Redistribution des richesses

____________________________________________________________ _______________ Chapitre 2 : La dynamique de la stratification sociale Stratification : Classement, recensement de la population selon une échelle de valeur (revenu, prestige, richesse …). Il peut être hiérarchique (cas des classes sociales de Marx et de l’analyse de Bourdieu sur la détention de capitaux et d’habitus). Chez Marx, la hiérarchie est purement économique, elle relève de la détention des moyens de production. Chez Bourdieu

est égal à la somme des valeurs ajoutées des unités résidentes, augmentés de la TVA et des droits de douanes et réduites. Il permet de mesurer les richesses des prod. d’un pays. Tandis que le taux de variation permet de mesurer la croissance. La valeur ajoutée correspond à la mesure de la contribution réelle des entreprises à la production des richesses. On utilise les valeurs ajoutées afin de ne pas comptabiliser plusieurs fois le même bien et service. En effet la production finale d’une entreprise

PIBn-1) VII) Le développement économique Le développement = ensemble des changements mentaux et sociaux d’une population qui accompagnent la croissance de la production. La croissance est quantitative, son objectif est l’augmentation des richesses. Le développement est à la fois quantitatif et qualitatif. Les indicateurs de la croissance = PIB, PIN en PPA par habitant. Les indicateurs de développement = IDH (humain) et IPH (pauvreté humaine). Les indicateurs = indispensables car ils permettent

progressivement confié de nouveaux rôles à l’État. L’Etat, au XXème et XXIème siècle, a un rôle économique multiforme: il fixe le cadre juridique et institutionnel des activités économiques. Fiscalité, protection sociale: redistribution d’une partie importante des richesses produites. Politiques monétaires et budgétaires: régulation du niveau de l’activité, favorise la croissance. Production directe de biens et services (infrastructures, éducation, santé, services publics). Cohabitation dans

Etre riche, c’est posséder. Lorsqu’on s’imagine une personne riche, on pense à une personne au revenu élevé qui possède un grand nombre de biens et qui n’est pas dans le besoin. Cette image de la richesse est remise en question par Montesquieu dans l’extrait que nous allons étudier de son œuvre De l’esprit des lois. Il expose l’idée qu’« un homme n’est pas pauvre parce qu’il n’a rien mais parce qu’il ne travail pas». Les nobles pourtant, ne travaillaient pas ; ils n’effectuaient pas d’effort par

l'application des règlements, le monopole de la contrainte légitime." Et les principales fonctions de l'état sont les suivantes : - L'activité extractive : c'est la capacité d'extraire des ressources et des richesses indispensables à l'état. - L'activité distributive : c'est la capacité de distribuer les richesses matérielles, le capital normative et une réallocation des valeurs dans la société. - L'activité régulatrice : c'est la capacité d'organiser la société. La différence entre un état fort et faible

l’Etat peut partiellement vendre ou posséder une partie du capital (exemple : EDF-GDF, Renault, Paribas, France Télécom…) Ces vagues de privatisation qui ont débuté en 1980 permettent une ouverture à la concurrence soit une augmentation de la richesse du pays (Une ouverture à la concurrence engendre davantage d’entreprises soit une source importante de Prélèvement Obligatoires pour l’Etat). NB/ A l’inverse des vagues de privatisations, un mouvement de nationalisation (Prise de contrôle par

 système  de  valeurs.  On  analysera  les  principaux   moyens   par   lesquels   les   pouvoirs   publics   peuvent   contribuer   à   la   justice   sociale  :   fiscalité,   redistribution   et   protection   sociale,   services   collectifs,   mesures   de   lutte   contre   les   discriminations.   On   montrera   que   l'action   des   pouvoirs  publics  s'exerce  sous

mais aussi l’égalité des chances et des conditions. On tend à faire de l’égalité un idéal, toutes sociétés démocratiques modernes se doivent d’arriver à un principe de justice social, c'est-à-dire une situation dans laquelle la répartition des richesses est jugée suffisamment équitable pour garantir la cohésion social, cependant certains économistes pense aujourd’hui que il y a un réel rapport entre les inégalités sociales et économiques et la croissance, cette idée remettrait cependant en question

Lorsqu'il y a flux réel, il y a flux monétaire, mais un flux monétaire n'entraîne pas forcément un flux réel. On peut avoir un échange de flux monétaires. Représentation simplifiée de l'activité économique Permet de décrire la circulation des richesses dans les économies contemporaines I] Le circuit économique et ses acteurs (voir schéma 1) A] Les entreprises Entités juridiquement autonomes, organisées pour produire des biens ou services marchands et en tirer profit. Achètent aux autres