Ratio Cooke

30Chapitre 4 : Le cadre réglementaire.Section 1 : Le Ratio européen de solvabilité.................................................321.1. Définition du ratio de solvabilité. .....................................................321.2. Les objectifs du ratio..................................................................... 33Section 2 : La réforme du comité de Bâle II.................................................. 342.1. La remise en cause du ratio de solvabilité..................................

marché, entraves aux enquêtes de l'AMF et opération de blanchiement). Ces risques rendent necessaires une adaptation des ratios de solvabilité. En effet, les banques se doivent d'être d'une grande solidité financière compte tenu des effets d'une faillite éventuelle d'une banque sur la stabilité de tout le système financier et, au-delà, de l'économie tout entière. Adaptation des ratios de solvabilité Cette solidité financière est mesurée par le montant de fonds propres de la banque qui determine sa capacité

l’adoption d’un ratio de solvabilité des banques (Ratio Cooke). Il est appliqué dans plus de cent pays à travers le monde. En vertu de ce ratio, chaque banque doit respecter deux contraintes de solvabilité : le ratio global et le sous-ratio de fonds propres de base qui sont respectivement de 8% et 4%. Cela oblige les banques à couvrir leurs risques de crédit et de marché grâce à des fonds propres. Puis en 2004, le comité a proposé une réforme : le « ratio Cooke » est devenu « ratio McDonough ». Celui-ci

Missions………………………………………………………………………………………28 1.2 Les accords de Bale I…………………………………………………………………………......29 1.2.1 Définition du ratio da solvabilité……………………………………………..……….……...30 1.2.2 Les composantes du ratio Cook……………………………………………………………….31 a. Les fonds propres………………………………………………………………........31 b. Les quasi-fonds propres……………………………………………………….........31 c. Les engagements………………………………………………………………….…32 1.2.3 Critiques et limites du ratio Cook………………………………………………………......34 Section 2 : la réglementation Bale I.……………………………………………………………

traitement , le risque technologique et le risque juridique. Par rapport aux deux types de risque qui viennent d’être cités, le risque opérationnel est un domaine relativement nouveau mais il fait l’objet d’une exigence de fonds propres dans le nouveau ratio de solvabilité du comité de Bâle (qui sera abordé dans la partie suivante) et engendre directement ou indirectement l’insuffisance de fonds propres des établissements de crédit. A côté de ces trois types principaux de risques qui peuvent conduire

titrisation de créances ? Parce que la titrisation leur procure un certain nombre d’avantages : Segmenter et transférer les risques (dépend du type de titrisation) Améliorer la structure du bilan Répondre à un besoin de liquidités Gérer et optimiser le ratio Cooke Trouver de nouveaux investisseurs De même, il existe un certain nombre d’avantages pour les investisseurs : Possibilité d’investissement dans de nouveaux produits Obtenir un meilleur rendement pour un niveau de notation donné Investir dans des titres

autorités monétaires ont donc mis en place outre la règle du capital minimum pour les établissements bancaires, des ratios prudentiels de solvabilité, de liquidité et de division des risques que les établissements de crédit se doivent de respecter. A/ Le ratio de solvabilité, ancien ratio Cooke : C’est un ratio mis en place par le comité de Bâle[19] en juillet 88. L’introduction de ce ratio était dictée par l’accroissement des risques bancaires à la suite de l’internationalisation des marchés de capitaux :

de leurs risques afin d'établir une segmentation de l'ensemble des risques de crédits en | |portefeuilles homogènes. Cette approche a pour fin de faire passer la mesure du capital réglementaire d'un calcul arithmétique (ratio | |Cooke) à un calcul probabiliste (ratio McDonough). | |Selon une étude d'impact menée par la commission bancaire, les exigences en fonds propres relatives seraient inférieures de 2,5%

ainsi que la difficile maîtrise des marchés financiers internationaux. Des mesures sont envisagées mais leur application semble compromise. Les règles prudentielles internationales: Les innovations financières rendent difficile le respect du ratio Cooke (selon lequel les banques doivent disposer de réserves - au moins 8% de leurs engagements -, règle émanant de la BRI.)

assurances. 2. Les ratios ou normes prudentielles Cinq types de ratios : * Le capital minimum : on demande aux établissements de crédit de détenir selon le type d’agrément qu’elle a reçu un certain montant du capital minimum. * Le ratio de solvabilité : risque de crédit ou de défaut de paiement. On parle également de risque de contrepartie ou de signature. Ratio Cooke : 8% (BÂLE) mise en place de système qui permet de noter les risques des clients. Ratio MAC DONOUGH, notation de la