Quels Ont été Le Contexte Et Les Facteurs Déterminants De Ces Prises De Décision

stratégie intentionnelle et la stratégie réalisée (délibérée). Les stratégies délibérées (intentions volontaires de l’entreprise, volontairement réalisé) font parties des stratégies intentionnelles. L’entreprise doit être capable de s’adapter à son contexte, à son environnement pour adapter la stratégie. Il existe des stratégies émergentes (réalisation non prévu, mais cohérentes) ≠ des stratégies intentionnelles Pour pouvoir aboutir à quelque chose de cohérent, il faut conjuguer deux approches :

équitable, dans tous les domaines. Les projets de développement ont des effets différents sur les hommes et les femmes de par leur position distincte dans la société. Les femmes et les hommes doivent donc participer pleinement au processus de prises de décision afin de recevoir et profiter équitablement des retombées des projets. En effet, l’intégration de l’approche genre et de l’approche participative dans les politiques de développement est une méthode de travail favorable à un développement équitable

salarié INTRODUCTION À la fin des années 1970, Américains et Européens s'interrogeaient sur les performances exceptionnelles des entreprises japonaises. L’observation montrait que ces entreprises ne disposaient pas de ressources naturelles et de facteurs de production nettement meilleur marché, n’avaient pas une organisation fondamentalement différente et n’avaient pas choisi des stratégies géniales. Une seule chose les différenciait : la qualité de leurs ressources humaines (Donnadieu, 1 Ghada

l’ingénierie linguistique. Avant de rejoindre le cabinet Arthur Andersen ( désormais Bearing Point) ( en 2000), il a participé au développement de la méthodes et des outils REX (Gestion du Retour d’Expérience) en collaboration avec le CEA, puis a pris en charge l’offre « gestion des connaissances » au sein d’une SSII où Il a participe à la définition et à la mise en œuvre de nombreux projets de Knowledge Management en France : l’Oreal DISI, Renault DTSI , DPA, Alcan-Pechiney Electrométallurgie

rue Andr´ -Pascal, 75775 Paris Cedex 16, ˆ e e France. AVANT-PROPOS En mai 1996, les ministres ont demandé à l’OCDE de “mettre au point des mesures pour limiter les distorsions introduites par la compétition fiscale dommageable dans les décisions d’investissement et de financement et leurs conséquences pour la matière imposable au niveau national, et soumettre un rapport en 1998.” C’est en réponse à la demande formulée par les ministres que le Comité des affaires fiscales de l’OCDE a lancé

Maître de Conférences en Sciences de Gestion LOG, Rue de Blois - B.P. 6739 45067 ORLEANS CEDEX 2 Chaker.haouet@univ-orleans.fr Résumé Les premières applications dans les entreprises des outils informatiques d’aide au pilotage et à la décision, désormais appelés «Business Intelligence», datent du début des années quatre- vingt-dix ; les «Executive Information Systems» étaient à l’origine réservés à l’information des dirigeants. La banalisation dans les entreprises, vers le milieu de

Capo – Sylvie Fontana – José Gil – Estelle Régis « Les systèmes d’information façonnent-ils l’organisation du travail au sein des organisations ou s'y adaptent-ils ? » Définir Enjeux Enjeux Valeur Valeur Réévaluer Performances Concevoir Contexte Contexte Performances Sécurité Sécurité Évolution du SI Infrastructure Infrastructure Architecture Architecture Déployer Compétences Compétences Coûts Coûts Organisation Organisation Mettre en œuvre 2 Plan d’intervention • • • • • Lecture

de la théorie : la vision séquentielle de la décision, la focalisation sur une route centrale de la décision au détriment des chemins périphériques, le silence sur la rationalité axiologique ou normative et donc sur la question des valeurs. Par la suite, la question des paradigmes alternatifs est posée : les théories de l’a-rationalité (théorie de l’action, implications des recherches récentes en biologie en termes de compréhension de la décision) et ce que les auteurs qualifient de théorie

S'il est vrai que le choix d'un métier est l'une des décisions les plus importantes dans la vie d'un homme, quelle est aujourd'hui la part du hasard dans ce choix? Dans quelle mesure peut-on relativiser l'importance du métier et réduire l'intervention du hasard? Personne ne contestera la grande importance du métier qui conditionne notre existence à plus d’un titre. Tout d'abord ce choix détermine nos futures conditions de vie dans un contexte socio-économique fortement modelé par l’argent. Selon

dangereux. Dès lors, l’Etat s’attribue un droit d’intervention dans les familles afin de protéger le jeune et le placer au sein d’institutions dans le but de le « rééduquer ». L’Etat souhaite ainsi empêcher toute dérive future du mineur. Dans ce contexte interventionniste, le législateur va s’attaquer à une nouvelle politique de la jeunesse, orientée cette fois sur la prévention et l’éducation dans le but de « réformer les penchants vicieux alors qu’il en est encore temps ». La première loi générale