Réalisateur

écrans en 1969. Le réalisateur est Sergio Léone. Les tournages ont eu lieu en Italie, en Espagne et aux USA. Il s’agit d’un des plus grands westerns (appelé péjorativement « spaghetti »). Sergio Leone réussit à réunir une distribution internationale : Claudia Cardinale, Charles Bronson, Jason Robards et Henri Fonda. La musique a été composée par Ennio Morricone. Sergio Leone demanda à Ennio Morricone de composer sa musique avant le tournage, fait très rare. Cela permit au réalisateur de diffuser la

qu’elle soit ou non dramatique. Le principe de ce style de film est de prendre un sujet de société et de le traiter de manière légère et avec beaucoup d’humour C’est le genre cinématographique qui reflète particulièrement la société puisque les réalisateurs mettent un point d’honneur à traiter des sujets de la vie courante . Ces films abordent le mariage, le célibat, la vie de famille, la séparation, le divorce, etc L’on peut citer comme exemple le cœur des hommes de Marc Esposito qui raconte la

est un court métrage de 6 minutes réalisé par Mathieu Kassovitz, autant dire son premier court métrage qui date de 1990. Mathieu Kassovitz est né le 3 août 1967, baignant dès sa prime jeunesse dans le milieu du cinéma puisque son père est le réalisateur Peter Kassovitz et sa mère une monteuse. Suivant la voie familiale sans trop se poser de questions, le petit Mathieu plonge à son tour dans le monde magique du 7eme Art en faisant l'acteur, alors qu'il est encore gamin. A 14 ans, on le revoit brièvement

« parent pauvre » du film. Les réalisateurs et les producteurs sont conscients de son importance, notamment de l'émotion qu'elle peut susciter chez le spectateur, des pleurs associés aux violons à l'excitation d'une musique saccadée avec un son saturé, en passant par l'inquiétude, l'angoisse ou l'inconfort d'une musique dissonante. La musique est sensée être un des signifiants du cinéma. Mais celle -ci ne fait pas toujours partie de l'élaboration du film . D'autres réalisateurs tournent et montent leur

Les Sentiers de la gloire réalisé par Stanley Kubrick en 1957 est une des œuvres majeures et controversé du réalisateur et notamment du fait qu’elle ait été longtemps interdite à la diffusion en France. La séquence donnée à analyser se situe au début du film. (Début du générique du film jusqu’à 2.04’’) Dans cette analyse nous étudierons la technique de cette séquence mais également sa portée symbolique. La séquence commence sur le début du générique, un générique simple, lettrage blanc sur écran

possibilités d'avenir de l'invention, il a acquis une caméra cinématographique, il a construit quelques études dans les environs de Paris et il s'est renversé dans la production et la direction de films. Méliès a été donc dans ce sens le premier réalisateur dans l'histoire et, grâce à son métier de prestidigitateur, il a créé la fiction, en sauvant au cinématographe de la disparition, et il a poussé la pratique de la mise en scène. Il est logique de penser que cette nouvelle conception du filmique

professeur de français puis réalisateur, Eric Rohmer ne tolère aucune faute de français, en particulier au cinéma. C’est pourquoi dans Conte d’été, le langage utilisé par les acteurs semblent si peu naturel. Pourtant tout est réfléchi et cal culé dans ce film, rien n’est laissé au hasard, hasard qui reste le sujet principal de l’œuvre. Si Eric Rohmer fait tout pour déstabiliser les spectateurs, c’est qu’il a ses raisons : appartenant à la Nouvelle Vague, le réalisateur ainsi que d’autres de ses

avril 1939) est un réalisateur, producteur et scénariste américain cinq fois récompensé aux Oscars. En dehors du monde du spectacle, Coppola est aussi vigneron, éditeur de magazine et hôtelier. Il est titulaire d'un diplôme de l'Université Hofstra où il a étudié le théâtre et a obtenu un M.F.A. en réalisation cinématographique à l'UCLA Film School. Il est surtout connu pour la saga des Parrains et Apocalypse Now, qui dépeint la guerre du Vietnam. Il est le père des réalisateurs Sofia et Roman Coppola

route des amours cavalières sans provoquer l’intervention des sergents de la ville ». Adaptations successives : du théâtre au cinéma… de l’opéra au cinéma – Le cinéma muet : dès 1909, le réalisateur français Calmettes est le premier à tourner un long métrage sur Carmen ; le succès est immédiat. En 1915 deux réalisateurs américains, Raoul Walsh et Cecil B. de Mille, tournent simultanément leur version de Carmen. Puis en 1918, c’est au tour d’un autre américain, Ernest Lubitsch. Enfin, c’est en 1928 que

Brown’ en passant par le métier de réalisateur avec ‘Docteurs in love’, le nouveau Californien s’en donne à coeur joie. Bientôt incontournable dans le milieu, il collabore avec des comédiens à la notoriété naissante ou déjà bien assise. Parmi eux il faut citer Matt Dillon dans ‘Le Kid de la plage’, Tom Hanks, héros de ‘Rien de commun’, Michelle Pfeiffer et Al Pacino dans ‘Frankie & Johnny’ et bien sûr Julia Roberts et Richard Gere, devenus muses du réalisateur avec pas moins de trois films en commun