Réaction de couplage

d'un atome lourd (noyau qui contient beaucoup de nucléons, tels les noyaux 265 d'uranium et de plutonium) est divisé en plusieurs nucléides plus légers (Figure 5). Cette réaction nucléaire se traduit aussi par l'émission de neutrons et un dégagement d'énergie très important (≈ 200 MeV, à comparer aux énergies des réactions chimiques qui sont de l'ordre de l'eV). 8 neutron 270 . ... ....... . . ....... ... ....... ... .. ..... ...... ...... . .. .. . 235U 275 .. ..

VI- LES ENZYMES 1°) Energie d'activation 2°) Spécificité des enzymes 3°) Notions de site catalytique et de poche de fixation du substrat 4°) Catalyse enzymatique : comment le substrat est-il transformé ? 5°) Cinétique enzymatique : comment la réaction évolue t-elle, comment peut-on la prévoir? VII- LES ANTICORPS Utilisation des anticorps au laboratoire CNED 1ère année – Biologie Cellulaire – Protéines page 2 CNED 1ère année – Biologie Cellulaire – Protéines page 3 LES PROTEINES INTRODUCTION

Elle permet de déterminer la température de transformation (transition vitreuse) des verres. -L’ATD couplée à l’ATG permet de déceler les éventuelles transformations de phases accompagnant l’élévation de la température et la nature de la réaction mise en jeu (réaction exothermique ou endothermique, décomposition chimique, perte ou prise de masse….). Dans cette matière, nous allons voir les méthodes les plus communément utilisées dans la science des matériaux pour l’analyse et la caractérisation. 2

en niobium. A l'état solide, à une température assez élevée (600-2400°C), on trouve une phase β cubique centrée (CC) qui s'étend également de 0% à 100% de Nb. A basse température on peut observer : * un point remarquable correspondant à la réaction monotectoïde : β-Zr ↔ α-Zr + β-Nb * un domaine diphasé α-Zr, β-Nb * un domaine diphasé α-Zr, β-Zr pour une composition en Nb comprise entre 0.6% et 18.5% * une lacune de miscibilité β-Zr + β-Nb pour une composition en Nb comprise

de la puissance réactive III – 6) Mesure des puissances électriques III – 7) Exemples Exemple 1 : en sinusoïdal Exemple 2 : en non sinusoïdal IV ) Circuits à courants alternatifs triphasés IV – 1) Introduction IV – 2) Tensions triphasées IV – 3) Couplage des phases IV – 4) Charges triphasées IV - 5) Neutre, neutre fictif IV - 6) Système équilibré, schéma équivalent monophasé IV - 7) Système déséquilibré et importance du neutre IV – 8 ) Puissances en Triphasé IV - 9) Exemples IV - 10) Mesures de puissances

complètement compenser une erreur de régulation constante. Tant que l’erreur n’est pas nulle, la valeur de la variable régulée est ajustée. 2.1.3.3 Régulateur de type PI Le régulateur de type PI est l’un des plus utilisés dans la pratique. Il s’agit d’un couplage parallèle entre un régulateur proportionnel et un régulateur intégral. S’il est correctement paramétré, le régulateur PI cumule les avantages des deux types de régulateurs (stable, rapide, faible erreur résiduelle), tout en compensant leurs désavantages

que le secteur technologique joue un rôle essentiel dans la répartition spatiale des activités industrielles et, par conséquent, dans le développement polycentrique de l’espace européen. Enfin, un modèle économétrique basé sur la problématique de couplage est mobilisé pour tester la relation entre la demande de transport maritime international de marchandises et la croissance économique. On souligne ainsi le fait qu’une approche par corridors peut être un outil de découplage, en permettant un système

Notions et contenus 2.1. Distribution de l’énergie électrique Tensions et courants triphasés équilibrés Couplages étoile et triangle Capacités exigibles Caractériser une distribution triphasée : phase, neutre, tensions simples, tensions composées. Déterminer le couplage à réaliser, les caractéristiques du récepteur et de l’alimentation étant données. Représenter les couplages étoile et triangle avec les conventions courants et tensions associées. Puissance active et facteur de puissance

suivantes :  SO2   Démarrage des complexes : le démarrage de complexe, nécessite la fusion du soufre solide et faire tourner les turbosoufflantes, au moins d’une lige d’acide sulfurique qui produit à son tour la vapeur grâce a la réaction exothermique + 1/2O2 SO3 + Q Arrêt du complexe : en cas d’arrêt du complexe il faut souffler les lignes de sulfurique du SO2 et du SO3 pour ne pas avoir des condensations pouvant engendrer la formation d’acide sulfurique dans le circuit

système n’est requis pour guider l’apparition des différentes formes d’écoulement. Celles-ci émergent en fonction des contraintes (vitesse du courant, nature de l’obstacle, profil des berges…) grâce aux propriétés d’auto-organisation du système et aux couplages qui s’établissent entre un nombre très important de molécules d’eau qui interagissent et s’influencent mutuellement. Illustration des phénomènes dynamiques observables dans un torrent. On peut se demander en quoi cet exemple peut être d’une