Récession

et prévision1, sous la direction de Xavier Timbeau Le premier pas vers la récession La zone euro tombera-t-elle de nouveau en récession en début d’année 2012 ? La dégradation des enquêtes de confiance après le premier trimestre 2011 (graphique 1) laissait entrevoir un nouveau repli de l’activité qui s’est confirmé au quatrième trimestre avec un recul du PIB de 0,3 %. Techniquement, la zone euro n’est pas en récession puisque la croissance du PIB était encore positive au troisième trimestre et

6ème crise en 100 ans, les précédentes étant situées en: 1907: Crise bancaire, scandale financier à NY, manque de liquidité, le Dow Jones (indice boursier de NY ) avait chuter de 35 % en mois. 1929: Chute du Dow Jones de 85 % en trois ans récession de 1930. 1973-1974: Choc pétrolier 1987: Le «Lundi noir»: en une journée le Dow Jones chute de 22,6 % et le dégringolade de toute les bourses mondiales. 1997-1998: Crise asiatique: forte dévaluation des monnaie d'Asie ce qui a des répercutions

économique (courbes du chômage comparées à la courbe du taux de croissance du PIB) et on remarque que les taux de variations du taux de chômage sont plus élevés chez les jeunes. Le PIB est relativement stable sur la période 2003-2007 avec une forte récession dans la période qui suit (crise des subprimes). Le taux de croissance du PIB est passe de 2,4 en 2007 a -2,6 en 2009. 2) Les jeunes sont plus touchés par le chômage conjoncturel que les autres catégories Les jeunes sont plus sensibles que

premières et en particulier de l'énergie ces dernières semaines. Le combat contre la récession et la hausse du chômage est désormais prioritaires pour les gouverneurs de la Réserve fédérale. (…) « La préoccupation dominante sera la croissance insuffisante, a souligné Lyle Gramley, ancien gouverneur fédéral et conseiller économique de Stanford Group, à l'agence Bloomberg. Si l'économie montre les signes d'une récession qui s'aggrave, je pense que la Fed décidera que le plancher n'est pas 1 %. » Abaisser

une phase se croissance économique se maintenant autour de 2,8% en moyenne depuis 1992, on observe un ralentissement à partir du deuxième trimestre 2007, se poursuivant jusqu’au deuxième trimestre 2008 avant que l’économie anglaise ne rentre en récession à partir du troisième trimestre 2008 jusqu'au début de l’année 2010. La croissance du PIB de l’année 2008 stagnant à -0.1% (+0,4% en réel) avant de chuter de -4 ,9% en 2009 (-5,2% en réel). Jusqu’en 2007, la demande interne a été le plus gros contributeur

variables économiques (la production, la demande, l’investissement…). La crise : c’est un point de retournement qui représente le maximum du cycle économique  Elle annonce la fin de la phase d’expansion et le début d’une phase de diminution. La récession : c’est une phase de ralentissement de l’activité économique  La production continue à augmenter mais à un rythme plus faible, le taux de croissance du PIB est toujours positif mais il diminue d’une année à une autre. La dépression : c’est une

1985, a redonné une nouveau sens aux analyses en terme de fluctuations et de cycles. Pour certains économistes, les cycles s’expliquent par des causes exogènes : des chocs positifs entraînant la croissance et des chocs négatifs, la récession. Il existe deux types de choc : le choc de la demande affectant la demande de biens et services et le choc d’offre qui influence les coûts de production. Nous nous interressons ici plus particulièrement à la demande. B. Fluctuations, croissance

mois à quelques années. Dans un cycle économique : L’idée de JUGLER était d’utiliser ces chiffres pour étudier le passé mais aussi de pouvoir décrire ce qui va se passer dans les mois à venir (comment se prémunir des effets d’une récession par exemple). Mai on a d’autres cycles : Temporel Socio-psychologique Historique (BRAUDEL) Politiques et fiscaux (postulat que les changements politques ont des conséquences sur les grandeurs réelles) objectifs : Assurer les missions régaliennes

si l’année 2008 a été marquée par une forte hausse des prix à la consommation au cours du premier semestre, avec un taux de 3,4 % sur l’année. Néanmoins, d’autres indicateurs fondamentaux se sont dégradés fortement, malgré la timide sortie de la récession du l’UE au 3è trimestre 2009 Les taux de chômage grimpent dans tous les Etats de manière alarmante (Espagne 19,3 % fin octobre 2009, 9,8 % pour la zone euro) et tous les gouvernements se sont attachés à lancer des plans de relance pour atténuer la

centrales asiatiques adopteraient un comportement suicidaire si elles continuaient à vouloir remplacer l’euro au dollar qu’elles détiennent. Une telle conversion provoquerait un krach du billet vert, ce qui plongerait l’économie américaine dans la récession et priverait donc des pays comme la Chine ou la Corée du Sud du principal acteur de leurs exportations. Leur propre économie s’en trouverait gravement affectée. Outre le fait que l’euro puisse s’imposer comme devise de référence à la place du dollar