Quelle Réalité La Science Décrit Elle

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au service commun de l’humanité» 6. Saint-Thomas auteur de cette ère, dont s’inspire Villey parle de la nécessité de faire la distinction comme à l’antiquité entre la morale et le droit, ses idées furent très critiquées. La pensée chrétienne que décrit l’auteur dénonce l’idée Grecque d’un « ordre cosmique » pour eu rien n’égale Dieu. Une révolution est portée sur la façon de concevoir le monde. Ainsi un nouveau système se dessine, avec une hiérarchie dans les lois : « la loi divine source de

(conversation entre le saturnien et Micromégas) donnant ainsi sa vitalité au récit tout en faisant travailler la réflexion du lecteur. Ajoutons qu’il permet également de montrer la pensée en acte (en train de se faire) et donc de la lier étroitement à la réalité. Cette vitalité se traduit notamment par l’alternance du récit avec les différents types de discours rapportés : L’extrait se compose essentiellement de dialogue. L’alternance entre le discours direct et le discours direct fait la vitalité de l’échange

Russell décrit les voies que prend la vérité à travers son texte. Contrairement à la religion, qui est insensible au changement, la discipline qui l'affirme change, la rendant moins fiable qu'elle ne l'était auparavant. Le souci et la poursuite de la science sont provisoires. Mais, ce texte conservera toujours cet aspect en comptant les mots et en expliquant tout au long. Russell condamne un scientisme, ou un attachement excessif à la science, qui, selon lui, fait que de nombreuses théories changent

la vérité comme un idéal et même un devoir. Pire, une convention est factice, artificielle. C’est une invention des hommes qui n’aurait rien de réel. Or, la vérité n’est pas qu’un discours. C’est aussi un pouvoir qui nous permet d’agir sur la réalité. Comment alors caractériser la vérité comme une simple invention des hommes ? Exemples qui viennent à l’esprit. 
 La physique quantique explique les phénomènes microscopiques qui échappent à la physique classique. Mais elle ne permet pas, par exemple

Chapitre 10, IIe partie. Les commandements de la complexité. La science classique, celle des années ????? avait un vision du monde bidimensionnelle. Une dimension complexe pour qualifier tous les aspects inexpliqués du monde. La complexité n'était que la partie visible et extérieur d'un phénomène, du monde. Ce qui était complexe c'était en fait le monde sans les cartes de la science pour le rendre intelligible. À l'inverse, la deuxième dimension concernait la simplicité vue comme la vraie nature

s’applique-t-il aux textes du corpus et aux romans naturalistes ou non que vous avez lu ? Le réalisme est un mouvement littéraire apparu en Europe dans le milieu du XIXe siècle. Les auteurs, lassés de la littérature romantique, décident de décrire la réalité telle qu’elle est en choisissant la plupart du temps des personnages du milieu populaire ou des classes moyennes, comme Zola l’a fait dans le cycle des Rougon-Macquart entre 1871 et 1898. Il y raconte en vingt romans la déchéance d’une famille d’ouvriers

folie. Don Quichotte ne perçoit plus la réalité que par le filtre chevaleresque que lui ont transmis ses lectures. Donner aux délires de la folie le statut de la réalité matérielle n'est pas abusif du point de vue d'Antonin Artaud, qui dans le premier texte de son Ombilic des limbes évoque la possibilité d'un « livre qui dérange les hommes, qui soit comme une porte [...] simplement abouchée avec la réalité. ». L'art, le sentiment esthétique et la réalité peuvent être pour le fou deux choses de

la première ligne, on remarque la présence de la traditionnelle formule d’ouverture des contes : «Un jour». Les personnages qu’il choisit de mettre en scène appartiennent à la haute société, ce sont un roi et une reine, dont les animaux nous sont décrit de manière quelque peu hyperbolique par Voltaire, les qualifiant «du plus beau cheval de l’écurie du roi» (l.11) et de la «chienne respectable de la reine»(l.30) . Il poursuit dans cet optique en soulignant que les eunuques sont à la recherche de ce

annonciateurs. De plus on remarque chez les auteurs une poétique dans leur écriture. Or un poète est un prophète, car il est question dans ses œuvres d'un éternel présent dans lequel se regroupe le passé et le futur. C'est là un ensemble de réalités de la société décrit par l'écrivain et qui se répéteront dans le temps. Ce n'est donc pas une volonté du romancier que d'être prophète. Un romancier et un historien dans un rôle analogue. L'écrivain est créateur de personnages historiques et plonge le