Que Représente Autrui Pour Moi

conscience de nous-même, cela peut-être de nos faiblesses, de nos défauts ou de nos peurs. C’est également le cas lorsque nous faisons de nouvelles expériences que surgit notre personnalité en bien ou en mal. Un homme conscient de soi peut se représenter soi-même et ce décrire de manière objective. Donc avoir conscience, c’est savoir. Être conscient de l’objet que nous visons. C’est prendre connaissance de quelque chose et le signifier. Toutefois nous pourrions nous demander si il serait possible

responsabilité pour autrui. …………………………………..8 4 La gratuité de la responsabilité pour Autrui ……………………………………………..10 III- L’entre –deux : une nouvelle manière de penser l’altérité………………………. ….10 CONLUSION ………………………………………………………………………………..12 BIBLIOGRAPHIE …………………………………………………..……………………….14 INTRODUCTION « L’interdit permet de dire ». En d’autres termes, le fait de défendre ou d’agir de telle ou telle manière est un moyen pour faire comprendre comment il faudra agir en réalité envers autrui. L’interdit

inconscientes et ne sont donc visibles que par autrui. » C. G. Jung La zone publique : • La part de notre moi conscient connu de moi et des autres. • Inclut nos attitudes conscientes, nos comportements, notre motivation et nos valeurs. La zone privée : • Ne peut être connu d’autrui sauf si nous en dévoilons le contenu. • Ce que nous gardons consciemment pour nous-mêmes et ce que la crainte nous fait taire. • Le degré de partage que nous accordons à autrui (divulgation) correspond au degré de connaissance

occupé à ne satisfaire que ses besoins et ses envies, ni un pur esprit guidé par sa seule volonté rationnelle. C'est là, au-delà du besoin, que la notion de désir apparaît. Le désir est la tendance vers un objet dont la possession ou l'usage est représenté comme source de satisfaction. Il peut viser un objet saisissable ou un fantasme inaccessible; il serait artificiel contrairement aux besoins naturels, et trouverait sa source dans la pensée et plus encore dans l'imagination. L'idée de possession

et le NéantJean Paul Sartre Publié en 1943, L’Etre et le Néant est un maître ouvrage du père de l’existentialisme Jean Paul Sartre qui cherche à y répondre à la question « qu’est-ce que l’être ? ». Sartre s’intéresse à la conscience, au néant, à autrui, mais aussi à des comportements comme la mauvaise foi ou la honte. Sartre utilise pour ce faire une approche phénoménologique[footnoteRef:0] qui se nourrit de ses lectures de Heidegger. [0: Philosophie qui écarte toute interprétation abstraite pour

commence ». Autrui a aussi sa propre liberté qui veut être reconnue, respectée. Pour Sartre, autrui est une limite ontologique (essentielle, indispensable) à ma propre liberté. Autrui me regarde, me juge, me critique et interpelle toujours ma liberté. Je ne peux pas tout faire sur l’autre sous prétexte que je suis libre d’agir. Autrui est celui qui m’obligé à renoncer à ma liberté. Etre libre par conséquent, suppose coexister avec les autres, prendre en compte la présence des autres. Mais autrui peut

désir, suis-je moi même ? Le désir est une notion philosophique complexe qui interrogea les philosophes dés l’antiquité avec Platon. Elle désigne un mouvement, qui bien au delà du besoin en tant que tel, nous porte vers une réalité que l’on se représente comme source possible de satisfaction. Le désir fut très critiqué ou au contraire admiré. Parmi les doûtes qu’il pose, la question de notre personnalité au sein du désir est importante. L’influence d’autrui et du monde tend à transformer nos propres

personne serait donc un individu qui se cache. On ne peut être une personne si on est pas reconnu comme tel par les autres personnes. Quel est le propre de l'homme ? L’Homme est le sommet de la création dans les religions monothéistes. L’Homme est représenté comme différents des autres espèces, supérieurs, créé en dernier par Dieu, complexe= 1 jour pour sa création. Anthropocentrisme pré scientifique à été bousculé par Darwin qui a mit en évidence les preuves de l'évolution des espèces qui a finalement

ils s'organisent sans que j'aie besoin de me les représenter : mes paroles me surprennent moi-même et m'enseignent ma pensée . Cette action à distance du langage qui rejoint les significations sans les toucher est un cas de l'intentionnalité corporelle : j'ai une conscience de la portée de mes gestes et de la spatialité de mon corps qui permet d'entretenir des rapports avec le monde sans me représenter thématiquement les objets que je vais saisir ou

regarder puisque l’objet représente un fait accomplit ne pouvant être modifier par le sujet. 4. Après avoir défini l'analogie, expliquez, en donnant des exemples concrets, la méthode analogique de la psychologie en deuxième personne. L’analogie n’est autre que la ressemblance d’une chose avec une autre. Le fait qu’un rapport puisse être établit entre ces choses. La méthode analogique de la psychologie en deuxième personne n’est donc autre que le rapport effectué entre autrui et moi-même. C'est-à-dire