Ratios Prudentiels Des Imf

Endettement des ménages et charges d'intérêts Coût réel du financement externe des sociétés non financières de la zone euro Ratios de rentabilité des sociétés non financières cotées de la zone euro Ventilation du taux de croissance annuel en termes réels du financement externe des sociétés non financières Besoin de financement des sociétés non financières et principales composantes Ratios d'endettement des entreprises du secteur privé non financier Ventilation de l'IPCH : principales composantes Contributions

SOMMAIRE ÉTUDES Les répercussions du séisme du 11 mars sur l’économie japonaise et l’économie mondiale Direction générale des Études et des Relations internationales Direction générale des Opérations Secrétariat général de l’Autorité de contrôle prudentiel Le 11 mars 2011, le Japon a été touché par une catastrophe naturelle sans précédent. Les auteurs cherchent à évaluer les conséquences de ce choc sur l’économie japonaise et mondiale et à apporter un éclairage sur les différents canaux de transmission

l’Organisation internationale des commissions de valeurs et le Comité de Bâle travaillent en étroite collaboration afin d’améliorer les normes de gestion du risque applicables aux infrastructures des marchés financiers et de définir des incitations prudentielles efficaces à utiliser des contreparties centrales solides. Il est essentiel de créer des incitations en vue d’encourager les intervenants de marché à effectuer la compensation auprès des contreparties centrales. Les régulateurs sont confrontés à

émissions d’obligations actuelles. Les analystes ont ainsi développé un concept plus dynamique à travers la notion de soutenabilité du déficit et de la dette. Il ne s’agit donc plus de l’annuler et de retourner à un équilibre mais de faire en sorte que le ratio dette/ PIB n’augmente pas. La soutenabilité de la dette est donc une équation mathématique qui vise à faire en sorte que la dette n’augmente pas indéfiniment en pourcentage du PIB de telle façon que : D(t + 1) = Dt + Tt * Dt + St PIB(t + 1) = PIBt

sera l’amélioration du potentiel technique du personnel. Mais par ailleurs les normes de la profession bancaire au plan international deviennent de plus en plus exigeantes (notamment en matière de séparation des tâches) et complexes (accords Bâle II, ratios Mc Donough, etc.). Leur interprétation et leur mise en place nécessitent des travaux préparatoires qu’une structure isolée de la taille de la BNDA peut difficilement entreprendre seule. Il paraît donc nécessaire d’envisager un accord de partenariat

États-Unis Zone euro 2. Croissance du crédit aux sociétés non financières et aux ménages2 (variation en pourcentage 20 sur 1 an) 15 États-Unis 10 Zone euro 5 0 Italie Espagne 2014 15 16 17 Mars 2006 18 950 3. Ratio patrimoine net/revenu disponible 850 brut des ménages 08 –5 10 12 4. Ratio dette/revenu brut disponible des ménages 160 140 750 120 650 550 450 –10 14 : T4 États-Unis Japon3 Zone euro États-Unis Zone euro 4 Japon 100 80 60 350 2000 02 04 06 08 10 12 14 : 2000 02 04 06 08 10

revue de stabilité financière où il y a beaucoup d’articles sur la crise financière -BRI : bis.org : chiffres relatifs aux volumes sur les marchés dérivés, les dettes -BCE : ecb.int -Euronext -Trésor : chiffres sur la dette publique française -IMF : global financial stability report -AMF -Bloomberg Oral à la fin du semestre. INTRODUCTION Qu’est-ce que la finance ? Ce sont les opérations liées à la confrontation entre l’offre et la demande de capitaux en essayant d’obtenir une allocation

Préambule XV LISTE DES FIGURES Figure 1.1. Fondations du secteur privé et de l’entreprenariat Figure 1.2. Statut juridique des entreprises burkinabè Figure 1.3. Part de l’IDE sur la FBCF (en pourcentage) XVI 5 19 24 Figure 5.1. Evolution du ratio crédit à l’économie sur PIB Figure 5.2. Part des secteurs d’activité dans le crédit 116 118 Figure 7.1. Evolution des rendements tendanciels 165 Figure 9.1. Evolution de la part du budget de la santé Figure 9.2. Evolution de la fréquentation des

ces deux dernières décennies, des réformes importantes conduites par les pouvoirs publics. Ces réformes visent à restructurer et à privatiser les banques publiques et à renforcer la supervision bancaire en instaurant à la fois une législation prudentielle et un système de gestion des risques. Sous les recommandations des bailleurs de fonds internationaux, conscients de la nécessité d’assainir le portefeuille des banques, les pouvoirs publics tunisiens ont mené des réformes à partir de 1998. Néanmoins

d’obtenir des avantages commerciaux significatifs. Jusqu’à un certain point, il s’agit d’un fonctionnement normal, et même bénéfique, des mécanismes de marché. Cependant, s’il devait conduire certaines contreparties à assouplir leurs règles prudentielles afin d’étoffer leur activité avec les hedge funds, la situation pourrait devenir problématique. À mesure que les hedge funds se généralisent, la ligne de démarcation entre ces instruments et les autres véhicules de placement collectif s’estompe