Ravage

conscience pour les européens ? Introduction : La bataille de Verdun a eu lieu du 21 février au 19 décembre 1916 , il s’agit de la bataille qui a fait le plus de ravages durant la guerre 14-18 . Elle a provoqué beaucoup de morts et de blessés, et par sa violence a entrainé le traumatisme de la société française. Aujourd’hui, elle reste un grand souvenir pour les européens. Problématique : Comment la mémoire de la

souvent réprimée • Ravages de la censure : les artistes ne peuvent pas critiquer le roi, le pouvoir... Les auteurs doivent ne pas s'exprimer ou alors publier à l'étranger. Ex : Le roi s'amuse de Victor Hugo, représenté en 1832 à Paris est interdit le soir de la première représentation. • La censure religieuse. Tartuffe : interdit par le premier président du Parlement. Gros problèmes de Molière avec les Jésuites. Évoquez la cabale. Tensions avec Dom Juan. ∆ Les ravages de la censure : prison

bien plus qu’une femme réelle, représente la femme en général 3 C’est le vers 38 qui marque le passage à l’évocation de la guerre : Quelle connerie la guerre. rupture de ton :langage familier : quelle connerie la guerre. 4 Prévert évoque les ravages de la guerre par le biais de métaphores et de métonymies aux vers 40-41 : cette pluie de fer (pour désigner les armes et les bombes) / De feu (pour désigner les décharges des armes et les explosions) d’acier (alliage de fer et de carbone qui désigne

fait de ses combats pour la liberté de tous et la justice, mais également à travers ses contes philosophique qui lui valurent plusieurs exils à l’étranger. Voltaire écrivit Candide en 1759, soit trois ans après un terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville de Lisbonne. Il décide alors de critiquer l’optimisme dans ce conte philosophique grâce au personnage de Candide qui au fil de l’histoire découvrira tous les malheurs possibles de ce monde. Après avoir été découvert avec Mlle. Cunégonde s’embrassant

Séqu.2-N°1 Les animaux malades de la peste, Les Fables, de LaFontaine XVIIème s. I) Les ravages de la peste. * LF emploie des périphrases : « Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en fureur inventa pour punir les crimes de la terre, » V1.2.3, mettant ainsi le lecteur en attente. Il met donc la peste en exergue au V4, d’autant plus qu’elle est rejetée en début de vers. * V15-33 Le lion tient le conseil, c’est le discours du lion. V34-48 « Sire, dit le Renard … petits saints »

alarmante. Comment des Hommes peuvent détruire autant de vies sans remords ? S'il le peut, ce n'est pas un Homme. Comment voulez vous armer d'une petite épée faire face à une attaque venant du ciel ? Comment faire face a une bombe ? Tant de ravages, une Ville détruite. Aucune maisons, écoles, bâtiments n'ont survécu. Tous brulés. La ville de Guernica ne ressemblait plus qu'a une ville fantôme. Complétement en ruines. Mais Picasso tient là une critique bien plus général de la guerre

mission du poète est donc de guider les Hommes tel « un phare allumé » qui éclaire les autres. Choix n°2 : X - L'ennemi Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux

| | |Traversé çà et là par de brillants soleils ; | | |Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, | | |Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. | |5 |

corrompue, jetée là, sur un coussin […] Venus se décomposait. » Ce passage est une description de Nana sur son lit de mort. Elle est en décomposition, le visage ravagé par la petite vérole. Zola la décrit, au tout début du roman, comme une beauté provocante, qui attise tous les regards. A la fin du livre, il la décrit le visage ravagé, sans plus aucune beauté. C’est une fin assez ironique pour l’héroïne, qui devait tout ce qu’elle avait à sa beauté physique. Page 492, Chapitre XIV : « A Berlin

( comme La Fontaine qui dénonce l'injustice ) Toutes les conclusion : 1. Récit fait selon un point de vue de Candide qui est spectateur de la scène. Il reste passif et ne fait que regarder le champs de bataille puis après sa fuite, les ravages dans les deux villages. 2. C'est un récit qui suscite l'intérêt du lecteur car il donne de façon ironique une vision plaisante de la guerre. 3. Dans le texte, Candide est imprégné par la philosophie optimiste puisqu'il interprète la bataille