Quadrivium

en langue Latine, Grecque & Hébraique, en Mathématique, Philosophie, Art oratoire et Médecine, pour instruire la jeunesse, je ne dy pas seulement françoise, mais de toute la Chrestienté.» Dans le programme de Ponocrates, l’accent est mis sur le quadrivium, qui comprend arithmétique, géométrie, astronomie et musique. La musique est considérée comme une matière scientifique à part entière. Cependant, soucieux de solliciter la participation active de son élève, Ponocrates ne sépare jamais la théorie

La somme de quatre et trois, la terre et le ciel, l’achèvement et la perfection. Rien n’est isolé dans le monde, tout obéit à des règles générales. En les étudiants on peut établir des liens entre matières opposées. La pluridisciplinarité de quadrivium, plusieurs fois millénaire, me fait penser que les différentes disciplines ne sont en vérité que les différents aspects d’une seule est même matière nommée l’Univers ou Cosmos. Enfin, toute la construction musicale de l'Antiquité à nos jours est

Universities in Western is a critical factor of the waning of the medieval society. When at first education exclusively for clergymen, it was now available to everybody. Thos universities taught all the basic disciplines with the Trivium and the Quadrivium. Since they were open to everybody, European from many regions traveled to attend Universities. For instance, in Life of a Student at Paris, Jacques de Vitry is enumerating all the different ethnic group attending courses at Paris: “English”, ‘son

le peuple où l’on enseigne l’évangile, la lecture, l’écriture, … Il fonde également l’académie palatine où l’enseignement est structuré selon 7 ars libéraux : le trivium (concerne les langues) la grammaire, la dialectique et la rhétorique ; le quadrivium (concerne les nombres) : l’arithmétique, la géométrie, la musique et l’astronomie. Au XIIe siècle, les premières universités sont fondées en Europe. Elles comprennent 4 facultés : théologie, droit, médecine et art (arts libéraux = les langues

proportion mathématiques simples et universels. On comprend, dès lors, que la musique trouve sa place parmi les autres sciences au même titre que les mathématiques, l’astronomie, et la géométrie, et c’est Boèce le premier qui a forgé le terme de Quadrivium. Revenons maintenant si vous le voulez bien à la pratique et la théorie de la musique que nous connaissons bien. C’est un phénomène universel remontant à la préhistoire, et qui a donné lieu à la formation de traditions qui se sont développées

l'érudition. Un aspect majeur de la religion au Moyen Âge est son rôle dans les arts et la culture : dès l'Antiquité tardive, en effet, la culture latine classique se réfugie dans les monastères, où l'on continue à enseigner le trivium et le quadrivium. Face à l'illettrisme du peuple et des aristocrates barbares, ces derniers et, plus largement, l'Église, demeurent le cadre par excellence où survit l'Écrit : les lettrés, théologiens, hagiographes et chroniqueurs qui témoignent de leur temps, sont

celui qui comprend la musique / et celui qui l’écoute  pour Boèce la seule musique digne d’intérêt est celle de la science des nombres. Epoque Carolingienne (du Vème au Xème) : La musique faisait partie des 7 arts libéraux en étant présente dans le quadrivium (maths, géométrie, astronomie, et musique). La musique comme proportion est belle car relevant des maths et est mise en relation avec les planètes  harmonie des sphères. Il faut attendre le 11ème pour trouver des théories fondées sur la réelle

constituée par le quadrivium, défini par Boèce au VIe siècle. Bède le Vénérable le reprit (avec le comput), puis Alcuin, principal conseiller de Charlemagne, l'introduisit dans les écoles de l'empire carolingien. Après les invasions vikings, arabes, et hongroises, l'occident médiéval (latin) s’approprie ensuite l'héritage grec et arabe. Vers l'an mil, Gerbert d'Aurillac (qui deviendra le pape Sylvestre II) rapporte d’Espagne le système décimal avec son zéro et réintroduit le quadrivium dans les écoles

constituée par le quadrivium, défini par Boèce au vie siècle. Bède le Vénérable le reprit (avec le comput), puis Alcuin, principal conseiller de Charlemagne, l'introduisit dans les écoles de l'empire carolingien. Après les invasions vikings, arabes, et hongroises, l'occident médiéval (latin) s’approprie ensuite l'héritage grec et arabe. Vers l'an mil, Gerbert d'Aurillac (qui deviendra le pape Sylvestre II) rapporte d’Espagne le système décimal avec son zéro et réintroduit le quadrivium dans les écoles

rois, Philippe Auguste et avant lui son père Louis VII, apporté aux "écoliers". Les maîtres et les élèves sont unis dans une corporation, une "universitas". Les maîtres enseignées : science ; le tivium (grammaire, réthorique et la logique) ; le quadrivium (artihmétique, géométrie, musique et astronomie) 5) L'université conserve un lien avec l'Eglise, l'enseignement du droit civil et canon, l'écriture sainte. 6) Ce document est un détail de l'enluminure. Ce chef d'oeuvre est réalisé par des frères