Que Représente Autrui Pour Moi

des hommes, à la loi du roi et volonté générale. Antigone représent l’homme qui n’obéit pas elle est victime d’une fatalité imposee par dieux et société. * Anouilh: PAS volonté des dieux, même pas les lois des hommes. Il y a une liberté personnelle, accusation du totalisme (= interprétation moderne). Loi des hommes est mise en cause. L’ordre, le bien public = menace au bonheur humain. * Ecrit en pleine guerre (1944) * Antigone représente la Résistance et Créon la collaboration. * Antigone

Autrui est-il un autre moi-même ? L’idéal de la fusion amoureuse traverse les romans, de la princesse de Clèves au roman de Stendhal Le rouge et le noir en passant par Anna Karénine , le topos de l’amour fusion innerve la littérature et l’inconscient collectif : qui ne rêve pas de trouver son alter ego , son âme-sœur, sa « moitié » ? Cette quête de l’amour parfait interroge : l’homme

inconditionnelle et sont des attitudes favorisant les chances de changement. « C’est un vrai succès quand nous pouvons apprendre dans certaines relations ou à certains moments de ces relations qu’il nous est permis en toute sécurité d’éprouver de l’intérêt pour autrui et d’accepter d’être lié à lui comme à une personne pour qui nous avons des sentiments positifs »7. Cette acceptation de l’autre tend vers la totalité, vers l’inconditionnel, même quand l’attitude semble désapprouvable. L’aidant travaille sa capacité

Susciter une émotion Blesser Séduire (cf : III pouvoirs de la parole)Transmettre Dialoguer Débattre Signaler Dénoncer Collaborer On voit à quel point les pouvoirs de la parole sont nombreux et divers, et qu’ils me permettent de toucher autrui d’une façon bénéfique ou nocive ; elle n’a pas moins de pouvoirs que les actes. ( Ex : l’agression verbale qui n’est pas moins grave que l’agression physique. Elle est moins sanctionnée par la loi mais elle n’est pas moins condamnable

et les actes de langage. 1) Dire, c'est faire. La première réalité où se déploie le langage et sur laquelle il permet d'agir est évidemment la réalité humaine et sociale : il est manifeste que par le langage chaque homme agit constamment sur autrui et sur la réalité qu'il constitue, puisque chacun communique à l'autre des informations qui le modifient et en fonction desquelles il agit. Parler, c'est donc agir, toute parole, tout discours est acte, et même triplement acte, ainsi que l'a montré

foi, les parties doivent exécuter loyalement les obligations mises à leurs charges - il ne peut être modifié ou résigné que par une nouvelle convention L'effet obligatoire concerne : - les cocontractants - les représenté (mineurs ou incapables majeur engagé pour les représentant) - après le décès d'une personne, ses héritiers Il s'impose au juge : - il doit veiller à la bonne application - il ne peut le modifier - il

pouvoir respecter nos dires ? On pourrait parler de la promesse dite silencieuse. C'est le fait de montrer notre fidélité, mais par des actions et non des paroles. Ce fonctionnement a sans doute plus de valeur et représente une prise de risque minime. On ne convainc ni ne persuade autrui que l'on va faire quelque chose, on le lui démontre en le faisant directement. La promesse silencieuse est sans doute plus sincère, puisqu'elle n'est pas forcée, elle reste un acte naturel : la volonté de faire plaisir

que l’Homme se voit a travers l’Autre, il voit en l’autre un modèle, un guide qu’il doit suivre dans toutes ses démarches, ainsi que dans ses passions, pensées et désirs. Le regard d’autrui est ce qui me permet de me constituer moi-même et de me représenter à moi-même tel que je suis. Néanmoins, pour pouvoir apprécier ce que l’autre désire, déduire que les appétits de ce dernier sont nobles, il faudrait avoir une connaissance de ce qui est bon ou mauvais. En effet, si l’homme apprécie ce que l’autre

dire ce que l’on voit ce que l’on voit ne loge jamais dans ce que l’on dit ». Foucault. Le langage semble être à la fois une puissance et un obstacle. Tout est médié, dicté par le langage. On est et on nait dans le langage, perçoit le monde, autrui par lui. On pourrait se conforter dans ce monde langagier, user de la langue pour à travers la parole exprimer un monde. En effet l’expression « d’un monde » poétique, énigmatique par la puissance du langage semble être plus simple que l’expression

tables L'apparente antinomie inscrite dans la strucuture des * suggère une direction de pensée. Si les Mitsvot sont multiples -הרבה להם תורה ומצוות - les tables visent l'unité. Les paroles sont au nombre de dix, unité des dizaines. Le chiffre neuf représente l'extension maximale des unités (trois fois trois, le trois représentant la série de base de tout denombrement: le meme, l'autre et leur relation); le chiffre dix opère un retour du multiple à l'un originel. La dualité d'une création qui s'ouvre