Question De Corpus Sur Didascalies

L’ÉPREUVE ÉCRITE DU BAC FRANÇAIS La nature de l’épreuve L'épreuve écrite dure 4 heures. Elle s'appuie sur un corpus de documents et fait référence à un objet d'étude du programme. 1. Les questions sur le corpus • Une à quatre questions portant sur le corpus et appelant des réponses rédigées peuvent vous être proposées. Ces questions font appel à vos compétences de lecture, vous invitent à établir des relations entre les différents documents et à en proposer des interprétations. Elles

permet aucune erreur de code. > Veuillez rédiger ce devoir après avoir étudié la séquence 1. Objet d’étude : L’argumentation : persuader, convaincre et délibérer. Ce sujet abordera plus particulièrement le thème des comportements excessifs. Corpus : Texte A : Article du Monde 2, 19 février 2005 Texte B : La Santé, Hors série n°48 Texte C : Paul Morand, Apprendre à se reposer (1937) Texte D : La Fontaine, L’Homme qui court après la Fortune, et l’homme qui l’attend dans son lit (extraits), Fables

Depuis la plus profonde antiquité, le théâtre fait partie du paysage culturel. Mais comment, dans les temps les plus reculés, l’homme en est-il venu à incarner un autre rôle que le sien, et à mener cette démarche jusqu’à la représentation ? À cette question, la citation de Louis Jouvet apporte un semblant de réponse : le leader de l’avant-garde française rappelle la relation qui unissait théâtre et spiritualité. Afin de pouvoir développer une réflexion, une analyse historique autour de cette citation

DM théâtre QUESTION PREALABLE Le théâtre intègre de nombreuses formes de dialogues, le monologue en est-une fréquemment utilisée pour transmettre les sentiments d’un personnage, seul sur scène, au public. Il peut être joué pour une scène ou lors d’un entracte. C’est ce que l’on retrouve dans ce corpus rassemblant trois monologues,  le monologue de la scène 9 de l’acte IV de Lorenzaccio, pièce écrite par

donc avec tempérance et mesure. La réaction d’Iphicrate, qui croit encore au dérisoire pouvoir de la violence physique (comme le souligne la didascalie « l’épée à la main », l. 97) et se complaît dans une parole tragique désormais ridicule, au vu de sa situation de nouvel esclave (l’interjection « Juste Ciel ! », l. 97-98 ou la question rhétorique : « Peut-on être plus malheureux et plus outragé que je le suis ? », l. 98, relèvent d’un registre élevé), montre qu’il a fort besoin d’une telle leçon

 L’illusion théâtrale Question : Pourquoi les auteurs de trois des textes du corpus ont-ils comme personnages des comédiens ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant précisément sur les textes. (A, B et D) Les auteurs, en mettant en scène des comédiens amateur à travers la mise en abyme, veulent expliquer ce qu’est le théâtre. Les pièces de théâtre sont de pures fictions, « le naturel, le vrai, celui du théâtre est la chose la moins naturelle du monde » nous dit Tigre le

Grands-Augustins, 75006 Paris) constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code Pénal. Avant-propos Objectifs Le livre du professeur de Français Méthodes & Pratiques 2de / 1re se propose en premier lieu de répondre aux questions posées dans la partie « Découvrir » et dans la partie « Exercices » du livre de l’élève. Il veut également présenter de nombreuses possibilités de démarches pédagogiques afin d’aborder : – les programmes de français de 2de et de 1re générales et

QUESTIONS 1. Le texte de Flaubert décrit Paris au XIXème siècle. Plusieurs aspects de la ville sont mis en valeur. D’abord, il s’agit des personnes qui vivent dans ce milieu urbain. On trouve des travailleurs « les balayeurs » (l.3), des « marchands de vin » (l.11), «les « décrotteurs » (l.11) les épiciers » (l.12) et également des passants « des femmes » (l.13), la « foule » (l.15). Ensuite, les véhicules de plus en plus nombreux dans le Paris de l’époque sont décrits. Le vocabulaire utilisé

avant cinquante ans, il y en a cent tout juste de damnées, sans compter celles qui deviennent folles, stupides ou furieuses » ; ou une gradation «  folles, stupides ou furieuses ».La narratrice ne sait plus ou elle en est. Elle l’exprime par une question «  Que sais-je-encore quoi? ». Les champs lexicaux de la souffrance, de la violence et de la mort « malheur », « s’arrachait les cheveux », « frappait », « mourrait », « tête ébranlé », « effroi ». Le point de vue interne, le type de discours

nous paraît être d’abord être l’invention d’une véritable situation de discours, à un carrefour entre une fiction pédagogique de production (devenir un orateur, un journaliste, un éditeur…), des compétences fortes de lecteur (les textes en amont du corpus qui orientent et nourrissent l’écriture), et des exigences de cohérence linguistique et de composition. C’est dire aussi que, à moins d’un contresens didactique total, l’écriture d’invention ne saurait se figer en recettes reproductibles, en rhétorique