Rationalité économique

prédateurs : les enseignements de l'analyse économique Laurent BENZONI Paru dans Problèmes économiques N° 2683 11 octobre 2000 TERA Consultants 32, rue des Jeûneurs 75002 PARIS Tél. + 33 (0) 1 55 04 87 10 Fax. +33 (0) 1 53 40 85 15 S.A.S. au capital de 200 000 € RCS Paris B 394 948 731 Des stratégies de prix - Prix prédateurs: les enseignements de l'analyse économique1 Laurent BENZONI Professeur à Paris II et à l’ENST Paru dans Problèmes Economiques, N° 2683 - 2000 L’importance que

incompréhensibles qu’imprévisibles. Pour les philosophies idéalistes (Kant, Hegel, Comte), il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les matérialistes (Marx et Engels) l’histoire repose sur une base matérielle (l’infra-structure économique) qui la détermine en premier lieu. Les approches hégelienne et marxiste sont « dialectiques

pas de modifier les organigrammes, de définir de nouveaux processus, pour réussir. Tout changement entraîne des résistances. C’est cette dimension émotionnelle forte qui est encore trop souvent occultée par les entreprises au profil de la rationalité économique. Pour réussir le changement il faut le provoquer de l’intérieur. « Nous changons parce que c’est évident, ça va de soi et il le faut car on n’a pas le choix». Nous l’avons tous entendu à un moment donné et malheureusement cela ne convainc

Sociologie, science des actions non logiques ? (page28) Pareto dans son analyse distingue les actions logiques (dont la science est l’économie) des actions non logiques (relevant de la sociologie). La difficulté réside dans la différenciation entre rationalité et irrationalité (paradoxe du vote) dont indexiste aucune définition spécifique de même que la différenciation entre actions logiques et non logiques pour la même raison. Cette distinction est importante et ce pour deux raisons : - elle souligne

généralement sur l’efficience informationnelle, c'est-à-dire sur le fait que les cours boursiers reflètent instantanément toute l’information disponible. Toutefois, le concept d’efficience est aussi lié au concept de rationalité des investisseurs et celui de l’efficacité économique des marchés. II. Les types d’efficience 1. L’efficience informationnelle a. Définition Selon cette acceptation, un marché sera efficient si l’ensemble de l’information pertinente à l’évaluation des actifs financiers

tout ce qui est réel est rationnel." Les évènements particuliers s'unifieraient donc en une réalité universelle, un devenir historique qui serait rationnel et qui aurait donc un sens, un but ultime. Cependant, ce sens ultime qui justifierai la rationalité de l'histoire serait inconnu des hommes, ce serait donc selon Hegel la "ruse de l'histoire" qui se ferait de manière dialectique : le non sens et l'irrationalité apparents des évènements et des actions des hommes seraient en fait la réalisation

options - Choisir une solution - Exécuter la solution retenue - Evaluer la décision Le processus est complet lorsque la décision est mise en œuvre. On s’inscrit dans une logique d’apprentissage. 3- La rationalité des décisions La rationalité économique : le décideur dispose d’une information complète, il dispose également d’une connaissance parfaite des possibilités de choix, toutes les conséquences de ces possibilités de choix sont connues, le décideur dispose d’un ordre

- et pour ses acolytes – les deux préparations sont d'égale importance pour le succès de la chasse. Nous ne devons jamais oublier que les hommes ont été longtemps magiciens, en même temps qu'ils étaient, un tant soit peu, efficaces. Ce sont la rationalité technique et la « religion » qui, par des voies différentes, ont eu raison de la magie, la reléguant à une pratique marginale et confidentielle. Il n'est pas besoin de voyager si loin. Au coeur de notre Médecine, hyper-technicisée, on peut encore

Vous le retrouvez dans ma pochette Corroy 2011 page 70. le cadre pertinent d'utilisation de ce modèle est donc celui du "comment accompagner les changements structurels et culturels nécessaires pour améliorer les performances socio-culturelles et économiques de l'organisation ?". Il s'inscrit bien évidemment dans les hypothèses des stratégies d'acteurs de M. Crozier, stratégies à influencer pour faire converger les comportements individuels vers des comportements créateurs de valeur, par la modification

les mêmes erreurs sont constamment répétées ? -> « Rien de nouveau sous le soleil » La Bible -> L’Histoire n’aurait donc réellement pas de direction précise ; tout semble se répéter : les religions s’opposent depuis toujours, les crises économiques se succèdent et les guerres s’enchaînent. 3. Les crises/guerres -> «  Tout semble voué à la disparition, rien ne demeure. » -> gâchis des hommes ; l’histoire serait donc une destruction progressive de tout ce qui se reconstruit au fil