Rationalité économique

Au XVIIIème siècle, grâce aux travaux de BERNOUILLI sur le dénombrement, les combinaisons et les lois de probabilités, certains jeux ont pu être résolus. Grâce aux économistes Cournot et Edgeworth au début du XXème siècle, certaines applications économiques ont été trouvées et modélisées (Ex : le Duopole de Cournot : situation de conflit entre deux entreprises qui sont soumises à des quotas). La théorie moderne des jeux a vu le jour grâce à l’ouvrage désormais classique « The Theory of Games and Economic

préciser un point essentiel. Les bonnes raisons que je viens d'évoquer, celles du public, comme celles du pouvoir soviétique lorsqu'il rétablit le mariage, sont de type utilitaire. Les Anglo-Saxons parleraient ici de rationalité utilitaire (rational choice), et Max Weber de rationalité téléologique (Zweckrationalität). Dans les deux cas, les acteurs, i.e. le pouvoir et les citoyens de base, ont pris des décisions qui, d'une part étaient à leur portée, et d'autre part répondaient à leurs intérêts les

fondateurs de la sociologie car il cherche a connaitre le social comme un ensemble a analysé , comme un objet . St Simon fait egalement l'etude des faits sociaux en posant le principe que levolution de la societe est liée a son infrastructure economique et sociologique. 3/ Les fondateurs A/ Durkheim Aujourd'hui encore il reste une reference en matiere de sociologie. Quelle que grand principe : " on ne peut pas comprendre les faits sociaux a partir des individus " "la societe préexiste

différents types d'actions sociales,il y a un degré de conscience qui n'est pas le même. Il y a la rationalité en finalité, la rationalité en valeur, l'action sociale de façon traditionnelle et l'action sociale de façon affectuelle. La thèse de la rationalisation des activités repose sur la généralisation de ce type de prise de décision. Ce processus va concerne toute les sphères de valeurs économiques, politiques et religieuse, cependant le processus est présent et progresse partout. Weber va montrer

d’emprisonnement. Le dilemme du prisonnier illustre le conflit entre les incitations sociales à coopérer et les incitations individuelles à ne pas le faire : chaque prisonnier fait face à un dilemme entre sa rationalité individuelle qui lui dicte d’avouer et de dénoncer son complice et sa rationalité collective qui lui dicte de se taire. Il existe deux versions du dilemme du prisonnier : la version simultanée où Les 2 prisonniers choisissent leur stratégie simultanément et la version séquentielle où

coordonner. Les jeux coopératifs étudient les coalitions. C - Les caractéristiques d’un « jeu » Un jeu permet de faire une analyse économique des comportements. On suppose que les joueurs sont rationnels, c’est-à-dire qu’ils cherchent à optimiser. L’objectif fondamental d’un joueur est la poursuite de son propre intérêt. On suppose aussi que l’hypothèse de rationalité est connaissance commune (partagée et connue par l’ensemble des joueurs). Les hypothèses : © B. Quélin – Groupe HEC 1

anthropomorphique de l'organisation ne permet pas d'analyser le sens que ses membres donnent à leur action, censée s'ajuster quasi-nécessairement à ses besoins. 3- Les courants anglo-américains contemporains (60's) Le courant culturaliste a posé que la rationalité sur laquelle sont fondées les entreprises modernes ne suffit pas à expliquer les fonctionnements et dysfonctionnements des organisations. La tendance managériale pense que l'on peut inculquer la culture souhaitée aux membres d'une organisation,

Disjonctionet spécialisationclose....................................................................................... Réductionet disjonction.................................................................................................... La fausse rationalité.......................................................................................................... 18 19 20 Chapitre III - Enseigner la condition humaine . ... .. .. ... .. .. .. .. ... .. .. .. .. ... . ... ... . .. .. .. .. .. .. ..

cohérentes et plus rationnelles. Cela apparaît à l'évidence dans le champ économique. Dans les nombreuses pages qu'il consacre au sujet (notamment dans le chapitre ii de la première partie du premier volume), M. Weber brosse l'idéal-type de l'économie de marché. Pour atteindre une situation d'optimum, les échanges et les calculs doivent être réalisés à l'aide de la monnaie, outil de compte le plus rationnel pour orienter l'action économique. Le marché, ensuite, doit être libre. En l'absence de concurrence

différencier les uns des autres. Ainsi une décision absurde d’un individu ou d’un groupe est "une action radicale et persistante contre le but qu’il veut atteindre dans le cadre de la rationalité de référence". Les deux notions essentielles à souligner sont "l’action radicale et persistante contre l’objectif" et "la rationalité de référence". Pour déclarer une décision absurde il faut un puissant décalage, une énorme contradiction entre l’action et le but, cela nécessite par ailleurs que le but soit clairement