Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations

Adam Smith (5 juin 1723 - 17 juillet 1790) est un philosophe et économiste écossais des Lumières. Il reste dans l’histoire comme le père de la science économique moderne, et son œuvre principale, la Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique. Professeur de philosophie morale à l’université de Glasgow, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes suivants, ceux que Karl Marx appellera les « classiques » et qui poseront les grands

sont témoins aussi de grave crise. Ils s’intéressent au processus d’accumulation des richesses :  La nature de la richesse (quantité industrielle qui fait qu’un pays est riche ou pas)  Les causes de la richesse (division du travail car on permet au individu de se spécialiser là où ils sont les meilleurs. Cette division est permise par le marché, les causes de la richesse sont donc le marché)  Le partage des richesses.  Les néo-classiques (libéraux qui croient au vertu du marché), révolution marginaliste

science des richesses 5 b) L’économie : analyse des comportements 5 c) L’économie : phénomène d’échange sur un marché 5 Approche historique des théories économiques 6 Antiquité 6 Moyen-Age 6 Epoque Moderne 7 Epoque Contemporaine 7 Approche des théories économiques 8 1. Les théories classiques (1770-1830) 8 A) La doctrine libérale des classiques 9 B) L’analyse classique 11 1. Division du travail 11 2. Valeurs et prix 11 3. Salaires, profits et rente 12 4. Eléments de richesse d’une nation

Travail sur les textes des classiques La « main invisible » Les motifs qui guident le comportement des individus sont: - le profit - la production et donc la richesse (par le revenu) L' intérêt de tout particulier reste le maximum de gain dans son industrie. L'individu est alors guidé par une main invisible dans le choix de ses intentions.Par conséquent, le profit de l'individu peut donc contribuer à augmenter le revenu annuel de la société. Ces intérêts sont forcément d'une

ECONOMIQUE Introduction: C'est vers la fin du XVIéme qu'arrive la pensée économique. Avant cela restait une question vaste. Au XVI apparait alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le

va passer d’une réflexion sur ce qui fait la sympathie envers autrui, à une réflexion plus éco sur les échanges. Ce qui va aboutir à ces 2 ouvrages principaux  : « La théorie des sentiments moraux » (1759) et « la richesse des nations » (1776). · Francis Hutcheson, un de ses prof, va bcp l’influencer. Hutcheson pense que nous avons une morale innée dès la naissance qui guide nos actions envers les autres, c’est une forme d’optimisme qui va créer la philo utilitariste

vivre « d'une manière conforme au bien être dans la cité (Antiquité) (Polis en grecque). Il distinguait l'économique (administration des biens sachant que les biens étaient évalués en nature. (nombre d'objets). Plus on possédait de choses, plus on était riche selon lui.) de la Drématistique (production des richesses qui concernent les biens évalués en argent dont il faut se méfier et condamner le prêt à intérêt). 2) Aujourd'hui, la discipline économique s’intéresse peu à l'économie domestique et

fréquente les salons et où il est élu à l'Académie française, reconnaissance confirmée de ses talents. Il voyage aussi : en 1728-1729, il voyage en Europe centrale. Il est admis à la franc-maçonnerie. En 1734, il publie les Considérations sur les causes de la grandeur des romains et de leur décadence. Il publie l'Esprit des lois en 1748, après quatorze années de labeur acharné. La censure royale en France interdit l'ouvrage ; à Rome, l'ouvrage est mis à l'indexe ; finalement, la Sorbonne condamne

autres aspects, mais sans prétendre viser à restituer la totalité du phénomène. Je tiens enfin à préciser que je ne suis pas spécialiste de cette question – qui est devenue très technique - et que je m’y suis intéressée à l’occasion de travaux de recherche sur les réformes économiques et le changement institutionnel . On attend généralement d’une analyse de la corruption qu’elle débouche sur des solutions pour lutter contre ce fléau. Pourtant, avant d’arriver aux méthodes de prévention et de répression

biens collectifs et les effets externes ; - l’Etat doit garantir un fonctionnement concurrentiel des marchés I. L’allocation optimale des ressources 1) Le principe de la main invisible d’Adam Smith Dans son œuvre Recherches sur la nature et les causes de la richesse des Nations (1776), A Smith expose le principe de la « main invisible » : chaque individu, cherchant à satisfaire son propre intérêt, contribue à l’intérêt général1. Les objectifs de maximisation du profit des producteurs et de maximisation