Quand la mer monte...

chercher du papier et un stylo puis j’y vais. Il y avait une chose à laquelle je n’avais pas pensé. Le bateau de mon voisin est dans son jardin mais il y a son chien. Et pas le petit chihuahua, le gros saint-bernard, celui qui aboie de toutes ces forces quand on passe et qui ferait trembler le plus courageux des pirates. Je dois chercher après un stratagème pour l’éloigner. Je retourne chez moi pour prendre à manger et je me rends compte que je n’en avais pas pris pour moi. Alors je remplis mon sac de bonbons

encore charbon sont aujourd’hui les cibles à abattre pour accomplir une vraie transition énergétique. Malgré l’investissement de l’Europe à exploiter des énergies renouvelables comme l'éolien ou le solaire, c’est un long combat qui nous attend quand on sait qu’une centaine d’entreprises productrices d’énergies fossiles sont responsables de plus de 70% des émissions de CO2 dans le monde. Pour faire court, ces 100 entreprises sont la cause principales du réchauffement climatique, alors merci à

vie a Au niveau de la mer (niveau zéro) L’organisme a plus d’O2 que en altitude et donc le corps à moins d’adaptation. Les conditions de vie sont moins dures. Au niveau de la mer une personne utilise 100% de son VO2 (consommation maximal d’oxygène). b En altitude L’altitude est l’élévation verticale d’un lieu ou d’un objet par rapport à un niveau de base. C’est une des composantes géographique qui explique la répartition de la vie sur terre. Plus on monte en altitude plus la température

Lauren : Quand tu descendais à terre tu n'arrivais même plus à pisser droit dans les toilettes. Tim : Les toilettes, elles ne bougeaient pas ! Nadine : Mais, toi, tu continuais à te balancer ! Tim : Parce qu'un bateau, tu peux toujours en descendre : mais l'Océan, non... Scène 3 – L'engagement de Tim Tooney. Tim : J'y suis monté, moi, j'avais dix sept ans. Et dans la vie, il n'y avait qu'une seule chose qui comptait pour moi : jouer de la trompette. Lauren : Alors quand le bruit

Problématique : quelle vision permet au poète de transformer en idéal une scène assez simple ?Mouvement 1 : strophes 1-2-3 : la rêverie du voyage en mer Strophe 1  : qu’est-ce qui déclenche la rêverie ? la peau qui « miroite » comme de l’eau.

Anthologie La plupart des lycéens n'aiment pas trop la poésie, car ils la trouvent souvent abstraite; ils préfèrent lire autres chose (B.D, ...). Ces pourquoi, j'ai fais cette anthologie sur le thème de la mer pour leurs donner envie de lire des poésies. Les nombreux poèmes de cette anthologie vous feront rêver, vous évader, vous divertir. Tout d'abord, je v'ai vous parler: -du "Bateau ivre" et de "Marine" d'Arthur Rimbaud -du "Hareng saur" de Charles cros -des "Conquérants" de José Maria

leurs marchandises. Ces commerçant bravent les difficultés qu'ils rencontrent pour rapporter ces fleurs et ces graines qui font le bonheur de leurs bourses et celui des palets de ceux qui peuvent se les offrir. Mais au delà des mille et une merveille, quand bien même des licornes, ces animaux fabuleux, vivraient communément et en toute liberté, qu'elle autre réalité se derrière se fructueux commerce ?   Mais pourquoi ont-elles donc tant de valeur ? Ce ne sont que des plantes et des graines, quelques tubercules

se produisent au fond de l’océan. Les vagues du tsunami se propagent de façon circulaire et ce sur de grandes distances. La vitesse de ces vagues peut atteindre plus de 800 km/h. En eau profonde, la hauteur des tsunamis s’élève à moins d’un mètre. Quand elles atteignent les eaux peu profondes près des côtes, l’eau de la vague se rétracte et forme un raz-de-marée qui se jette ensuite sur la côte de façon destructrice. Cela permet d’expliquer sa formation tout d’abord, une faille dans la croûte terrestre

parce que l’on ne peut pas modifier le temps et qu’il est fascinant. Je t’attendais ainsi... Je t’attendais ainsi qu’on attend les navires Dans les années de sécheresse quand le blé Ne monte pas plus haut qu’une oreille dans l’herbe Qui écoute apeurée la grande voix du temps   Je t’attendais et tous les quais toutes les routes Ont retenti du pas brûlant qui s’en allait Vers toi que je portais déjà sur mes épaules Comme une

muguet Et aussi fait la passerose Ce jardin est bel et plaisant Il est garni de toutes flours On y prend son ébattement Autant la nuit comme le jour Hélas ! Il n'est si douce chose Que de ce doux rossignolet Qui chante au soir, au matinet Quand il est las, il se repose Je la vis l'autre jour, cueillir La violette en un vert pré La plus belle qu'oncques je vis Et la plus plaisante à mon gré Je la regardai une pose Elle était blanche comme lait Et douce comme un agnelet Et vermeillette