Récupération rapide après chirurgie

Interrogatoire Examen local Examen neurologique : score de Glasgow, pupilles, pouls TA Consignés dans dossier infirmier médicolégal Examen général : Lésions associées ? Traumatisme crânien = traumatisme du rachis jusqu’à preuve du contraire Après examen clinique : Premier cas : Prise de décision : Scanner en urgence Transfert immédiat en neurochirurgie Plaie cranio […] Deuxième cas : […] Troisième cas : Prise de décision Pas de scanner en urgence surveillance à domicile ou à

débute au moment des consultations de chirurgie, puis d’anesthésie, qui constituent des étapes indispensables d’explication et de dialogue (information du patient) [3]. Certains auteurs ont tentés d’établir des facteurs prédictifs de douleurs intenses en SSPI : ainsi, on retrouve les antécédents du patient (ASA III, la notion de douleurs modérées à sévères pré-opératoires, un haut niveau d’anxiété ou de dépression) et comme facteurs per-opératoires, le type de chirurgie, la gestion de l’anesthésie et de

suivant : Remifentanil®/Propofol® sous A.I.V.O.C pour l’induction et l’entretien, puis un relais par morphiniques (Morphine) à visée antalgique en fin d’intervention. La durée de l’intervention est d’environ 90 minutes. Le réveil se fait sur table, après obtention de tous les paramètres requis pour l’extubation. Les paramètres hémodynamiques au réveil sont les suivants : fréquence cardiaque : 79 battements/minute, pression artérielle : 137/69 mmgh saturation pulsée en oxygène à 97%. La durée du transfert

à l’âge Il s’agit du mécanisme le plus fréquent des RCR. La dégénérescence tendineuse correspond à une usure progressive du tendon avec amincissement de ce tendon, allant jusqu’à la rupture. Ces ruptures dégénératives surviennent essentiellement après 50 – 55 ans. Elles intéressent le plus fréquemment le sus épineux et peuvent s’étendre en arrière vers le sous épineux ou en avant vers le sous-scapulaire. Les tendons des muscles des rotateurs se rejoignent pour former une nappe tendineuse qui s’insère

II. Présentation du service p 5 III. Présentation de l’étudiante encadrée p 6 IV. Présentation du patient sur lequel se déroule le soin p 7 V. Présentation du soin p 7 VI. Entretien après le soin p 9 Annexes I. Annexe n°1 : tableau récapitulatif du modèle d’apprentissage béhavioriste en lien avec la pratique de la pose d’un cathéter veineux périphérique de Laurène p 10 II. Annexe n°2 : guide pratique

Appareil standardisé de récupération musculaire Evaluation préalable en début de rééducation -matériel -méthode -force -vitesse / vitesse angulaire -forme de travail Rééducation : muscles agonistes / antagonistes 1 L’isocinétisme, un appareil complexe pour plus d’efficacité. "L’ISOCINÉTISME… un atout supplémentaire pour les rééducateurs afin d’améliorer la prise en charge des patients" 2 Naissance de l’isocinétisme Né en 1967 pour répondre à une demande

10 mg/kg/jour de caféine base) par voie intraveineuse lente. * Dose d'entretien (en général à partir de 24 h après la dose de charge) : 5 mg/kg/24 h de citrate de caféine (soit 2,5 mg/kg/24 h de caféine base) par voie orale ou en perfusion IV. *Antagonine ( ranitidine) : * En injection IM : 1 à 4 ampoules à 50 mg réparties sur le nycthémère. * En injection IV lente (au moins 2 minutes), après dilution d'une ampoule à 50 mg dans 20 ml de solution injectable : 1 à 4 ampoules à 50 mg réparties sur

vascularisé. L’embolisation ne laisse aucune cicatrice, et ne nécessite pas de chirurgie de résection au décours. Elle est également réalisable en cas d’adénomyose associée ou isolée. L’embolisation des fibromes est une intervention techniquement complexe, notamment par voie radiale, et doit être pratiquée par un radiologue interventionnel expert. La voie d’abord radiale est vouée à un gain de confort durant et après l’embolisation. La voie radiale distale est possible pour ce traitement. Le Dr Grégory

premier jour) ................................................................................. 73 2. Suites initiales (les 15 premiers jours) ............................................................................. 74 3. Suites à long terme (après la première année) .................................................................. 75 IV: Complications transitoires ou bénignes du Lasik (fréquentes) .......................................... 75 1. La sous-correction ......................

antibiotique est de mise : - amoxicilline (Clamoxyl )2g, 2 heures avant la chirurgie ou l’endoscopie, avec relais toutes les 4 heures puis arrêt. Le Clamoxyl est associé à la gentamycine en cas de chirurgie sous diaphragmatique. - vancomycine 15 mg/kg/j débuté avant la chirurgie ( 7,5mg/kg/12 heures) puis arrêt après l’acte opératoire. La vancomycine, en cas d’allergie à la pénicilline, est associée à la gentamycine en cas de chirurgie sous diaphragmatique. 8 .4 Le traitement de l’endocardite infectieuse