Quand Le Ciel Bas Et Lourd Pèse Comme Un Couvercle

Paquebot des Mers du Sud » en direction des Indes afin d’éloigner Charles de ses idées de devenir poète. Cependant, ce voyage le reproche encore plus de son rêve car sur l’ile Maurice il rencontre la belle Dorothée qui lui inspirera plusieurs poèmes comme par exemple « Parfum exotique ». En 1842, Charles est de retour à Paris et continue sa vie frivole et dépensière. Sa famille le place alors sous tutelle judiciaire car il dilapide l’héritage de son père. Le bohème se trouve alors dans l’obligation

immense, et elle sont en bas, sous nous, si près et insaisissables dans cette mince flaque d'eau que percent, comme des poils, les herbes pointues. Toute la couleur donnée au monde, charmante, diverse et grisante, nous apparaît délicieusement finie, admirablement éclatante, infiniment nuancée, autour d'une feuille de nénuphar. Tous les rouges, tous les roses, tous les jaunes, tous les bleux, tous les verts, tous les violets sont là, dans un peu d'eau qui nous montre tout le ciel, tout l'espace, tout

lexical du spleen et de la mort. Charles Baudelaire décrit la ville comme « pluviôse » et « irrité ». Dans la deuxième strophe, Baudelaire décrit son chat comme « maigre » et « galeux », montrant que le chat n’avait pas mangé ou bu depuis longtemps (son chat cherche une litière). Son chat agite, désespérée pour une goutte de lait. Dans la troisième strophe, Baudelaire nous décrit l’intérieur d’une maison poussiéreuse avec des mots comme « lamente », « enfumée », « enrhumée » et « sales ». Il nous parle

[pic] | | | | |Je te frapperai sans colère | |Et sans haine, comme un boucher, | |Comme Moïse le rocher ! | |Et je ferai de ta paupière, | |  | |Pour

choisir LA MELANCOLIE C'est un chat perdu Qu'on croit retrouvé C'est un chien de plus Dans le mond' qu'on sait C'est un nom de rue Où l'on va jamais LA MELANCOLIE C'est se r'trouver seul Plac' de l'Opéra Quand le flic t'engueule Et qu'il ne sait pas Que tu le dégueules En rentrant chez toi C'est décontracté Ouvrir la télé Et r'garder distrait Un Zitron' pressé T'parler du tiercé Que tu n'a pas joué LA MELANCOLIE

personne, comme Pierre Ronsard qui a écrit « Pour Cassandre », ces poèmes qui sont évidement dévouer à quelqu’un comporte souvent le nom de l’être cher dedans. On peut également dévoiler ses sentiments pour l’admiration d’un paysage, de la nature, en décrivant sa beauté et se que se quelle nous fait ressentir. L’on utilise également le poème pour exprimer nos sentiments négatifs, en énoncent notre deuil pour quelqu’un ou l’on fait par de notre tristesse ou de notre colère, comme Victor Hugo

entoure. La suite de poèmes intitulés Spleen mêlent beauté et souffrance. Par exemple le poème LXXVIII a une atmosphère pesante : « quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle » ou encore « quand la terre est changée en un cachot humide » et même « d’une vaste prison limite les barreaux », tous ces vers renforcent l’idée que le poète est prisonnier, la terre, le ciel et la pluie l’empêchent de communiquer avec l’univers, son esprit ne peut pas s’évader. Au début de ce texte les images ne sont

Idée principale 1 : emprisonnement et liberté de l'âme sont contraire. idée sec 1 : l'esprit est enfermé dans un monde noir , triste et pesant. Explication : la comparaison montre que l'âme est enfermé. Illustration : <<Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle>> (v.1) Commentaire : On peut donc voir que l'âme est enfermé dans un univers pensant et qui la limite sa vie. Idée sec 2 : l'esprit est maintenant dans un monde joyeux , blanc et libre Explication : l'anaphore du vers

utilisant les analogies, il dépeint des émotions déprimées par comparant et par reliant le modicité du ciel, l’humidité de la terre et l’étalant de la pluie à l’angoisse de la vie (Baudelaire, LXXVIII Spleen). Ceci montre la réalité de la vie et comment toute chose naturel va en fait pourrir et en temps voulu, va mourir. Dans le dernier vers de la première strophe, Baudelaire utilise une oxymore quand il dit « Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits » (LXXVIII Spleen, strophe 1 : vers 4)

d’annoncer le Spleen et de décrire sa progression. A) Le constat  Présence obsédante De tous côté, le Spleen est là. Il se remarque dans le « ciel » dont la qualification « bas et lourd » (v. 1) adopte le profil de celui écrasé par l’angoisse. Il se profile à « l’horizon » (v 3), comme une menace lointaine qui s’avance. Il se réfère au « jour » comme à la « nuit » (v 4), à un ennui, une angoisse qui étreint les journées, que la lumière aurait pu chasser, et les nuits, qui pourraient apporter un