Récepteur couplé aux protéines G

diffusion peut-être accrue par les protéines de transport de la membrane. Transport passif Diffusion simple Diffusion facilité Les molécules hydrophobes ainsi De nombreuses substances hydrophiles Que de très petites molécules diffusent rapidement à travers la membrane Polaires non ionisées diffusent à avec l’aide des protéines de transport, soit des Travers la bicouche. perméases, soit des canaux protéiques Transport actif : Certaines protéines de transport agissent à la manière

……………………………..………12 4.1. L'anandamide………………………………………………………………….…..12 4.2. Métabolisme de l'anandamide ………………………..…..……….……….……12 4.2.1. Synthèse……………………………………………………………….……12 4.2.2. Catabolisme………………………………………………..….……………12 5. Le 2 arachidonyl glycérol (2 A. G.) : …..……. ……………………………..….…14 6. Agonistes et antagonistes exogènes : ……..…..……………….………….……14 6.1. Agonistes ………..……………………………………………….………………..14 6.2. Antagonistes ………………………………………………………………………14 Chapitre III :Bases de la transduction du signal induite

régulateur le plus important, mais des hormones (glucagon-like peptide 1, growth hormone, leptine, prolactine...) sont aussi capables de moduler l’expression du gène de l’insuline. L’hormone définitive est d’abord synthétisée sous la forme d’une protéine de haut poids moléculaire, la pro-insuline, qui est stockée dans des microvésicules où s’amorce sa conversion en insuline. La libération de l’insuline nécessite la mise en route du processus d’exocytose des vésicules sécrétoires. Le contrôle de la

Chimiokines. Le couple SDF-1/CXCR4. Les chimiokines sont des protéines induisant la mobilité cellulaire. Si une cellule exprime un récepteur pour une chimiokine X, elle est capable de migrer dans le sens du gradient de chimiokine X le plus élevé. Ces protéines jouent donc un rôle clef pour la localisation (homing) tissulaire. Il y a environ 40 chimiokines et 25 récepteurs de chimiokines répertoriés. Des expériences avec des souris dans lesquelles le gène codant pour le récepteur de chimiokine

génétiques clairement identifiées relativement rares -Syndrome de Prader Willi -Anomalie du gène ob (leptine) -Mutation dominante du récepteur 4 de la mélanocortine - -Origine variable -Dysfonctionnement lésionnel des régions hypothalamiques contrôlant la prise alimentaire -Troubles du comportement alimentaires : grignotage, compulsion alimentaire Le déficit en récepteur de la mélanocortine 4 (MC4R) est la forme la plus fréquente d'obésité monogénique identifiée à ce jour. La prévalence dans la population

Eagle’s Medium DMSO: DiMéthyl sulfOxide DTT : réactif de Cleland : dithiothréitol EDTA: Ethylène Diamine Tétra Acétique EGF: Epidermal Growth Factor: facteur de croissance de l’épiderme g : gramme H₂O2: péroxyde d’hydrogène HBSS: Hank's Buffered Salt Solution IL: Interleukines IL1-R: IL1 recepteurs KSFM: Keratinocytes Serum Free Medium: milieu kératinocytes sans sérum mg : milligramme Mg : magnésium mM : miliMolaire NHK: Normal Human Keratinocytes: kératinocytes épidermiques d’origine

Chez l'homme, le rein exerce des fonctions importantes pour l’organisme: -L'excrétion sélective -La régulation de l'homéostasie hydro-électrolytique -Fonction de régulation de la pression artérielle Fonction -Fonction endocrine -Catabolisme des protéines de petit poids moléculaire -Néoglucogenèse 3. - L'excrétion sélective: Les substances plasmatiques peuvent être : */ absentes des urines : glucose, bicarbonates, prot., aa. */ excrétées dans l'urine : - déchets azotés issus du catabolisme des

Caractéristiques des solutions pour usage parentéral : Stériles. Apyrogènes (ex: pas d’endotoxines). Limpides = pas de particules en suspension. Neutres = pH voisin de celui du sang (7,4). Isotoniques = même pression osmotique que le sang (NaCl 0,9% ou G 5%) solution non isotonique par voie SC ou IM possible solution hypotonique par voie IV à proscrire solution hypertonique par voie IV possible (volume limité, débit lent). ▪ expliquer les conséquences d’une injection intraveineuse d’une solution

les récepteurs se trouvent à la surface des mélanophores[17]. Les hormones principales intervenant dans la régulation de la translocation semblent être la mélanocortine, la mélatonine et l'hormone de mélano-concentration (MCH), produites essentiellement par l'hypophyse, la glande pinéale et l'hypothalamus respectivement. Ces hormones peuvent aussi être fabriquées au moyen d'une régulation paracrine par des cellules de la peau. À la surface du mélanophore, les hormones activent des récepteurs couplés

l axone , provoquant la libération d acécacetylylcholine (10 000 molécules par vésicule) dans la fente synaptique. Puis, celle-ci se fixe sur des récepteurs post synaptiques, ce qui entraîne l effet, stimulation du passage d ions à travers les membranes, ou (sur le muscle) mobilisation du calcium intracellulaire. Elle se fixent aussi sur des récepteurs pré-synaptiques (modulant l effet), dont le rôle est de freiner sa libération. L effet est interrompu par la diffusion d acétylcholine hors de la