Rappelle Toi Musset

Etude de Lorenzaccio de Musset Une première approche de la pièce : l'acte I contrôle de lecture 1. A quelle occasion particulière le spectateur fait-il la connaissance de Lorenzo ? Quel semble être, à la lecture de ces premières pages, son caractère ? Justifiez. 2. Que nous apporte la conversation entre les deux bourgeois florentins, le Marchand et l'Orfèvre ? Quelle est la position de chacun de ces deux personnages sur les puissants de Florence ? 3. A plusieurs reprises sont évoqués les «

procédés originaux. Il existe quatre formes poétiques variées utilisées par les poètes faisant l'éloge de la femme aimée. Par exemple, l'élégie, poème lyrique exprimant une plainte douloureuse, issus des chants de deuil fut utilisé par Alfred de Musset dans « Souvenir », lorsqu'il était à la recherche de l'amour. D'autres, comme Joachim du Bellay appartenant à la Pléiade, utilisaient le sonnet, pour exprimer leur amour suite à une enfance triste. Le sonnet est une forme classique composée de deux

son bas de soie, Elle fait, sur son flanc qui ploie, Craquer son corset de satin ! Allons, mon page, en embuscades ! Allons ! la belle nuit d’été ! Je veux ce soir des sérénades À faire damner les alcades De Tolose au Guadalété. Alfred de Musset - Libro Veritas (1829) Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en

elle-même qui apparaît mouvante: l'amour est éphémère, le bonheur n'est rien d'autre qu'une illusion et l'existence devient une suite de métamorphoses où la réalité n'a désormais pas plus de poids qu'un souffle. Il n'est pas inutile, à ce propos, de rappeler que les incertitudes et les angoisses religieuses ont, tout au long du XVIe siècle et pour une bonne part du XVIIe, ébranlé la civilisation européenne; dès lors, il n'y a pas lieu de se surprendre que la poésie ait gardé la trace de la précarité

… Portrait de Garibaldi 2) Les romantiques : pacifistes mais engagés a) Les fusillés Victor Hugo appartient au romantisme, c’est l’un des romantiques les plus célèbres de son époque. Victor Hugo publie en 1872 "L’Année terrible" pour rappeler les évènements de 1870-1871. Le poème, « les fusillés » place l’action le 20 juin 1871. Victor Hugo, sympathisant des communards (participation aux événements de la Commune de Paris en 1871), s’est battu pour l’oubli du droit public pénal de ces

par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des idées de la Pléiade. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue et la littérature française par des emprunts, la fabrication de néologismes (création de nouveaux mots), le rappel de mots disparus, et plus globalement enrichir la culture française par la redécouverte de la culture antique, de ses arts et de son savoir. Les membres de la Pléiade entrent ainsi dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, décidés à rompre

sous partie : Une référence négative de Camille. . Conclusion « On ne badine pas avec l’amour », est une pièce de théâtre publiée en 1834 (19e siècle), composée de trois actes. Son auteur est Alfred de Musset, l’un des plus grands dramaturges romantiques français. Dans cet extrait qui fait partit de l’acte III scène 3, Perdican voulant se venger de Camille qui ne veut pas de son amour par peur de souffrir, celui-ci met en place un plan pour que Camille

spectateur, dans l’espace du théâtre. On dira donc que son but premier est la représentation. • Le texte n’est donc en principe pas fait pour être lu en tant que tel. Pourtant, on le lit aussi pour lui-même. Et vous savez que certains dramaturges comme Musset, par exemple, ont écrit des pièces destinées à un lecteur et non pas écrites en vue d’être représentées (Spectacle dans un fauteuil). • Le metteur en scène joue ces trois rôles tout à la fois. Suivant les époques, il tendra à être plutôt l’un que

« réchaufferait » l’âme morbide du poète ; enfin, le « tambour » des vers qui « soûlerait son cœur »… La poésie comme planche de salut, en somme ! L’ALBATROS Intro : poème fort connu, éloge du poète, topos romantique du poète-oiseau : cf. Alfred de Musset qui se comparait au « pélican », par des temps de famine « donnant son cœur en pâture à ses petits » ( ici = lecteurs) ; ou encore Lamartine, se comparant au cygne, et à son chant (« les plus désespérés sont aussi les chants les plus beaux… » - et

simple accompagnement d’orchestre soutenant la mimique des acteurs ». De fait, le théâtre est un lieu où l’imaginaire se déploie : « c’est comme les rêves que l’on fait quand on dort » (L’Echange), la rampe y « sépare le monde réel du monde idéal » rappelle Hugo, et la vie s’y déroule en accéléré, car la vie est « un théâtre par trop languissant. Elle manque de régie (…) » Souligne le Chambellan d’Ondine. Le théâtre sollicite donc l’imagination, les cinq sens et loin d’être seulement qu’une source de