Rationalism

historique récente. On retiendra plus particulièrement l'oeuvre de Madame de La Fayette, La princesse de Clèves. Auteurs et ouvrages Boileau : Art Poétique, 1674Corneille : Le Cid, 1637Descartes (le classicisme est parfois influencé par son rationalisme)La Bruyère : Les caractères, 1688La Fayette : La princesse de Clèves, 1678La Fontaine (donner une version moderne aux modèles antiques pour que la morale sociale et politique ne peut être comprise que dans le contexte du XVIIème siècle) La Rochefoucauld

partirons de la rationalité de l’innéité ou de l’a priori. La raison est le réservoir de connaissances comme un magasin d’idées innées. De Leibniz à Kant, nous avons une vue comme un système de règles formelles, c’est-à-dire, un rationalisme de l’innéité au rationalisme de l’a priori, au sens d’un pouvoir structurant. Puis il y a une triple transformation. La raison est perçue comme un principe dynamique, actif par opposition à l’entendement cartésien qui est confirmé dans l’intuition des natures

suffisent pas à nous faire connaître quoi que ce soit ; par elles-mêmes elles sont informes et il faut qu'elles soient ordonnées par les concepts de l'entendement. - Au rationalisme, il accorde que la raison est par elle-même source de connaissances, puisqu'il y a des jugements synthétiques a priori, mais contre le rationalisme classique il soutient que la raison ne peut atteindre d'autres réalités que les réalités sensibles ; connaître, c'est connaître quelque chose ; hors des objets du monde,

preuve que l’on peut être à la fois un homme supérieur et respecter la foi et la religion. La contestation du rationalisme La raison est insuffisante pour expliquer les comportements humains. Les lois de la nature ne sont les lois de la raison. Le juge reproche à Raskolnikov de mettre au dessus de toute l’intelligence humaine. Loujine et Lébéziatnikov sont condamné par leur rationalisme. * Loujine défend la morale de l’intérêt bien compris, le progrès, mais ne s’aperçoit pas que cette morale

Le romantisme : un mouvement culturel et littéraire Contre le rationalisme des Lumières, le romantisme privilégie, dès la fin du XVIIIeme siècle, l'expression de la sensibilité; d'abord européen, notamment britannique et allemand qui débute vers 1795, puis le mouvement se développe en France entre 1820 et 1850. Le Romantisme est né vers 1795, en Angleterre et en Allemagne. On considère généralement comme fondateur le mouvement littéraire allemand du « Sturm und Drang » (littéralement "tempête

La théologie et la religion dans son ensemble sont remis en cause. Les penseurs défendent de nouvelles conceptions telles que l'empirisme ( la vérité qui ne peut être dégagée que de l'expérience ), développer l'esprit critique ( scepticisme et rationalisme ). La science progresse vite au XVIIIe siècle et de nombreux philosophes vont vulgariser le propos scientifique ( Leibniz, Haltey, Voltaire ). Les mœurs évoluent, on voyage plus ( Angleterre ). Appartion de valeurs nouvelles ( le bonheur

des Lumières, même pas en Angleterre, où la croyance chrétienne n’était pas établie si fermement qu’en France. En particulier en Germanie, le voisin de l’est de la France, le courant principal des Lumières était le rationalisme modéré de Wolff, qui accentue l’harmonisation du rationalisme et des religions. L’école allemande des Lumières respecte d’habitude la croyance religieuse, laquelle est liée étroitement à la tradition culturelle allemande, spécialement au mouvement luthérien du Piétisme. A cause

18ième siècle, de nouvelles idées commencent à circuler parmi d’abord les intellectuels puis parmi la société en général. Ces idées expriment la volonté du peuple européen de changer le régime d’alors, c'est-à-dire de passer du traditionalisme au rationalisme. En effet, cette nouvelle doctrine est essentiellement basée sur la raison qui est « la source de toutes connaissances, le guide de toutes actions et le moteur du progrès de l’humanité ». Elle prône aussi la liberté des hommes, dont la liberté

de la favoriser ? Rationalisme et “vérité” de la construction Rationalisme : doctrine, tt ce qui existe à sa raison d’être (est déterminé par une cause) et peut donc être considéré comme intelligible (compris et explicable par la raison). Empirisme : théorie d’après laquelle toutes nos connaissances sont des acquisitions de l’expérience. Sensualisme : doctrine d’après laquelle toutes les connaissances viennent des sensations. Siècle des lumières, montée du rationalisme qui est due aux réflexions

fluctuation de perceptions changeantes et contradictoires. Cela illustre l’empirisme, courant auquel appartient le philosophe du 18e siècle. En effet l'empirisme part du principe qu'aucune connaissance n'est possible sans expérience. Il s'oppose ainsi au rationalisme ou philosophie du sujet qui identifie conscience et moi. Celui-ci constituerait l'essence de l’homme, réalité interne inaltérable et source de connaissance.Ainsi, Hume évoque d'abord une thèse qu'il ne partage, pas celle d'un moi intérieur stable