Raison Et Sentiments

femme dans une vie . il l’affirme grâce a cette pièce en mettant la femme eduqué dans le rôle d’une femme bloquer sur ses idées , méprisante en effet touo long de cette scène M fait apparaître A comme quelqu’un de sectair, froide persuadé qu’elle a raison et kelest sourde aux argument d’autres personne a commencer par ceux d’H . Ainsi Par un jeu subtil M mntre a qu’elle point il se rallye a l’idée qu’une femme doit rester au foyer. MONTAIGNE Les esais de M est son unique œuvre écrite en 1580

origines possible de la conscience moral. En premier, les origines affectifs, sentimentaux aux proches mais qui doit reposer sur l’universalité, par exemple ce qui est juste pour un doit être juste pour l’autre. En deuxième, le fait de la raison, la loi de la raison, agir par devoir peut être ou non associe aux désirs par le bien de l’intérêt générale, par exemple le fait de payer des impôts, c’est une obligation qui peut être contraire aux désirs. Il existe aussi une origine sociale du moral qui vient

lui (caractéristique insociable d’A ?) b. Un retournement de situation : On s’attend effectivement à des aveux de Célimène sur ses fautes commises, qu’elle se justifie, demande des excuses, renouvelle de manière plus claire et affirmée ses sentiments,… Au lieu de cela, Alceste déclare à Célimène qu’il l’aime de manière peu claire, confuse, peu enflammée. Attente d’un évènement humiliation de C. or déclaration d’amour. * lucidité d’A. Illustrée par divers éléments (5) Vocabulaire péjoratif

LA RAISON et LA MORALE I) - Définitions et caractères de la raison 1) La raison, définition et procédés Le mot « raison » vient du latin « ratio » qui signifie « calcul », puis faculté de calculer, de juger… ; ce mot a pris deux significations : - faculté de l’homme qui permet le jugement, l’explication, le raisonnement - cause, c'est-à-dire que la raison d’une chose, d’un évènement est découvert par la raison La raison établit des liaisons nécessaires entre

, Rousseau aborde le thème de la conscience morale d’un homme. Rousseau s’efforce de résoudre le problème suivant : est-ce en raisonnant que l’on apprend à connaître les principes de justice ou est-ce en prêtant attention à nos sentiments qu’on reconnait ce qui est juste ? Pour résoudre ce problème, Rousseau défend la thèse selon laquelle nous avons tous en nous un principe inné de justice, ici nommé conscience, et grâce auquel nous sentons ce qui est bon ou mauvais, indépendamment

ma loge, mon cœur se mit à battre. En scène, les feux de la rampe m’éblouissaient et la lumière faisait écran avec le public. J’étais prêt à me livrer à lui et pourtant, jamais je ne m’étais senti aussi vide. Mon impuissance à extérioriser des sentiments m’emplissait d’un tel trac que je sentais mon visage et mes mains se durcir comme du marbre. Ma gorge se serrait, ma voix montait, je forçais mes gestes. Puis je me souvins de ce que m’avait dit Léo et mon émotion devint réelle. J’eus alors l’impression

sensible aux autres, son « cœur » est porté « à l’humanité », grâce à cette faiblesse et à ces misères communes. D’où la formule paradoxale : nous ne devrions rien à l’humanité (nous ne deviendrions jamais des hommes, des êtres sociaux, capables de raison et de langage) « si nous n’étions pas hommes » : si, en d’autres termes, nous n’étions pas des êtres mortels et souffrants, c’est-à-dire finis. Dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, Rousseau décrit l’homme

Introduction à la dissertation 1) Amorce : Il nous faut partir de ce constat de départ que le sentiment commun et immédiat éprouvé par tout homme est de se sentir libre : en effet, chaque homme peut faire l’expérience, du moins intérieure, d’une liberté de penser et d’agir, indépendamment de toute contrainte extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. 2) Annonce du sujet et problématisation : Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou

nécessaire ? Nécessité vitale ? Sociale ? b) devoir moral Raison : a) pratique : faculté d’agir ; faculté de faire le bien, d’agir en prenant en compte l’intérêt d’autrui ; faculté e mesurer nos instincts, désirs, etc. ; b) faculté théorique, de connaissance, de calcul, de démonstration Confiance : se reposer sur ; croire en son bien-fondé, croire qu’elle est toute puissante ; de l’ordre de la foi, de la croyance, sentiment I- LA RAISON, UNE NÉCESSITÉ, AFIN DE CONNAÎTRE LA VÉRITÉ, ET UN DEVOIR

travailler sur les arts véhiculés par les nouvelles techniques de communication. o Dans notre approche, nous verrons plutôt l’esthétique de l’art comme sujet venant d’une tradition philosophique, un objet en construction. On verra les conditions et raisons d'émergence. Ni l'objet ni les méthodes ne sont pas encore clairement définis. 2 ouvrages importants o Jean Caune « Que sais-je : l’esthétique de la communication ». Il s'intéresse à tout ce qui touche les sens (essentiellement à partir