Rama VII

empereur byzantin romain d'orient de 527 jusqu'à sa mort en 565). La redécouverte du droit romain s'inscrit dans un cadre particulier du 12 ème siècle marqué par 2 évenements majeurs. Le premier étant la réforme Grégorienne effectuée par le Pape Grégoire VII(1073-1085) qui entend la réformation complète de l'Eglise notamment en lien avec les moeurs de l'Eglise. Il faut également rappeler les conflits politiques opposant la papauté et le Roi de France au Saint Empire Germanique. Ce conflit va nourrir une

déshonorée et craignant d'être accusée d'adultère, se donna la mort. Ce drame aurait été l'occasion de la révolution qui renversa la royauté et établit la république. De ce fait, Lucrèce est devenue en exemplum pour chaque femme romaine. Cléopâtre VII – Thea Philopator : (née en 69 av. J-C – décédée en 30 av. J-C) Reine de l’Égypte antique de la famille des Lagides. Elle a gouverné son pays de -51 à -30, avec ses frères et époux Ptolémée XIII puis Ptolémée XIV, enfin avec le général romain Marc-Antoine

Jeanne d'Arc libère Orléans. En Juillet 1429, elle fait couronner Charles VII à Reims. En 1430 elle est capturée par les Bourguignons et livrée aux Anglais. Le 30 Mai 1431 Jeanne d'Arc est brulée vive à Rouen à 19 ans. Lors de son procès, les Anglais l'ont accusée d'être une sorcière, envoyée du diable, pour tenir l'image des victoires de l'armée royale. Elle a changé le cours de la guerre de Cents Ans au profit du Roi Charles VII et redore son image de roi choisi par Dieu grâce au sacre.

Caravage, il étudie également la peinture du XVIIème siècle. Description : L’œuvre se compose de Napoléon, de l'impératrice Joséphine de Beauharnais accompagnée des dames d'honneur, des ambassadeurs, des membres de l'église avec le pape Pie VII, des grands membres de l'état, des frères et sœurs de Napoléon et du peintre David lui même. Napoléon se situe (à peu près) au centre de l’œuvre, Joséphine aussi, les frères et sœurs de l'empereur à gauche du tableau, les grands personnages de l'état

Espagne et dénonce la guerre d’Espagne et la répression dans 82 gravures appelées les Désastres de la guerre (1810) puis dans Le dos et le Tres de Mayo. Francisco Goya ne supporte pas le rétablissement de l’absolutisme par le roi d’Espagne Ferdinand VII, en 1815. En 1924, il part pour la France. Cette peinture est une huile sur toile de hauteur 2.66m et de largeur 3.45m, elle est exposée au musée Prado, à Madrid. Le contexte historique de l’œuvre est l’exil de la famille royale espagnole par les

pourrait assimiler à un "décret juridique" quand à la forme rédactionnelle. Ce texte n'a pas eu de promulgation officielle (ce n'est pas du droit ecclésiastique officiel, droit canonique) Auteur : Probablement le Pape Grégoire VII, ou tout du moins initié par lui Grégoire VII (1073-1085) principal acteur de la réforme grégorienne lutte contre le nicolaïsme : célibat ecclésiastique lutte contre la simonie : achat et vente de biens spirituels en particulierles charges ecclésiastiques et le

et le roi d’Angleterre Henri V, fut démantelé par un certains nombres de juristes et de légistes. Ainsi Jean Juvénal des Ursins a écrit lui aussi une thèse pour démontrer que le royaume de France devait revenir au fils du roi, c'est-à-dire a Charles VII. Ce texte s’inscrit donc dans un contexte très particulier qui est celui de la guerre de Cent Ans. Il est donc argumentatif, se basant notamment sur différents principes qui sont apparu courant du XIII et XIVème siècle. Le problème qui se pose ici est

fresques, devinrent la propriété de son fils Javier Goya en 1823, année où Goya la lui cède, semble-t-il pour préserver sa propriété de possibles représailles après la restauration de la Monarchie absolue et la répression des libéraux par Ferdinand VII d’Espagne. Depuis lors, et jusqu’à la fin du XIXe siècle, l’existence des « Peintures noires » fut connue de peu de gens (seuls quelques critiques les décrirent, tel Charles Yriarte)[2] et en 1873, avant la démolition imminente de la ferme, elles furent

à Florence — au cours duquel il avait pris parti contre le pape dans le conflit avec l'empereur Charles Quint — et Clément VII, lui ayant pardonné, lui demande de peindre les deux murs latéraux de la chapelle Sixtine. Il devait y représenter la Chute des anges rebelles et le Jugement dernier. Presque aussitôt, il se met à l'étude pour réaliser ce projet démesuré. Clément VII étant mort (en 1534), il songe à renoncer à ce travail pour reprendre le tombeau de Jules II, quand le pape Paul III s'y oppose

le grec, le latin et l’hébreu. Il s’installe ensuite à Lyon et y est reconnu médecin. Il y publie ses deux œuvres majeures, Pantagruel. De 1534 à 1552, Rabelais voyage beaucoup en France, mais aussi en Italie, en particulier à Rome. Le Pape Clément VII l’absout de ses crimes d’apostasie, malgré toutes les piques qu’il a adressées à l’Eglise. Rabelais meurt le 9 avril 1553, à Paris et est enterré au cimetière Saint-Paul. Bibliographie de l’auteur : François Rabelais écrit de 1532 à 1552 et on