Rapport Semestriel Integration Fiscale

l’acheteur final. Le développement d’un canal intégré est la conséquence de l’adoption par une firme d’une stratégie d’intégration. Caractéristiques : Les canaux intégrés présentent deux caractéristiques principales qui sont : une intégration en amont, et une intégration en avale. On parlera de stratégie d’intégration en amont, lorsqu’une institution prendra en charge des fonctions concernant un niveau du canal supérieur à celui qu’elle occupe par exemple, lorsqu’un détaillant intègre des activités

partie : Approche méthodologique de l’audit social Introduction de la deuxième partie 1. Phase préliminaire 2. Audit de régularité ou de conformité: mission de base de l’auditeur social 3. Audit d’efficacité du management des ressources humaines 4. Le rapport d’audit social Conclusion de la deuxième partie D. Conclusion générale L’audit social dans le contexte marocain - Un nouveau créneau pour l’expert comptable, Aspects méthodologiques et proposition d’un référentiel d’audit 4 SOMMAIRE Liste

Approche méthodologique de l’audit social Introduction de la deuxième partie 1. Phase préliminaire 2. Audit de régularité ou de conformité: mission de base de l’auditeur social 3. Audit d’efficacité du management des ressources humaines 4. Le rapport d’audit social Conclusion de la deuxième partie D. Conclusion générale 3 L’audit social dans le contexte marocain - Un nouveau créneau pour l’expert comptable, Aspects méthodologiques et proposition d’un référentiel d’audit SOMMAIRE

transitoire. 8 PREMIERE PARTIE : LES CONSEQUENCES DES NORMES IFRS POUR L’ENTREPRISE 9 1 - LES ENJEUX STRATEGIQUES DE LA DIRECTION GENERALE : Le seul fait de passer d’une comptabilité marocaine, basée sur des dispositions juridiques et fiscales, à une comptabilité internationale répondant aux besoins des investisseurs, c'est-à-dire plus économique et plus transparente mobilise l’entreprise au-delà de la seule direction financière puisque tous les acteurs sont impliqués. Tous doivent intégrer

à son taux de transformation, au niveau de cash, … Si ces indicateurs n’existaient pas auparavant, il faut les calculer rétroactivement afin de voir s’ils se dégradent actuellement. Bien entendu, il est également intéressant de se benchmarker par rapport à des entreprises d’activité et de taille comparables. Par ailleurs, si l’indicateur est dans le rouge, il est nécessaire d’établir un plan d’action et de le suivre dans le temps. La connaissance des indicateurs clés, leur analyse et la mise en place

partir d’un échantillon d’entreprises cotées qui se positionnent sur un même secteur. Pour chaque entreprise de l’échantillon, c’est la mesure de la covariance entre le taux de rentabilité des actions et le taux de rentabilité de l’indice de marché rapporté à la variance du taux de rentabilité de marché qui permet d’évaluer le coût des capitaux propres. Cette mesure est connue sous le nom de « bêta » : Cov (ra, rm) Bêta = ————— Var (rm) À titre d’exemple, les bêtas sectoriels présentés dans le tableau

| | | | |(en %) | | | | |Différentiel de croissance par rapport au marché | | | | 2. analyse détaillée des ventes par couples produits-marchés Il est rare qu’une entreprise soit « mono-produit » ou « mono-activité » ; il est donc

6 INFORMATIONS SOCIALES, SOCIÉTALES  ET ENVIRONNEMENTALES 2013 RFA 1 MICHELIN EN BREF 5 6 7 8 9 1.1 Profil 1.2 Organigramme juridique simplifié 1.3 Histoire et évolution de la Société 1.4 Sites 2 LE RAPPORT DE GESTION RFA  6.1 6.2 6.3 6.4 12 2.1 Ambitions 2020 : Performance et Responsabilité Michelin 14 2.2 Les marchés du pneumatique 19 2.3 Évolution des ventes nettes 26 2.4 Commentaires sur le compte de résultat consolidé

31 51- Caractéristiques de l’action page 31 52- L’histoire du cours de l’action sur 3 ans page 32 53- L’impact du rapprochement Aigle et « Sipdt » page 34 54- Consensus de la bourse page 35 55- Rapport avec le second marché page 36 PARTIE VI Perspectives et stratégies page 37 61- L’analyse SWOT de Aigle page 37 62- Stratégie générale et positionnement page 38 63- Moyens mis en œuvre pour

.......... 142 §1. Les documents budgétaires et comptables ............................................................. 142 §2. Les informations recueillies par les membres de la Commission des finances ........... 147 §3. Les rapports déposés par le Gouvernement ............................................................ 149 SECTION 2.– LES AUTRES MOYENS D’INFORMATION .......................................................... 151 SECTION 3.– L’ÉVALUATION DES POLITIQUES