Recouvrement Des Créances Au Maroc

encadrement et sa participation à la réalisation de ce travail. Enfin, je remercie toute personne qui a participé de près ou de loin à l’élaboration de ce rapport. Nabil BENHALIMA Avant Propos : Le secteur bancaire au Maroc : De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 17 en 2005. La concurrence apparaît dans le secteur en 1998 et les banques connaissent, depuis, un resserrement de leur marge d’intermédiation, qui nourrit une dynamisation de concentration. La rentabilité

| |Matière : Techniques et marché financier | |TITRISATION DES CREANCES HYPOTECAIRES AU MAROC | |Encadré par Mr. Mohammed ELHADDAD | |

roulement, soit d'obtenir des crédits à court terme. L'escompte : permet à la PME d'obtenir des liquidités rapidement en pratiquant une stratégie active de gestion de ses créances clients. L’affacturage : un moyen de financement de la PME par le biais d’une société de financement, la société d’affacturage, à laquelle seront confiées les créances de l’entreprise. Le recours aux crédits fournisseurs : il est possible pour la PME qu'elle négocie avec ses fournisseurs afin d'obtenir des crédits fournisseurs qui

d/Traitement comptable des opérations guichets | | e/Ielecompensation | | 3-4- Service de recouvrement et du contentieux ……………………………………… | 15 | a/Introduction | | b/Définition d’un créance en souffrance | | c /Principaux procédés de gestion de dossiers | | 3-5- Service commercial …………………………………………………………………………

[pic] Préparé par : HANAA AIT SIDI AHMED Encadré Par : Mr. Mohammed SOUHAIL Effectué à : MARSA MAROC Période De Stage : Du 06/07/2009 Au 06/08/2009 [pic] REMERCIEMENT INTRODUCTION GENERALE PARTIE 1 : Présentation de Marsa Maroc PARTIE 2 : Présentation de la DFCCB PARTIE 3 : travaux effectués CONCLUSION

présentations des états de synthèses et principes de Juste Valeur • La grande distribution au Maroc : un essai d’audit interne (Cas de Marjane Oujda ) • Analyse et amélioration du tableau de bord de la direction activité voyageur • La comptabilité en juste valeur des instruments financiers sous la norme IAS 35 : Quelles pertinences et quelles implications pour le crédit agricole du Maroc ? • L’utilisation de la value at Risk pour la mesure du risque de trading sur un portefeuille

La titrisation des créances SOMMAIRE Introduction premiere Partie : le cadre juridique de la titrisation des créances Chapitre premier : Introduction de la titrisation au Maroc : la loi 10-98  point de départ Section 1 : Les intervenants dans une opération de titrisationSection 2 : Les techniques de titrisation des créances Chapitre 2 : La nouvelle Réforme juridique de la titrisation : la loi 33-06 Section 1 : Diversification des champs des actifs éligibles à la titrisation Section 2 :

L’implantation de Coca-cola au Maroc : La Compagnie Coca-cola est aujourd’hui la plus grande compagnie de rafraîchissement du monde, elle produit plus de 400 marques et commercialise 4 des marques de soft drinks les plus vendues au niveau mondial : Coca-cola, Coca-Cola Light, Fanta et Sprite. La multinationale est présente dans plus de 200 pays où des postes de travail sont créés et où des initiatives culturelles et environnementales sont développées. Au Maroc, Coca-cola apparut en 1947 : Un

D’après la loi n° 47 – 06, relative à la fiscalité locale au Maroc, est constituée des impôts fonciers, des taxes sur les activités économiques et de taxes liés aux diverses formalités auprès des services locaux et des administrations publiques. Elle est le moyen général et particulier permettant aux collectivités locales d’obtenir des ressources de financement pour l’action publique. La fiscalité locale est un moyen de décentralisation. Au Maroc, la fiscalité locale a été profondément reformé au cours

du secteur dans l’économie nationale Selon les dernières études réalisées dans ce domaine, notamment pour le compte du Ministère de l’Equipement et du Transport et de celui en charge de l’Industrie, on relève que : les coûts logistiques totaux du Maroc s’élèvent à environ 20% du PIB ; les coûts logistiques totaux constatés par les entreprises industrielles (textile, automobile, électronique) représentent la moitié aux deux tiers du coût du travail, ainsi une externalisation de cette activité est