Rationalité économique

intelligible ? Mais notre nature humaine n’accorde t’elle pas une certaine valeur de jugement dans son discours a la réalité? Des lors, sur quoi peuvent se fonder ses valeurs ? La raison pourrait nous donner une connaissance du réel. En effet, la rationalité est le fait d’organiser des liaisons logiques qui sont formellement correcte par rapport aux propositions énoncées. C'est-à-dire qu’elle opère correctement une déduction à partir des propositions de départ, des principes de base, des axiomes. A

atteindre son apogée avec Hegel qui ira jusqu'à identifier le rationnel et le réel. Comme nous l’avons vu les individus souhaitant mené une vie raisonnable, on deux voies : la prudence ou la rationalité. La prudence permet de s’assurer de la paix ou d’une tranquillité alors que la rationalité

le sourire toutes les épreuves au cours de sa destinée. C'est le « Supporte et abstiens-toi » d'Épictète, justifié par sa métaphysique panthéiste et optimiste. Vivre en accord avec la Nature, c'est, pour un être raisonnable, consentir à la rationalité du destin.

naturel des choses. Pour cela, elle vaut la peine d’être vécue : la vie est légère, joyeuse alors qu’une vie soumise aux valeurs morales nous empêchent de vivre pleinement. Toutefois une vie qui ne se met pas à l’épreuve est aussi une vie où la rationalité est exclue. Une telle vie n’est-elle pas alors sans but, sans finalité, absurde ? Comment se contenter d’une telle vie ? La mise à l’épreuve au loin de baisser la qualité de la vie ne lui donne-t-elle pas au contraire un sens ? Pour Socrate, la

science et la philosophie permet-elle de désengager un critère d'efficacité conduisant à se passer de l'une au profit de l'autre ? - Les points communs qui font qu'il y a concurrence : recherche de la connaissance, primat méthodologique de la rationalité, objectivité (cf. Kant, sur la raison), contrôle empirique. - Science moderne : primat du mesurables, du quantitatif : réduction de l'objectivité au mesurables, désincarnation. Philosophie : l'aspect mesurable n'est pas le seul à prendre en compte

Reconnaissance du problème ( Recherche d’information ( Evaluation des alternatives (Décision d’achat (sentiments post achat ( fidélité L’élaboration du processus d’achat : Ce processus peut toutefois être différent en fonction : -de la rationalité du consommateur. Exemple : effets de démonstration ou d’imitation  (attributs subjectifs.) -en fonction du type d’achat : achat routinier, achat impulsif, achat complexe. -en fonction de l’implication du consommateur. Une motivation d’achat

Poser ce sujet, c’est vous inviter à réfléchir sur les raisons qui font croire à une religion. Au sens philosophique du terme, la problématique doit être énoncée ainsi : y-a-til une rationalité de la religion, ou au contraire une incompatibilité entre ces 2 concepts ? 1) Dans un premier temps, il faut énumérer les mobiles de croire et les dénoncer comme irrationnels : - Notons que la religion revendique son irrationalité : la religion chrétienne est fondée sur des « mystères » : (l’immaculée

pas que l’Homme est complètement rationnel. Il l’est à différents niveaux : être complètement rationnel, je pense, relève plus de la maladie mentale que de l’idéal! La réalité est que l’homme est essentiellement un mélange entre émotions et pure rationalité, lorsque l’un est trop dominant sur l’autre cela devient problématique. L’Homme n’est pas rationnel ni irrationnel cela dépend de chaque individu, de chaque époque et de culture. Par exemple, l’éducation et l’alphabétisation rendent l’Homme rationnel

d'idées vraies qui forment la base de la science. Hume donne l'exemple de la négation de l'existence de César. Cela n'implique effectivement pas de contradiction en soi. Il peut avoir existé ou ne pas avoir existé puisque la rationalité ne s'oppose pas à ses deux idées. La rationalité n'a donc rien à voir dans l'évaluation de la véracité d'un fait. Ce qui nous amène à dire que la réalité d'un fait ne peux pas être certaine. L'existence d'un être ou d'une chose est donc une vérité subjective puisqu'elle

de la raison. En réapparaissant dans la centralité sociétale, il viendrait alors se placer en stricte opposition à l’éternelle « rigidité » prométhéenne ayant jusque là structuré le quotidien. De cette apparition découle un balancement entre la rationalité moderne et la jouissance immédiate, « l’orgie » sociale… le dionysiaque. Ce balancement rappelle celui du domaine de l’art, où Nietzsche opposait l’art apollinien connotant l'ordre, la mesure, la maîtrise de soi, le régulier… censés être le propre