Quaestiones

excellentior, que la foi et l’espérance et, par conséquent, plus excellente que toutes les autres vertus morales ou intellectuelles, car elle atteint Dieu pour se reposer en lui, ce qui constitue le bonheur parfait de l’être humain dans 52 53 Quaestiones quodlibetales, Marietti, 1949, p. 129. Marc Oraison, Le mystère humain de la sexualité, Paris, Seuil, 1966, p. 46. 37 l’au-delà (II-II, q. 23, a. 6). Est bien connu ce passage des Confessions de saint Augustin : « Vous nous avez créés pour

1022 FRASINETTI (P.), « Gli scritti matrimoniali di Seneca e Tertulliano », Rendiconti dell'Istituto Lombardo di Milano 88, 1955, p. 151-188. 01 R, 07R mariage, Sénèque, Tertullien. [ 1023 Die Frau im Urchristentum, DAUTZENBERG (G. von) éd., Quaestiones Disputatae 95, Herder, Freiburg im Breisgau, 1983, 358 p. 10 christianisme. [ 1024 FRAZER (R.M.), « Three notes on Semonides 7 », Mnemosyne 29, 1976, p. 181-184. 07G Simonide d'Amorgos. [ 1025 FRÉCAUT (Jean-Marc), « La métamorphose de Niobé

soulager les comices : on va créer de ce fait des jurys criminels permanents à compétence spécifique. Ces jurys vont apparaitre vers 150 avant JC. Quaestiones : vient de « quaestio » qui signifie « enquête ». On a un type de crime dont la poursuite est affectée à un jury particulier. A partir de 150 avant JC le juge ne juge plus, il est remplacé par les Quaestiones, par ces jurys, qui sont constitués d’environ 50 membres, on les choisit parmi l’ordre sénatorial et on les place sous un préteur. Il y a un

pris la suite d’Irnerius : ils sont connus sous le nom de glossateurs à cause de leur méthode d’enseignement qui reposait sur la lecture des textes romains accompagné de commentaires littéraux (= la glose) , des explications substantielles (les quaestiones) éclairées par l’examen de cas concrets (casus) pour enfin opéré des rapprochements avec d’autres textes et aboutir à un résumé de la matière étudier (la summa). Ils voulaient dans un but exclusivement scientifique arriver par l’exégèse des textes

Brasileiro: as votações então passaram a ser secretas, os jurados votavam sob juramento e eram escolhidos mediante sorteio, levando-se em consideração sua idoneidade, e as decisões eram soberanas. Infelizmente, ao tempo do Império Romano, as quaestiones foram sobrepujadas, dando lugar à forma ditatorial dos Magistrados julgarem, era a cognitio extra ordinem. 1.1.4. Tribunal do Júri entre os germânicos Os julgamentos entre os germânicos eram desempenhados por uma Assembléia presidida

relève d’Irnérius. Ils sont connus sous le nom de glossateur, à cause de leurs méthodes, qui reposaient sur la lecture des textes romains, accompagnée de commentaires littéraux appelés glose, ainsi que d’explications substantielles qu’on appelait « quaestiones », et enfin, éclairée par l’examen de ces concrets «cassus ». On trouvait aussi un rapprochement avec d’autres textes, pour aboutir à un résumé de la matière étudiée : le « gumma ». La méthode employée par les glossateurs avait un objectif

justifier mais un Appel est possible si le condamner le souhaite. a ce moment la la sentence est réexaminée par le peuple en comices. 2) Le retour a la procédure accusatoire devant les jurys criminels dans le cadre de l'ordre des proces publics : Quaestiones Perpetuae c'est une réforme pénale qui a été introduite en -149 cette réforme a créée des jury criminels ( 60 citoyens tirés au sort ) pour réprimer certains crimes publics jugés particulièrement graves. Réforme institutionnelle oui mais aussi

début du XIVe s. ), etc. Avec les Quaestiones, la doctrine s'ouvrit davantage à la pratique : une question relative à un cas concret est posée, à laquelle répond le canoniste, dans un développement parfois fort long. Cette méthode, inspirée de l'enseignement juridique médiéval, connut un grand succès au Moyen Âge chez les canonistes ; comme d'ailleurs chez les romanistes, qui composèrent également des traités de réponses à des questions pratiques, appelés Quaestiones ou Responsa. Vers la fin du XIVe

préteurs en charge, qui, après avoir étudié l’affaire, se bornent à la renvoyer devant un juge unique. La justice criminelle/publique rendue à l’origine par le Sénat ou par les comices, est ensuite confiée (3e s. av. J.-C.) à des tribunaux permanents (quaestiones perpetuae) spécialisés (dans les affaires de concussion, les assassinats, les faux, etc.). C’est un citoyen quelconque qui accuse (delator) [on parle de procédure accusatoire]. L’usage d’un avocat est permis, mais c’est une profession gratuite :

la mort, on permet à l'accusé de faire appel au peuple des décisions prononcées par le magistrat. L'activité judiciaire des comices devenant beaucoup plus lourde, on crée vers -150 des jurys criminels permanents à compétences spécifiques : les quaestiones. On crée ainsi des jurys compétents en matière de trahison, de corruption électorale, d'assassinat, d'empoisonnement... La procédure antérieure était inquisitoire (le magistrat enquêtait) ; elle devient accusatoire : il faut qu'un particulier porte