de l’homme mais aussi celle-ci sont une volonté tout d’abord populaire et que la population attend beaucoup de cela. Le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen précise

américaine Aux États-Unis, c'est le Premier amendement de la Constitution qui garantit la liberté d'expression : "Le Congrès ne fera aucune loi accordant une préférence à une religion ou en interdisant le libre exercice, restreignant la liberté d'expression, la liberté de la presse ou le droit des citoyens de se réunir pacifiquement et d'adresser à l'État des pétitions pour obtenir réparation de torts subis C'est au nom de cette liberté constitutionnelle qu'aucune loi ne peut interdire l'expression de

• Chapitre 1 : « L'homme est né libre, et partout il est dans les fers. » o Rousseau évoque la domination sociale : les hommes sont dominés par d'autres hommes. L'homme est né libre, mais il est esclave de ses impulsions, de ses passions, etc. o « Comment ce changement s'est-il fait ? » : depuis longtemps, l'homme a connu diverses formes de domination. Selon Rousseau, l'homme est forcé de vivre en société : « l'ordre social est un droit sacré, qui sert de base à tous les autres. ». • Chapitre

s’il peut exister un écart quelconque entre eux, et cette doute suscite des interrogations qui sont les suivantes : -Est-ce que la démocratie peut exister sans une quelconque forme de laïcité, si l’on se réfère à son essence qu’est la liberté des citoyens ? -Entre la démocratie et la laïcité, n’y a-t-il pas plutôt une sorte de dépendance, de complémentarité, une inclusion même ? Pour cerner ces questionnements, il nous faut les dépasser par une autre interrogation qui va beaucoup plus loin, une

prescrite par une autorité souveraine, peut-elle s’adapter avec Ia liberté dont Ia définition se résume principalement à l’absence de contraintes ? I. La liberté sans aucune Iois ? Faire tout ce que I'on veut, assouvir tous ses désirs, n‘est pas être libre mais être soumis à ses passions. La liberté n‘est pas l’assouvissement de tous les désirs ni Ie rejet de toute autorité. Si on en reste a Ia définition la plus commune, cela signifierait aussi que Ia seule situation dans Iaquelle I'homme trouve sa