Quel Regard De Gaulle Porte Il Sur L Allemagne

internationales entre 1945 et les années 1970? I.Les débuts de la Guerre Froide(1945-1949) A. La dégradation(1945-1946) De nombreux désaccords : Ligne Oder-Neiss : Frontière entre la Pologne et l'Allemagne Chaque puissance présente en Allemagne administre sa zone comme elle l'entend. Guerres civiles en Chine et en Grèce (1946) En 1946, Churchill (GB) tient un Discours à Fulton où il emploie l'expression « Rideau de fer » pour désigner la fin de la Grande Alliance car il considère

même ton. C'était la fin de la conception qui inspirait les accords anglo-soviéto-américains de Yalta (11 févr. 1945) : un monde vivant définitivement en paix, dans le cadre des Nations unies, sous la surveillance des trois grandes puissances ; une Allemagne administrée conjointement par ses vainqueurs jusqu'au jour où elle se serait définitivement reconvertie à la démocratie. Conférence de Yalta, 1945 Winston Churchill, Franklin Roosevelt et Staline durant la conférence de Yalta, en février 1945

• Conception Allemande : accent sur les critères objectifs : race, langue, religion, culture. C’est ainsi que les Allemands justifiaient l’annexion de l’Alsace Lorrane au 19°siècle. Prédomiance du droit du sol en France, droit du sang en Allemagne. b) Les rapports entre l’Etat et la Nation Avant les 2 notions coincidaient, aujourd’hui on parle de la crise de l’Etat-Nation. De nombreux Etats sont plurinationaux, mais la coexistance de plusieures nations et souvent source de conflits

constitution est une norme élémentaire. Il faut savoir que pendant très longtemps dans les Etats européens, la constitution est avant tout un texte symbolique que l’ont adopte quand ont change de régime. Pendant longtemps la constitution n’avais pas de portée juridique. La constitution n’était pas vraiment la source du droit. Au 19ème siècle, dans les facultés de droit on enseignait pas le droit constitutionnel. On enseignait le code civil, le droit pénal. On enseignais les matières du législateur. Pendant

droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution ».En général, on y trouve les règles relatives à la forme de l’Etat (il peut s’agir d’un Etat unitaire (=France), régional (=Espagne, Italie) ou fédéral (=Allemagne). Aussi, on y trouve des énoncés des organes du pouvoir ainsi que des prérogatives dont il dispose. Enfin, on y trouve des énoncés des droits fondamentaux dont peuvent se prévaloir les individus. On peut y trouver les modes de scrutins

pas pu faire l’objet de la même commémoration unitaire que la Première. Il conviendra donc de repérer, au cours de la période, l’expression de différentes mémoires de la guerre, concurrentes et parfois conflictuelles : – Les mémoires de groupe sont portées par les acteurs et les victimes de la guerre. Elles militent chacune à leur manière contre l’oubli, d’où l’importance qu’elles accordent au témoignage ; mais elles sont par définition sélectives dans leur commémoration du passé. Ici se place, comme

par Vichy. La contingence s’est combinée à des facteurs structurels. Contrairement aux accusations de Vichy contre le Front populaire, il y a bien eu un effort de réarmement : en 1939, les dépenses militaires atteignent 23 % du pnb, contre 30 % en Allemagne. En outre, le rapport des forces numériques et de la puissance globale de feu n’est pas si déséquilibré entre les Allemands, d’un côté, les Français, les Anglais et les Belges, de l’autre. Enfin, les soldats français se sont certes battus avec un

l’industrie sidérurgique. La France et l’Angleterre voulaient contrôler la construction d’armement de l’Allemagne et avoir une paix durable. LE TRAITE SUR LA COMMUNAUTE EUROPEENNE DU CHARBON ET DE L’ACIER (CECA) • L’Europe des 6 (France, Benelux, Allemagne de l’Ouest, Italie et les Pays-Bas) Le traité a été signé le 18/04/1951. La Grande-Bretagne a signé le traité mais ne l’a pas ratifié car elle ne voulait pas confier une partie de ses pouvoirs. Elle a mis en place l’association européenne de libre-échange

le respect de l’autre et en ceci elle rejoint le principe d’égalité. Il y a un 4e principe de la devise républicaine qui découle de l’égalité et de la fraternité : le principe de laïcité. C’est un principe d’actualité. Il faut faire attention à la portée de ce principe. On le dit « à la française » car peu d’Etats l’ont inscrits dans leur Constitution. La laïcité est un corolaire du principe d’égalité et de la liberté : C’est un corolaire de l’égalité car on ne fait pas de distinction entre les

Communes. Des élections ont lieu en janvier 1910, la campagne électorale porte sur le projet de budget, les libéraux reviennent majoritaires mais avec besoin du soutien des travaillistes qui sont 40. Les Lords ne cèdent toujours pas. Entre temps, le roi Edouard VII décède en mai 1910. Son successeur George V autorise le gouvernement Asquith à procéder à une 2nde dissolution. La campagne électorale porte cette fois sur la restriction des pouvoirs des Lords en décembre 1910 ; il n’y