Rappelle Toi De Musset

stabilité et de prospérité => suivie de Restauration, durcissement institutionnel- grandes espérances d’une France triomphante s’évanouissent, jeunesse se sent prise dans un monde sans perspectives, c’est le mal du siècleII. Le travail d’écriture de Musset: une poétique de la désillusion- s’inscrit en décalage et en dissonance avec réfs qu’il sollicite1) Un titre jouant sur les échos intertextuels- « Confession » = rattache d’emblée œuvre à celle de St-Augustin et de Rousseau- allusion brève mais élogieuse

note au tableau les réponses des élèves • apprentissages : ils se feront soit collectivement, individuellement ou par groupes. Perspective historique : ligne du temps retraçant les événements importants du XIXè siècle : cours magistral. (1h) Rappel par les élèves des grandes caractéristiques des courants vues via les peintures Recherche de ces différents traits à travers extraits littéraires : - Romantisme : ~ Les précurseurs Mme de Staël (initiatrice, ouvre la voie au romantisme), De l’Allemagne

RAPPEL: Courant littéraire Un courant littéraire est formé par des œuvres littéraires qui ont en commun les mêmes critères esthétiques, qui défendent les mêmes valeurs ou idéaux, et dont les auteurs ont le sentiment qu’ils répondent aux mêmes exigences. Ecole littéraire Ce terme désigne les groupes et les productions d’auteurs qui, à une époque donnée, partagent des principes esthétiques communs, exprimés dans des textes théoriques (roman expérimental de Zola, 1880) ; le manifeste du surréalisme

la Grèce antique, aux alentours du VIIe siècle av J-C. La poésie est considérée alors comme étant d’origine divine. Le poète ne fait qu’écrire sous la dictée de la muse : « Poète, prends ton luth et me donne un baiser » ainsi que l’écrira Alfred de Musset dans ses Nuits. Il existe plusieurs sortes de poésies :épique , lyrique et didactique. Poésie épique La poésie épique, sans doute à l’origine orale et chantée par les aèdes -sorte de troubadours-, persiste jusqu’au au Ve siècle av J.-C. L’épopée

l’histoire littéraire et artistique que brossent, touche après touche, les vingt-sept contributions de ce volume, de Villon et Marot à la Pléiade et à la poésie baroque, de La Fontaine et Racine à Voltaire et Diderot, de Chateaubriand et Soumet à Musset, Vigny, Gautier, Baudelaire et Banville, d’Apollinaire, Proust, Valéry, Cendrars à François Cheng, en abordant les questions spécifiques à l’emblème, au frontispice, à l’almanach, à la vignette, apporte beaucoup à la compréhension de ce relais des

(tragi-comédie) en vers (alexandrins essentiellement) de Pierre Corneille dont la première représentation eut lieu le 5 janvier 1637. Personnages: • Don Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. • Chimène : fille de Don Gomès et maîtresse de don Sanche et de don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. • Don Gomès (le comte) : comte de Gormas et père de Chimène. • Don Diègue [de

Etude Linéaire Au XIXe siècle, apparait un nouveau genre de théâtre, celui du drame romantique, qui veut rompre avec les codes du théâtre classique. Mais jamais les romantiques n'ont remis en question le code de la représentation en public. Musset entame donc un projet totalement innovant dans le paysage littéraire de l'époque en présentant des pièces écrites non pas pour être jouées mais pour être lues. Ainsi, il sort en 1834 la deuxième partie de son recueil Un spectacle dans un fauteuil

malsain. « Et tout cet ail de basse cuisine » désigne les poésies romantiques qui font pleurer. Il emploie le mot « ail » car il fait pleurer. 6e strophe : « Prend l’éloquence et tords-lui le cou ! » évoque les épanchements lyriques de Lamartine ou Musset. Il trouve qu’ils manquent de naturel. « Tu feras bien, en train d'énergie de rendre un peu la Rime assagie, si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où? » Encore une fois ici c’est la musicalité et donc il veut dire qu’il faut trouver la subtilité.

des sentiments personnels ? « Poète, prends ton luth et me donne un baiser » dit la Muse au Poète dans la Nuit de Mai de Musset. Dans ce long poème qui est aussi une réflexion sur l’inspiration, le dialogue avec la Muse montre à quel point la poésie est inséparable de l’expression des sentiments. L’Histoire donne raison à ce rapport étroit : le luth évoqué ici rappelle la lyre qui était l’instrument des poètes de l’Antiquité, et cet instrument a donné naissance à la notion de lyrisme. Pour

de Figaro (V, 3). – Dans la tragédie ou la tragi-comédie : « To be or not to be ? », Hamlet ; les stances du Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo). – Dans le théâtre moderne : le Prologue et le Chœur dans Antigone d’Anouilh