Recit Epique Moyen Age

L’amplification épique passe parfois par la comparaison des héros à des personnages mythologiques ou historiques (Hercule, Ulysse, César…). Valeurs du héros épique : le courage, la force physique (ce que les Romains appelaient « virtu »), mais aussi le sens de l’honneur, de la gloire, tant individuels que collectifs (défense des intérêts

principaux héros littéraires, des géants, père et fils, sont issus de la littérature du Moyen Age. Dans ses deux œuvres majeures, Pantagruel et Gargantua, associe des opinions "éclairées" sur l'éducation, l'extension des savoirs ou la guerre, à une technique littéraire où le récit historique se mêle aux inventions fantastiques. François Rabelais réalise la synthèse entre la tradition comique carnavalesque du Moyen Age et les nouveaux savoirs de la Renaissance. Pierre Marivaux, artiste et écrivain (1688-1763)

SUJET 1 : En quoi peut-on dire que G de François Rabelais prête autant à rire qu’il donne à penser ? pb : en quoi l’œuvre de Rabelais mêle-t-elle rire et savoir ? peut-on faire réfléchir tout en amusant ? c’est la problématique de tout apologue (récit bref et plaisant qui contient une morale implicite ou explicite) I.AU PREMIER ABORD, LE ROMAN SEMBLE UNIQUEMENT FAIT POUR NOUS FAIRE RIRE : pour cela le narrateur utilise un certain type de comiques qui semblent mettre à distance le savoir cf site

guerriers au code moral très strict.Retour à la tableDéfinition d’un Lai?Un conte relativement court en octosyllabes et souvent marqué par le merveilleux.Retour à la tableLes différences entre la littérature épiqueEt la littérature courtoise?Litt. épique: Dieu, patrie, honneur Litt. courtoise: le service d’amourRetour à la tableLa dame dans l’Amour courtois?La dame est idéalisée: était une jeune femme aux cheveux blonds et au teint blanc était une jeune femme aux cheveux blonds et au teint blanc.

assure la légitimité de son récit et qu’il suit au plus près (normand vivant en Angleterre) (auteur ou source de l’œuvre ? ) Légende arthurienne : Tristan est le fils de Rivalin, roi du Léonois et de Blanchefleur, sœur du roi Marc de Cornouailles, dès sa naissance voué au malheur. Son père perd sa couronne, et sa mère meurt en le mettant au monde. On comprend rapidement pourquoi il se nommait ainsi. Parti à l'aventure après avoir été élevé par Rouhault, Tristan, alors âgé de quinze ans, arrive

héros faibles, maladroits ou ridicules. Quel intérêt ce choix présente-t-il selon vous ? Durant l’antiquité, le héros était un demi-dieu, il représentait la force, le courage et l’honneur. Puis, lorsque les premiers écrits apparurent au Moyen-âge, le héros en était le personnage principal, un personnage légendaire, auquel on prêtait des exploits remarquables. Cependant, au fil du temps, les caractéristiques de ce héros se sont amplement dégradées et le héros est devenu, pour de nombreux romanciers

changement de situation d’énonciation. Ce changement permet d’expliquer en particulier le passage, dans un récit littéraire, du passé simple (narration) au présent (dialogue). Il permet de rendre compte également des variations éventuelles de registre de langue. Fonctions du dialogue dans un roman -Assurer une cohésion textuelle, faire une transition entre une description et l’enchaînement du récit. -Informer sur le personnage, fait un portrait moral indirect. -Donner des indices sur le personnage

THÈME I : LE PERSONNAGE DU ROMAN, XVII° A NOS JOURS LA FABRICATION DU ROMAN ET DU PERSONNAGE I. Origines du roman Au Moyen Age le roman désigne toute œuvre écrite en langue romane ≠ latin. Au XII° « roman » désigne un récit en vers et en français. Récits inspirés de la mythologie celtique, germanique et latine. Jusqu’au XVII° « roman » désigne souvent un poème en français narrant une histoire de chevalerie. Ex : Chrétiens de Troyes La nuit des temps Le XVII° représente

la chanson de geste. La césure ordinaire est à la quatrième syllabe : " Je vous envoie / un bouquet que ma main ", plus rarement à la sixième ; - L'alexandrin est au contraire senti d'abord comme un vers prosaïque : c'est le vers des récits épiques du Moyen-Age ; l'alexandrin tire en effet son nom du Roman d'Alexandre, écrit à la fin du XIIe siècle. Lorsque Ronsard commence à l'employer, il lui faut convaincre le public d'admettre ce vers nouveau, et Du Bellay, qui publie en 1558 le premier recueil

Poétiques du récit chevaleresque et poétiques du roman baroqueCahiers de l'Association internationale des études francaises Poétiques du récit chevaleresque et poétiques du roman baroque Professeur Giorgetto Giorgi Citer ce document / Cite this document : Giorgi Giorgetto. Poétiques du récit chevaleresque et poétiques du roman baroque. In: Cahiers de l'Association internationale des études francaises, 2004, n°56. pp. 319-336; doi : https://doi.org/10.3406/caief.2004.1548 https://www.persee.fr/doc/caief_0571-5865_2004_num_56_1_1548