Quel Genre Vous Semble Le Plus Efficace Pour Convaincre Et Persuader

; car sa mère se remaria avec son oncle Pyrilampe, dont elle eut un fils, Antiphon. Quand Platon mourut, il ne restait plus de la famille qu’un enfant, Adimante, qui était sans doute le petit-fils de son frère. Platon l’institua son héritier, et nous le retrouvons membre de l’Académie sous Xénocrate ; la famille de Platon s’éteignit probablement avec lui ; car on n’en entend plus parler. La coutume voulait qu’un enfant portât le nom de son grand-père, et Platon aurait dû s’appeler comme lui Aristoclès

/ 2,80 € P J EAN ierre et Jean, souvent considéré comme une porte d’entrée privilégiée pour étudier le genre narratif et ses formes au lycée, présente l’avantage d’être court et accessible, ce qui explique qu’il soit fréquemment étudié en seconde. Par la richesse de ses personnages, par la place décisive qu’il occupe dans l’œuvre de Maupassant et dans l’histoire du genre romanesque, ce roman peut également être mis à profit en classe de première dans le cadre de l’objet d’étude : «

GorgiasEntretien avec Gorgias (449 a-461 b) : pour une définition de la rhétoriqueDe l’art du discours à l’art de convaincre les ignorantsPartie dans laquelle Socrate questionne Gorgias et essaie de parvenir à une définition de la rhétorique (tentative qui n’est pas totalement concluante…). Dans cette grande partie, j’ai isolé 3 textes expliqués de manière plus détaillée. I. Le début de l’entretien avec Gorgias et la question de la bonne longueur du discours (449

; car sa mère se remaria avec son oncle Pyrilampe, dont elle eut un fils, Antiphon. Quand Platon mourut, il ne restait plus de la famille qu’un enfant, Adimante, qui était sans doute le petit-fils de son frère. Platon l’institua son héritier, et nous le retrouvons membre de l’Académie sous Xénocrate ; la famille de Platon s’éteignit probablement avec lui ; car on n’en entend plus parler. La coutume voulait qu’un enfant portât le nom de son grand-père, et Platon aurait dû s’appeler comme lui Aristoclès

; car sa mère se remaria avec son oncle Pyrilampe, dont elle eut un fils, Antiphon. Quand Platon mourut, il ne restait plus de la famille qu’un enfant, Adimante, qui était sans doute le petit-fils de son frère. Platon l’institua son héritier, et nous le retrouvons membre de l’Académie sous Xénocrate ; la famille de Platon s’éteignit probablement avec lui ; car on n’en entend plus parler. La coutume voulait qu’un enfant portât le nom de son grand-père, et Platon aurait dû s’appeler comme lui Aristoclès

(« « un âne bâté », « un ivrogne sans pudeur »). Le trouble de Bridaine s’exprime alors de manière lyrique : Tournures exclamatives nombreuses, ponctuées de l’interjection « Ô » (l.4-5, 9, 12…) : Bridaine se plaint (« Ô malheureux que je suis ! ») et semble désemparé (implorations religieuses : « Ô sainte Eglise catholique ! », « Dieu ! »). Anaphore : « Adieu » (14, 16, 17). Expression de sentiments personnels : « Je ne souffrirai pas cet affront » (14). B) Un monologue délibératif On constate

chaque texte. B   La valeur du travail est montrée de manière opposée par les deux textes. Si dans le premier, le laboureur a une croyance ferme dans le travail au point d’en faire un trésor, la leçon dans la seconde fable est plus subtile. La fourmi apparaît comme la personne la plus raisonnable et qui saura survivre mais elle n’est pas présentée de façon aimable et il faut sans doute comparer la cigale au fabuliste. Les deux fables sont du même auteur : il faut sans doute distinguer la valeur bourgeoise

chaque texte. B   La valeur du travail est montrée de manière opposée par les deux textes. Si dans le premier, le laboureur a une croyance ferme dans le travail au point d’en faire un trésor, la leçon dans la seconde fable est plus subtile. La fourmi apparaît comme la personne la plus raisonnable et qui saura survivre mais elle n’est pas présentée de façon aimable et il faut sans doute comparer la cigale au fabuliste. Les deux fables sont du même auteur : il faut sans doute distinguer la valeur bourgeoise

personnalités politiques. Les campagnes présidentielles illustrent la grande puissance dont disposent les médias : submergés par l’information, il est aujourd’hui difficile d’échapper à ce bain médiatique, parfois désigné de matraquage, au travers duquel il semble délicat et complexe de se fonder une opinion libre de toute influence. Il existe donc une relation complexe entre médias et discours politique. La recherche que nous vous proposons ici porte sur l’impact du discours politique par rapport au type

connotation péjorative car souvent appliqué à un groupe caractérisé par son intolérance, son adhésion aveugle, son étroitesse d'esprit. Le mot secte reste difficile à définir parce que se pose souvent le problème d'une confusion avec la religion. Il est le plus souvent réservé à des mouvements particuliers qui maintiennent un état d'assujettissement, de soumission sur l'adepte. Généralement, les sectes se caractérisent comme une communauté fermée, d'intention spiritualiste, où des guides, des maîtres exercent