Rationalisation Des Choix Budgétaires En Finance Publique

étaient attirés, une monnaie refuge : le franc. Tjrs dans cette politique, il y avait des excédents budgétaires, (budgets publique : finance de l’état) = l’état dépense moins qu’elle gagne, et ces excédents sont mise en place pour financer les investissements publiques une apparence de prospérité. C’est tout ce qu’à permet de cacher la dégradation économique, ça enduit en erreur une situation publique positive. c- Les réalités de la crise éco : Renversement conjoncturel immédiat, et ensuite ça

justifiées par le développement économique et social sous le couvert de la loi»3. Les principes consistant a soumettre à la volonté du législateur la garantie de la propriété et du droit d'entreprise, ainsi que la formation et le transfert d'entreprises publiques sont le reflet de la puissance politique des forces sociales que sur le fond les pouvoirs publics ont encourage, tout en se donnant les moyens institutionnels d'en modérer les ambitions et méthodes. La formation d'une classe d'entrepreneurs marocains

DÉMOGRAPHIQUE .................................................................................26 3. UNE BAISSE DE LA CROISSANCE POTENTIELLE ...................................................................28 4. UNE AUGMENTATION INACCEPTABLE DE LA DETTE PUBLIQUE ....................................................29 III. QUELLE FRANCE VOULOIR EN 2020 ? ........................................................30 1. UNE CROISSANCE ANNUELLE DU PIB D’AU MOINS 2,5% ..........................................

entre universalisme et relativisme. a) Trouver des preuves Comparer = chercher de plus en plus de données Depuis 1950 on peut observer les premiers travaux comparatistes fondés dans une logique d’universalité et de rationalisme : ils sont financés par les premières institutions d’après la 1ère GM et permettent alors d’analyser la situation économique des Etats (PNB, PIB), afin de hiérarchiser, classer = logique de classement (actuel débat sur le concept de développement), et ce grâce à un

...................................................................................................................... 87 PARTIE III : Finances publiques ............................................................................................ 88 1. les mutations au niveau des Finances publiques appellent à préserver les marges de manœuvre budgétaires................................................................................................................ 89 1.1. Espace fiscal sous

...........................................14 c) - les politiques sectorielles ..................................................................................................17 II.4 – le plan d’urgence de redressement de la situation des Finances Publiques (Août 1993) 22 SECTION III - la période postérieure à la dévaluation du Franc CFA en 1994.......................24 III.1 - la situation macro-économique .......................................................................................

croissance des trente glorieuses, le gouvernement a pratiqué une politique d'Etat providence afin de limiter l'impact social des crises successives, soucieux de l'augmentation de ses dépenses, il lance, dans les années 70, le programme de Rationalisation des Choix Budgétaires, mais la période est mal choisie et le programme n'aboutit pas. Dans les années 80, l'Etat engage une nouvelle politique, la décentralisation. Les lois de décentralisation (1982-83) vont se traduire par d'importants transferts de compétences

« international » cela signifie que celui-ci prend de la hauteur, ainsi le financement est recherché ailleurs qu’au niveau national. Il est fait appel à l’épargne, à la capacité de financement d’autres pays, États ou organisations internationales, pour financer un projet national ou parfois inter-étatique.     Le financement international passe le plus souvent par le biais d’organisations internationales telles que le Fond monétaire international, ou encore l’Organisation de coopération de développement

Mohammedia 2011-2012 Introduction Comme toutes les structures publiques, les collectivités locales doivent être dotées de moyens indispensables à leur fonctionnement et à leur action. Le financement est la question centrale de la décentralisation, de la manière dont elle est résolue dépend souvent de son caractère affectif ou formel. A la décentralisation administrative doit correspondre une décentralisation des finances. Au Maroc la décentralisation a pour objet de confier aux élus locaux

la cohabitation entre les individus, l’Etat adopte des règles qui sont de deux sortes : règles qui mettent en œuvre des politiques publiques et règles qui organisent l’autorité et les services publics Le phénomène financier correspond au versants financier des règles ci-dessus, il répond notamment aux questions suivantes : qui a compétence pour construire et financer un lycée ou une université ? Qui paye les enseignants ? Comment comptabiliser les sommes versées à ces derniers ? - Le droit public