Qu Est Ce Que L Homme Gramsci

l’exploitation d’un homme sur un autre les réconcilie. * Les rapports humains s’améliorent, bonheur et liberté DEPERISSEMENT DE L’ETAT * Fonction coercitive de l’Etat n’a plus de raison d’être car les problèmes de classes ont disparu * Le but n’est pas d’aller vers une société anarchique * La contrainte étatique est remplacée par une discipline sociale librement consentie. L’HOMME NOUVEAU * Pour que la société communiste puisse bien fonctionner, il faut un homme neuf, libéré

de I'inégalité > 32. Si Rousseau valorise la société politigue issue du contrat social, il dévalorise en revanche la société civile ou civilisée, société de I'intérêt et des passions gue décrit Mandeville dans sa Fable d,es abeilles 33. Coestà cet homme corrompu par la civilisation que Rousseau entend substituer le citoyen pur de tout intérêt particulier; c'est à la société civilisée quoil entend substituer la société politique fondée par le contrat social. On comprend ainsi l'ambivalence du mot <

distinguer plusieurs sortes de spontanéité et plusieurs sortes de réflexion si l’on veut surmonter leur apparent antagonisme.  Un certain sens de « spontanéité » et de « réflexion » les mettent en position antagoniste. On le voit bien lorsqu’Antonio Gramsci distingue deux niveaux de sens du mot « philosophie », la « philosophie spontanée » opposée à la « philosophie réfléchie ».  La philosophie spontanée est alors celle qu’on abrite passivement en soi, elle est présentée comme le résultat d’un ensemble

dictionnaires actuels se réservent de donner une définition synthétique et se bornent à définir la société civile selon les auteurs. C’est le cas de M. Gravitz, qui dans son lexique juridique se contente de donner la version d’Hegel, de Marx et de Gramsci. Mais pour donner une idée sur le sens qu’on donne à la société civile aujourd’hui, on peut dire que c’est l’« ensemble des citoyens en tant qu’ils se différencient de la classe dirigeante ou politique.» 1 Ainsi, on peut retenir d’une manière générale

politique, justice, religion, culture, etc… II) Historique Comment passe-t-on d’une société capitaliste à une société communiste. 1) Stades d’évolution : « L’histoire de toutes sociétés jusqu’à nos jours est l’histoire de la lutte des classes. Homme libres et esclaves… Barons et serfs. » Le schéma s’applique à chaque période de l’histoire : antiquité / esclavage, féodalité / servage… capitalisme / salariat. 2) Dialectique, la question des transitions entre différents stades, jusqu’au capitalisme

pouvons dire que le travail est une valeur fondamentale sans oublier l’esclavage, le servage, l’exploitation, le travail des enfants, les camps de travail, les dégâts causés à l’environnement... Il y a une formule d’un philosophe et homme politique italien, Antonio Gramsci, que j’aime beaucoup, et qui me semble s’appliquer à notre question : nous devons cultiver « le pessimisme de l’intelligence et l’optimisme de la volonté ». Ainsi donc, entre les dérives nombreuses associées au monde du travail

riche. Ce détour par la « société civile » nous permet de penser des relations autonomes ou en conflit avec l’Etat. Malgré tout, il ne faut pas penser la « société civile » dans son extériorité à l’Etat et à la « société politique » (terme emprunté à Gramsci). En effet, c’est bien une relation constante de vas-et-viens, d’interpénétration qu’il faut voir entre la « société civile » et la « société politique », cette relation constante obéissant à la logique d’accumulation (de la « politique du ventre »)

la violence légitime. Il y aussi une adhésion à un ordre politique. Autrement dit, l’Etat agit par la contrainte et par l’adhésion. Néanmoins Gramsci, de tradition marxiste, pense que l’Etat moderne agit plus par la persuasion que par la violence et la contrainte. Alors que, son inspirateur va dire au fond, ce qui constitue l’Etat est l’armée. Gramsci pense que le rapport avec l’Etat n’est pas forcément conflictuel. Cette même idée se retrouve dans la sociologie de l’Etat, telle qu’elle se développe

Il ne faut pas confondre avec le concept de dominé ou d’opprimé, qui ne renvoient pas à une exclusion radicale de la sphère de la représentation. En annexe du texte se trouve un entretien5 dans lequel elle rappelle que ce terme a une histoire : Gramsci depuis sa prison et pour des raisons de censure en utilisant ce terme l’a chargé d’une autre signification pour parler des problèmes Nord/Sud et de l’Italie méridionale victime d’hégémonie culturelle par la langue Italienne 6. Malgré son ancrage marxiste

L’exception culturelle ou quand de Gaulle inventait l’eau sèche. Gramsci, le penseur Italien Marxiste du début du XX éme siècle, soutenait que quiconque prenait le contrôle du monde de la culture se retrouverait automatiquement en contrôle du monde politique trente ou quarante ans après, le monde politique tombant comme un fruit mur une fois le lavage des cerveaux terminé. La situation Française actuelle vérifie, O combien, ce pronostic. Le monde de la culture est totalement dominé par la gauche