Récession

96 67 85 50 CEL : 91 33 60 12 yougatta@yahoo.fr L’activité économique ne connaît pas un rythme de croissance stable dans le temps. A des périodes de forte activité succèdent des phases de ralentissement économique pouvant même se transformer en récession économique. La science économique s’est donc efforcée de trouver des modèles permettant d’expliquer et donc d’agir sur ces fluctuations. 1/ La notion de croissance en sciences économiques Définition * La croissance économique traduit la variation

  Sujet : une politique de relance est-elle souhaitable pour lutter contre les risques actuelsde récession ? L’INSEE a noté la date du 15 mai 2009 comme date officielle d’entrée de la France en récession, définietraditionnellement comme une période de deux trimestres consécutifs de baisse du PIB. Selon les prévisions du FMI pour la croissance du PIB en 2009, la récession toucherait la quasi-totalité des pays du monde : le PIB mondial devraitdiminuer de 1.3% , certes tous les pays ne seraient pas

remet en mémoire, les années noires de la grande crise de l’entre deux guerres. Elle s’inscrit désormais dans la longue durée des grandes vagues de prospérité et de dépression. Si les économies capitalistes sont touchées de plein fouet (I), la récession des économies planifiées et du tiers monde est immédiate (II). Le choc pétrolier de 1973 aggrave une crise désormais mondiale (III). * * I. Les économies capitalistes sont touchées de plein fouet : Le quadruplement du prix du pétrole décidé

forme : * d’un ralentissement économique soit une diminution passagère (quelques trimestres) de la croissance du produit intérieur brute (PIB). * Ou d une récession économique qui est une diminution plus ou moins prolongée de l'activité économique. «  La transition d'un état « normal » à une situation de « récession » se fait par une crise économique. » Elle peut toucher soit un pays, une nation ou une zone géographique plus importante. 3-Les causes d’une crise économique

ménages et les entreprises? L’économie de la zone euro connaît un ralentissement. Pour relancer l’activité la BCE a réduit son principal taux directeur de 1%/0,75%. L’objectif est de lutter contre la saturation de l’économie de la zone et même la récession qui menace. Cette baisse du taux directeur va influencer les taux appliqués par les banques aux prêts de leurs clients. Les banques vont pouvoir prêter moins cher aux entreprises et aux ménages. Le financement de l’investissement et de la consommation

ou encore les mines. Question 3 : La crise des années 1970 met-elle fin à la croissance ou bien la freine-t-elle seulement ? - La principale manifestation de la crise est un ralentissement de la croissance économique, ce qu'on appelle la récession, liée à une baisse de l'activité économique et non une baisse de la production industrielle appelée dépression. De plus, le commerce international, loin de régresser, s'est accru. Certains secteurs modernes (communications) continuent d'embaucher

originale en détournant des images d'archives . Ce qui donne un coter assez humoristique à l'apprentissage. La récession c'est quoi exactement ? Depuis le début de la crise financière en 2008, les français sont amenés à parler de récession. Le Dr Cac nous explique que l'on parle de récession lorsque pendant deux trimestre consécutif le PIB recule. La France à frôler la récession durant cette période ! Mais ce ne fut pas la première fois on a faillit la frôler en 1949 l'après guerre fût difficile

the Global Financial Crisis (GFC), sometimes called the Great Recession to show its similarities and its differences with the Great Depression. “Economic data indicate that, sooner or later, capital accumulation comes up against obstacles that slows it down or stops it altogether.[…] A short period of such disruption is called a recession, while a longer, deeper downturn is called a depression. […] Right now we are in a deep recession, which might become a depression.” (Fred Magdoff and Michael D

L'économie restera en panne cette année encore. Il est urgent de corriger l'erreur de diagnostic qui a justifié l'austérité. Amorcée à l'automne 2008, la Grande Récession est en train de devenir un phénomène pérenne. Economies déprimées, niveaux de vie dégradés, chômage en hausse, entreprises au bord de la faillite, risques systémiques abondants, c'était le cauchemar et l'exception, c'est devenu notre quotidien. L'habitude du désastre nous a rendus moins exigeants et plus facilement optimistes

 Fiche de lecture « Quand le capitalisme perd la tête » Auteur : Joseph E. Stiglitz Chapitre 1 : Expansion-récession : le ver dans le fruit. - Du triomphe de la nouvelle économie à la pire récession du pays (USA). Chapitre 2 : Coup de génie ou coup de chance ? - Comment Clinton et son administration ont pu transformer un pays exsangue après l’Administration Bush Senior en un pays en pleine croissance et avec un excédant budgétaire. Chapitre 3 : La Fed toute puissante. - Le rôle de la Federal